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Congo – Présidence : Non ! Antoinette Sassou Nguesso n'est pas décédée

Depuis ce matin du vendredi 3 mars, une rumeur véhiculée par les réseaux sociaux fait état du décès de madame Antoinette Sassou N'guesso. Cette nouvelle naturellement fausse se répand pourtant comme une traînée de poudre.

Après avoir donné Denis Sassou N'Guesso pour mort il y a quelques semaines, les réseaux sociaux remettent comme qui dirait, le couvert, en « tuant » cette fois ci madame Antoinette Sassou Nguesso.

Cette nouvelle savamment orchestrée par des « férus » du web doublés d'habiles manipulateurs de phtoshop se heurte hélas aux capacités intellectuelles apparemment étriquées de ses auteurs.

Pour faire « bien vrai » ils ont photo-monté le journal télévisé d'un média espagnol avec un présentateur sur le plateau, doublé en incruste d'un encadré présentant Antoinette Sassou N'Guesso.

Sauf que, pour une télévision espagnole, le message du titrage est en français et qui plus est, comporte des fautes d'orthographe.

 ''viens'' pour vient et ''quitttés'' au lieu de quitter, 2 fautes pas acceptables au JT

Une télévision espagnole aurait titré : « las esquelas mortuoria Antoinette Sassou N'Guesso », pour « Avis de décès de Antoinette Sassou N'Guesso », ou encore : « fallecimento Antoinette Sassou N'Guesso, pour « disparition de Antoinette Sassou N'Guesso. 

Or, il n'en est pas le cas. En plus des fautes, le message en français allie des caractères majuscules et miniscules. Tel est pris, qui croyait prendre.

Pourquoi s'acharner à donner pour morte une personne qui est en vie?

Le combat politique, si tant est-il qu'il s'agit de cela s'inscrit-il aussi sur ce terrain là, celui de la morbidité?

Il est vrai que le net est un outil formidable qui raccourcit les distances en permettant de se transmettre les nouvelles de façon instantanée. Pourtant, les congolais sont en train de s'en livrer à une dérive qui pourrait le cas échéant nuire demain, même à ceux qui en usent à bon escient.

L'usage abusive de cette avancée scientifique qu'est internet nous fait penser à ces mots de Werner Von Braun, « la science n'a pas de dimensions morales, elle est comme un couteau. Armez-en un chirurgien et un assassin, chacun s'est servira différemment ».

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-03-03 13:58:50

Congo – Univers carcéral : L'administration pénitentiaire réorganise les visites envers les détenus

L'enquête sur la mort en détention du colonel Marcel Ntsourou a relevé des dysfonctionnements, notamment dans les visites aux détenus par des personnes non appropriées ou échappant à tout contrôle. Comme en France, l'administration pénitentiaire congolaise réajuste les règles de visites aux détenus.

Ce n'est pas une nouveauté pour les autorités pénitentiaires congolaises, que d'instaurer un permis de visite pour les ayant-droits des prisonniers ou des proches désireux de les visiter.

Ce dispositif qui existe en France, pays dont se calque le Droit pénal congolais est rigoureusement encadré.

Pour rencontrer une personne détenue, vous devez obtenir un « permis de visite ».

Les démarches à effectuer varient selon la situation de la personne détenue : selon qu’elle est prévenue ou condamnée.

Le permis de visite est une autorisation donnée à quelqu’un de venir voir une personne détenue dans un établissement pénitentiaire.

Certains permis prévoient un nombre limité de visites, d’autres sont des permis permanents.

Dans le cas des permis de visite permanents, il n’est pas nécessaire de refaire une demande de permis à chaque fois, puisqu’ils sont valables pour toute la durée de détention.

Le permis est nominatif et strictement personnel (les mineurs doivent détenir également un permis de visite individuel).

Vous devez demander un permis de visite :

- au magistrat chargé de l’affaire en première instance : juge d’instruction/ procureur de la République après la clôture de l’enquête ;

- au procureur général de la cour d’appel en cas d’appel du jugement.

