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L'ancien ministre tchadien des Affaires étrangères, Moussa Faki Mahamat, a pris ses nouvelles fonctions de président de la Commission de l'Union africaine (UA), mardi.
Détaillant ses priorités, l'ancien diplomate tchadien a promis de réformer l'institution et de s'attaquer aux nombreuses crises du continent.
Moussa Faki Mahamat, arrive à la tête de l'Union africaine au moment où le continent est confronté à la "pire crise humanitaire depuis la fin de la Seconde guerre mondiale" avec un risque de malnutrition et de famine pour 20 millions d'habitants de trois pays d'Afrique, notamment la Somalie, le Soudan du Sud et le Nigeria.
"La famine qui ravage ces jours-ci de vastes régions d’Afrique constitue une vraie humiliation pour nous. L'immense potentiel de notre continent et le taux de croissance économique enviable de nombreux États membres de l'Union ne nous laissent aucun argument justificatif de cette hideuse tragédie humaine", a-t-il dit au siège de la Commission de l'UA à Addis-Abeba.
Le Tchadien âgé de 56 ans a été élu en janvier après avoir été depuis 2008 le chef de la diplomatie de son pays, allié de l'Occident dans la lutte antijihadiste, et un fidèle du président Idriss Déby Itno.
Son élection à la tête de l'UA marque un probable recentrage autour des questions de paix et de sécurité, sur un continent qui souffre de nombreuses crises, après le bilan très critiqué de sa prédécesseur, la Sud-Africaine Nkosazana Dlamini-Zuma, sur ces thématiques.
Il avait fait campagne sur le thème de "développement et sécurité".
Benoît BIKINDOU
Créé le 2017-03-15 08:11:53
François Fillon a été mis en examen mardi dans l'enquête sur de possibles emplois fictifs de sa femme et de ses enfants comme assistants parlementaires, une première pour un candidat majeur dans la course à l'Élysée.
Initialement convoqué mercredi par les juges, le candidat de la droite, dont la campagne est plombée par cette affaire, a été mis en examen pour détournement de fonds publics, complicité et recel de détournement de fonds publics, recel et complicité d'abus de biens sociaux et manquement aux obligations de déclaration à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP).
"L'audition a été avancée pour qu'elle se déroule dans des conditions de sérénité", a expliqué Me Antonin Lévy, l'avocat de François Fillon.
Malgré sa mise en examen, celui qui face à ses concurrents de la primaire, notamment Alain Juppé et Nicolas Sarkozy, agitait la probité du général de Gaulle qui ne se serait pas porté candidat s'il était mis en examen, a trahit sa parole, se disant plutôt victime du système et des juges.
Ce ''parjure'' a profondément divisé les rangs de la droite et du centre, déstabilisant même le socle électoral de François Fillon.
N'est pas De Gaulle, qui veut.
Benoît BIKINDOU
Créé le 2017-03-15 07:36:57
Les locaux abritant les bureaux ainsi que le tribunal de grande instance de Mossendjo sont désormais hors d'usage. Un pan de mur s'est effondré, l'édifice tout entier menace de s'écrouler.
Tribunal de grande instance de Mossendjo, c'est sur un tas de gravats qu'est posé le tableau sur lequel est inscrit le message qui oriente les usagers vers les locaux de la mairie où sont provisoirement installés les services du tribunal.
Depuis son ouverture, le tribunal de grande instance de Mossendjo a toujours occupé un bâtiment qui ne paye pas de mine.
Ce bâtiment au toit conique construit dans la décennie 60 a outrageusement pris un coup de vieux. Les pluies diluviennes y ont apporté le coup de grâce. Une partie de la façade principale s'est effondrée.