Les permis sont délivrés en priorité à la famille.

Le permis de visite reste valide même en cas de changement de l’autorité judiciaire.

Le magistrat peut refuser d’accorder le permis de visite. Au bout d’un mois de détention provisoire, il ne peut refuser le permis aux membres de la famille que par une décision spéciale et motivée.

Au Congo, le Doyen des juges sera désormais chargé, entre autres tâches, de délivrer le permis de visite.

Bertrand BOUKAKA  

Créé le 2017-03-03 08:06:06

Afrique du Sud - Xénophobie : Les sud-africains auraient la mémoire courte !

L'ex Président sud-africain, Thabo Mbeki, a condamné les attaques xénophobes contre les étrangers dans son pays. Il a exhorté ses compatriotes à ne pas oublier les sacrifices consenties par d'autres pays pour eux.

En vue de faire cesser les attaques contre les expatriés, l’ex Président a d’abord appelé les agences de sécurité à être plus proactives pour faire en sorte que la paix puisse régner dans le pays.

Thabo Mbeki a ensuite exhorté ses compatriotes à saisir la police lorsqu’ils découvrent ou soupçonnent des activités criminelles dans leur milieu. 

Par rapport à sa prise de position contre la marche anti-immigrants organisée la semaine dernière dans le pays, Tabou Mbeki a, en guise de reconnaissance à l’aide que d’autres pays ont porté à l’Afrique du Sud, a déclaré qu’ « En tant que Sud-Africains, nous ne devrions jamais oublier les énormes sacrifices qui ont été consenties par les pays d'Afrique pour nous aider à avoir notre libération ».

Face à ces violences, l'ambassade du Congo en Afrique du Sud a appelé les congolais à observer des mesures de prudence et à éviter les déplacements dans les zones à risques.

Malgré le déploiement policier et les condamnations officielles, les violences envers les étrangers semblent ne pas faiblir.

En dépit de l'absence de bilan officiel, outre les nombreuses destructions de biens appartenant à des étrangers, des morts par lynchage sont signalés ici de là.

Benoît BIKINDOU

Créé le 2017-03-03 07:49:49

Congo : Quatre nouveaux ambassadeurs présentent leurs lettres de créance au président Denis Sassou Nguesso

Quatre nouveaux ambassadeurs, N’dri née Yoman Aya Thérèse (Côte d’Ivoire), Harry Purwanto (Indonesie), S.K. Warrier (Inde) et Jahanbankhsh hassanzadeh (Iran) ont franchi hier le perron du palais du peuple de Brazzaville pour présenter leurs lettres de créances au chef de l’Etat congolais, Denis Sassou Nguesso.

Créé le 2017-03-03 07:02:48

Le Congo-Brazzaville et la Guinée-Bissau main dans la main

La Guinée-Bissau et le Congo-Brazzaville ont a signé mercredi plusieurs accords de coopération dans différents domaines, notamment ceux de la pêche, de l'agriculture et du pétrole, à l'issue de la visite à Bissau du Premier ministre congolais Clément Mouamba.

Créé le 2017-03-03 06:30:48

France : François Fillon entraîne son camp dans une course vers l'abîme selon Dominique de Villepin

L’ex premier ministre français, Dominique de Villepin a déclaré, dans une tribune dans Le Figaro, que le candidat du parti Les Républicains pour la présidentielle 2017, François Fillon «entraîne son camp dans une course vers l'abîme ».

Créé le 2017-03-02 20:16:28

Gabon : Six présumés homosexuels interpellés à Moanda

Six personnes dont trois expatriés et trois gabonais parmi lesquels un mineur de 15 ans, ont été interpelés vendredi dernier par la brigade de gendarmerie de Moanda et présentées devant le procureur de la République près du tribunal de 1ère instance de Franceville (sud-est), pour attentat présumé aux bonnes mœurs et viol sur mineur, rapporte le média en ligne ldadaily.com.

Créé le 2017-03-02 17:40:07

Congo : Les conditions de vie dans l'univers carcéral fortement décriées

Au Congo-Brazzaville, les opposants s’inquiètent des conditions de détention jugées trop "dures" pour leurs collègues incarcérés depuis des mois sans procès. Si les ONG locales dénoncent des conditions "horribles, le gouvernement assure que les prisonniers ont le minimum lié à leur statut.

Depuis la mort en prison du colonel Marcel Ntsourou, l’opinion s’interroge sur les conditions de détention des acteurs politiques dans les maisons d’arrêt.

Pour l’opposant Paul Marie Mpouélé, incarcéré pendant six mois en 2012, ces lieux de détentions sont de véritables mouroirs, "surtout concernant les conditions sanitaires". Le jeune opposant s’est dit ne pas être étonné "quand il y a des cas de décès dans nos prisons".

Le président d’une ONG locale, l’ADHUC, travaillant dans l’univers carcéral, confirme la situation. Loamba Moke décrit les prisons congolaises comme des lieux de punition et non de correction. "A la maison d’arrêt de Brazzaville, on y trouve les conditions les plus horribles. Elle a été construite pour accueillir 250 détenus. Aujourd’hui, ils sont plus de 1.000", indique-t-il.

Ces ONG dénoncent régulièrement la surpopulation carcérale à la maison d’arrêt de Brazzaville, construite en 1943. Les anciens détenus affirment que la vie y côtoie la mort.

Quant aux personnalités politiques détenus, l’opposant Clément Mierassa explique être "très inquiets par leurs conditions de détention", appelant les autorités à considérer les droits des détenus politiques.

Pour le ministre de la Communication et des médias, Thierry Moungalla, les prisonniers bénéficient du minimum lié à leur statut.

"Des organisations internationales qui nous tapent dessus pondent des rapports à des milliers de kilomètres à Dakar, à Paris ou à Londres, mais sans connaître la réalité. L’administration pénitentiaire au Congo est humaine et comprend les problèmes des prisonniers", a déclaré le ministre, en répondant à Amnesty International qui a récemment dénoncé dans un rapport de dures conditions des prisonniers.

Bertrand Boukaka/ Source VOA

Créé le 2017-03-02 10:21:31

Evaluation de la phase 1 du projet d’Appui à la conservation des écosystèmes et de la biodiversité du bassin du Congo

Le secrétaire général de la Communauté économique des Etats de l’Afrique Centrale (Ceeac), Ahmad Allam-Mi, a reçu le 27 février dernier à Libreville, une délégation de la Banque Africaine de développement (BAD) pour faire le point de la première phase 1 du projet d’Appui à la conservation des écosystèmes et de la biodiversité du Bassin du Congo (Pacebco) prévue pour le 30 juin 2017.

Créé le 2017-03-02 10:04:59

RDC – Violences de décembre : Le rapport de l'ONU accuse les Forces de sécurité

Dans un rapport accablant rendu public mercredi, l'ONU accuse les forces de sécurité de la République démocratique du Congo d'avoir fait usage de violences « excessives » et «disproportionnées », ayant conduit à la mort des populations.

Selon ce rapport onusien, publié par le Bureau conjoint de l'ONU aux droits de l'Homme en RDC, au moins 40 civils ont été tués et 147 autres blessés, entre le 15 et le 31 décembre 2016, dans plusieurs villes dont la capitale Kinshasa et Lubumbashi, les deux principales villes du pays.

Le document intitulé, « Rapport sur les violations des droits de l'homme en République démocratique du Congo dans le contexte des événements du 19 décembre 2016 », évoque l’usage « excessif et disproportionné de la force par les forces de l’ordre de la République démocratique du Congo », contre des manifestants non armés.

« La plupart des victimes étaient des civils non armés, blessés par balle au niveau des parties supérieures du corps, résultant d'un usage disproportionné de la force et de l'utilisation de balles réelles par les forces de défense et de sécurité, en particulier l'armée, dont les soldats de la Garde républicaine et de la police militaire, qui ne sont ni équipés ni entraînés pour les opérations de gestion des foules », lit-on dans le document.

Le rapport indique également, qu’au moins 917 personnes ont été arrêtées par les forces de l'ordre, durant la même période. 

Les autorités congolaises contestent ce rapport jugé « partisan et à charge pour le gouvernement ». Elles relèvent plutôt que ces manifestations avaient été organisées et planifiées par l'opposition. Elles visaient à instrumentaliser les populations dans un élan de provocation, en vue de pousser les forces de sécurité à la faute.

Benoît BIKINDOU

Créé le 2017-03-02 09:48:36

Vers une implantation d'un centre de maintenance aéronautique chinois à Brazzaville

Le vice-président du groupe chinois AVIC International Xu Bo a annoncé mardi, à l'issue d'un échange avec le ministre congolais des transports Gilbert Mokoki à Brazzaville, l'achèvement au premier trimestre de 2017 des travaux d'implantation d'un centre de maintenance aéronautique dans la capitale congolaise.

Créé le 2017-03-02 09:47:18

Guinée : Alpha Condé limoge trois ministres

Suite aux violentes manifestations d’élèves qui ont secoué durant plusieurs semaines le pays, les sanctions n’ont pas tardé à tomber, à commencer par le plus haut niveau de responsabilité.

Dans un décret publié lundi, le président guinéen Alpha Condé a démis le ministre de l'Enseignement pré-universitaire et de l'Alphabétisation Ibrahima Kourouma, le ministre de la Fonction publique, de la Réforme de l’État et de la Modernisation de l'Administration, Sékou Kourouma et le ministre de l'Environnement, des Eaux et Forêts, Christine Sagno.

Sept morts ont été enregistrés lors des manifestations d’élèves pour la reprise des cours après une grève générale d’enseignants.

Les cours ont finalement repris le 22 février après ces trois semaines de grève.

Benoît BIKINDOU

Créé le 2017-03-02 09:14:24

FIFA – Nigeria : Amos Adamu suspendu

La Fédération internationale de football association (FIFA) a suspendu le Nigérian Amos Adamu, ancien membre du comité exécutif de la Fifa.

Amos Adamu a été suspendu deux ans par l'instance du football international pour "violation du code d'éthique" de l'organisation.

Ancien membre du comité exécutif de la FIFA et de la Confédération africaine de football (CAF), Amos Adamu est l'un des nombreux noms du football mondial qui alimentent la chronique judiciaire ces dernières années, sur fond de scandales de corruption.

Sa suspension a pris effet le 28 février, date de la notification de la décision.

En 2010, la commission d’éthique de la FIFA l’avait déjà suspendu dans l’affaire de corruption liée à l’attribution des « Coupe du monde » 2018 et 2022.

Benoît BIKINDOU

Créé le 2017-03-02 08:52:16

Congo – Gastronomie : Frappé par la crise, le restaurant « Mamiwata » ferme ses portes

« Mamiwata », ce restaurant chic de Brazzaville, en bordure du fleuve Congo, s’insérait dans le paysage de la ville-capitale du Congo comme une référence gastronomique mais aussi un passage obligé pour les touristes. Il a hélas mis la clé sous le paillasson.

Une assemblée générale aux airs de requiem pour la cinquantaine d'employés du « Mamiwata », en ce mercredi 1er mars.

La réunion avait un seul ordre du jour, les modalités de licenciement des travailleurs et le règlement des droits qui s'y rapportent.

Pour Michel Perron et Alain Assemekang, les deux dirigeants de  «  l'entreprise », la tache a été rude pour expliquer à ces hommes et ces femmes qu'il n'y a plus de travail à leur proposer et qu'ils vont se retrouver à la rue.

Depuis quelques temps, le travail ou plutôt les clients ne venaient plus à eux. Tous ont en quelque sorte vécu cette situation au jour le jour, jusqu'à son point critique.

30.000 francs le plat basique, 3000 à 4000 francs la bouteille de boissons locales, avec ses menus et ses boissons aujourd'hui jugés hors de prix, le « Mamiwata » affichait complet naguère au point qu'il était l'attraction de ceux qui affichaient de la classe, voulaient se montrer avec une fille de classe ou des amis de classe, pour marquer leur classe.

Hélas, la crise économique est passée par là. Désormais, plus personne n'y vient pour dépenser sans compter ou pour se gaver des plats et consommer des boissons qui coûtent dix fois moins chers ailleurs.

Comme le « Mamiwata », de nombreux restaurants ou boites de nuits peinent désormais à attirer de la clientèle à Brazzaville et à Pointe-Noire. Certains ont fermé, d'autres ont compressé leur personnel.

À Pointe-Noire, de nombreux restaurants de la zone industrielle ont cessé leurs activités du fait de la baisse d'activité dans ladite zone. Tous ont un seul coupable désigné : la crise.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-03-02 08:28:00

Ukraine : Les étudiants congolais exigent le paiement de leur bourse dans les plus brefs délais

Les étudiants congolais en Ukraine exigent le paiement de leur bourse dans les plus brefs délais. Ils ont fait part de leur mécontentement dans une lettre ouverte aux autorités congolaises.

Créé le 2017-03-01 16:22:06

Congo: les étudiants de l’université Marien Ngouabi en grève

Les étudiants de la faculté de lettres et de sciences humaines ont entamé leur deuxième semaine de grève. Motif : les bourses pour le quatrième trimestre de 2016 qui n'ont toujours pas été versées, et le fait que, pour le moment, la campagne d'attribution des bourses 2017 n'a pas débuté.

Créé le 2017-03-01 14:58:44

RDC : la CENCO redoute un plan de retardement des élections

Les évêques membres de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) redoutent, dans leur déclaration publiée à l’issue de leur assemblée plénière, « une planification en vue de retarder ou d’empêcher la tenue des élections » en RD Congo.

Les évêques s’inquiètent notamment de la « multiplication des foyers d’insécurité et de violences qui se généralisent sur la quasi-totalité du territoire national et donnent à penser à un plan de balkanisation de la RDC ».

Ils estiment que cette insécurité dont l’église catholique elle-même en fait les frais, est due à plusieurs facteurs dont « le déficit dans la gestion administrative de l’État, l’impunité favorisant le laisser-aller, la politisation et l’instrumentalisation du pouvoir coutumier et la porosité des frontières de notre pays ».

Cette situation est également consécutive à des manipulations des populations sur fond des clivages identitaires ou politiques, ajoute le message de la CENCO.

Face à cette situation, les évêques qui disent « non au blocage de l’application intégrale et rapide de l’Accord du 31 décembre 2016 », appellent les politiciens congolais à « être sensibles au cri de détresse du peuple » et à aplanir sans délai les points de divergence quant à l’Arrangement particulier afin de parachever les négociations en cours.

Germaine Mapanga   

Créé le 2017-03-01 09:55:48

Afrique du Sud : Les violences contre les étrangers continuent

Les violences xénophobes se poursuivent en Afrique du Sud, où des commerces appartenant à des étrangers ont été pillés et vandalisés.

De nombreux cas d'exaction et de destruction de biens ont été signalés dans le centre de Johannesburg et à Pretoria.

Une centaine de personnes ont pillé et vandalisé des boutiques appartenant à des commerçants étrangers notamment, à des Nigérians.

Cette chasse aux étrangers vise, selon eux, à lutter contre l’insécurité. 

Le ministre de l'intérieur, Malusi Gigaba, en soutien est allé prier à Pretoria avec des membres de la communauté nigériane. Une manière de les rassurer qu'ils ne risquent rien et qu'ils sont protégés. 

Plusieurs Sud-Africains en colère contre les Nigérians ont accusé les immigrés, notamment des nigérians de trafic de drogue et de prostitution.

Bertrand BOUKAKA   

Créé le 2017-03-01 08:55:34

Congo – Circulation routière : Un policier humilie en public un chauffeur de bus

Les policiers de la circulation routière régneraient-ils en maîtres absolus sur le réseau routier congolais ? Nombreux d'entre-eux s'illustrent par des pratiques fort blâmables qui mériteraient que la tutelle s'y penche.

L'image crée le buzz dans les réseaux sociaux avec des commentaires qui hélas n'impactent pas seulement le policier au matricule 235.

Quel que fut le reproche, l'infraction ou l'outrage, la scène irréaliste montre un policier sermonnant un chauffeur de bus à genou. Une posture qui rappelle ces temps révolus du maître infligeant des punitions corporelles à l'élève.

Si la scène, autant qu'elle a créée la désolation est apparemment sans conséquences pour le policier, dans d'autres pays, elle aurait été une affaire d'État pour des syndicats de transporteurs qui auraient conduit le pays jusqu'à la paralysie, pour obtenir réparation.

Ceux-ci, outre la plainte qu'ils auraient déposée pour des faits d'humiliation et de sévices corporelles par personne détentrice de l'autorité, ils auraient en dehors de la demande de suspension dudit agent, exigé jusqu'à sa révocation ou tout au moins son retrait des effectifs de la police routière.

Naturellement, le parquet se serait saisi de l'affaire et des mesures conservatoires seraient prises sur le policier par sa hiérarchie, en attendant l'aboutissement de l'enquête.

« État de droit », « Rupture », ces vocables désormais sur toutes les bouches ne sont pas seulement des mots. Ils sont une somme de comportements à bannir et d'autres plus conformes à adopter, et cela à tous les niveaux.

Après il y a quelques mois un policier boxant un chauffeur de taxi, voici qu'un autre met à genou un chauffeur de bus. Des pratiques pour lesquelles on est en droit de se demander si ces agents sont vraiment formés et qu'ils ont bien leur place dans ce corps de métier.

Ne présumons de rien, attendons de voir ce qu'il en sera pour le policier au matricule 235 vis à vis de sa hiérarchie.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-03-01 08:31:04

Congo – Revendications sociales : Les douanes congolaises entrent en grève

L’intersyndicale des travailleurs des douanes a annoncé une grève illimitée sur l’ensemble du territoire à partir de ce 1er mars.

La décision d'entrer en grève a été prise à l’unanimité, au cours d’une assemblée générale extraordinaire tenue le 28 février au siège de ladite administration à Brazzaville.

« Au regard de l’échec des négociations avec la tutelle  au sujet de tous les points inscrits dans le cahier des charges, nous décidons de lancer une grève illimitée sur toute l’étendue du territoire à partir du 1er mars », indique le communiqué final de cette assemblée générale, lu par Moudienguélé Paul, 2e vice-président du syndicat des Douanes du Congo.

Les douaniers déplorent la nomination, à des postes de responsabilité, de certains agents subalternes, des agents en formation et d’autres encore ayant déjà fait valoir leurs droits à la retraite.

D'autre part, ils réclament la restitution, par la tutelle, de la redevance informatique (RDI), une taxe qui selon le président de ce syndicat, Juste Macaire Bidingou, n’est pas reconnue au niveau de la comptabilité du Trésor public.

Les passations de service relatives aux récentes nominations ont suscité des mécontentements dans plusieurs brigades mardi.

Au Beach de Brazzaville par exemple, des coups de feu se sont fait entendre.

À la direction départementale des Douanes de Pointe-Noire par contre, il a fallu l’intervention de la police pour débloquer l’entrée qui a été barricadée pour empêcher la cérémonie de passation de consignes.

En cette période de chute des cours du pétrole, la Douane, par ses recettes,  apparaît comme l'une des principales pourvoyeuses des ressources de l’État.

Bertrand BOUKAKA   

Créé le 2017-03-01 07:26:44

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