Beaucoup pensaient qu'à la faveur de la municipalisation accélérée qu'avait connu le département du Niari, la réhabilitation ou la reconstruction à Mossendjo de ces locaux au rôle hautement régalien serait inscrite au chapitre des réalisations immobilières. Il n'en fut hélas pas le cas.
Pour seule innovation, les façades extérieures du bâtiment du tribunal furent badigeonnées pour donner plus d'éclat à l 'environnement festif.
Un décret-loi du 8 janvier 1999 pris par le président de la république créé le tribunal de grande instance à Mossendjo, dans la région du Niari.
Le ressort du tribunal de grande instance de Mossendjo s'étend sur les districts de Mayoko, Makabana, Mbinda, Moutamba, Moungoundou Sud, Mougoundou Nord, précise ledit décret-loi.
Bertrand BOUKAKA
Créé le 2017-03-14 07:42:04
Elle avait fait des ravages en Centrafrique et au nord de la RDC il y a quelques temps, la maladie virale dite « variole du singe » s'est déclarée dans les districts d’Impfondo, Bétou, Enyelle et Dongou dans le département de la Likouala. La tranche d'âge de 4 à 40 ans, plus exposée aux contacts quotidiens est la plus exposée à la pandémie.
L'annonce officielle de cette maladie très propagatrice a été faite par la ministre de la Santé et de la population, Jacqueline Lydia Mikolo, le 13 mars.
Le bilan a t-elle dit se monte déjà à trois morts, précisant que le Gouvernement est à pied d’œuvre pour endiguer le mal et freiner sa propagation.
Déjà signalée en 2003, la variole du singe resurgit pour une seconde fois dans le département de la Likouala.
Cette maladie très invalidante se manifeste par l'apparition de pustules en forme de boutons imposants remplis de liquide qui envahissent tout le corps, le cuir-chevelu y compris. Le malade ressent une forte poussée de fièvre.

La contamination se fait par le contact entre un animal malade et l’homme ensuite d’un homme malade à un sujet sein.
« Le traitement à ce jour est symptomatique, il n’y a pas de vaccin contre la maladie », a expliqué la ministre de la Santé et de la population, dans sa déclaration.

Jacqueline Lydia Mikolo a par ailleurs précisé que même si la maladie est bien circonscrite, elle présente des risques de propagation.
Le Gouvernement met en œuvre un plan de riposte à travers plusieurs mesures : la mise en place d’une équipe de coordination pluridisciplinaire et multi sectorielle avec l’appui de l’OMS et d’autres partenaires bilatéraux, notamment les États-Unis ; la prise en charge gratuite et sécurisée des malades ; le plaidoyer et la mobilisation sociale auprès des autorités et des communautés locales ; le renforcement des campagnes et la sensibilisation à travers les médias.
Outre cela, il y a le renforcement de la surveillance épidémiologique, avec à la clé, l’interdiction formelle de toucher aux singes et autres animaux sauvages et domestiques ; le renforcement de l’hygiène individuelle et collective par la désinfection des lieux comme les domiciles des malades, les formations sanitaires et les écoles ainsi que d’autres lieux publics…
« La mise en œuvre de ce plan de lutte contre la variole du singe nécessite une vigilance de la population et une mutualisation des efforts. J’appelle les partenaires techniques et financiers à apporter leur appui habituel afin de juguler rapidement cette épidémie », a conclu Jacqueline Lydia Mikolo, soulignant que les équipes de travail sont déjà sur le terrain.
Bertrand BOUKAKA
Créé le 2017-03-14 07:23:58
Par décret n° 2017-29 du 13 mars 2017, le président de la République, Denis Sassou N’Guesso a nommé les nouveaux sous-préfets.
Ces nominations concernent :
Département de la Bouenza
District de Kingoué : Goma Moungathy Rigobert
District de Yamba : Babakouené Louis Marie
District de Madingou : Samba Apollinaire
District de Mouyondzi : Kiba Jean Pierre
Département de la Cuvette
District de Ntokou : Essabé Alphonse
District de Ngoko : Ondzé Paul Bernard
Département de la Cuvette-Ouest
District de Kellé : Tsitsa Gaspard
District d’Okoyo : Ondoungou Germain
Département du Kouilou
District de Hinda : Ndinga-Oba Edouard
Département de la Lékoumou
District de Mayeyé : Ngoma Ngouma Simon
District de Zanaga : Ngoulou Frédéric
Département du Niari
District de Nyanga : Bouka François Serge
District de Louvakou : Kongo Nzaba Albane
Département des Plateaux
District de Djambala : Amboud Sidonie
District d’Abala : Mbola Jean Pierre
District d’Ongogni : Ngakegni Maturin
Département du Pool
District de Kinkala : Ondziel-Onna Alain
District de Boko : Kiamossi Théodore
District de Mbanza-Ndounga : Banimba Symphorien
Département de la Sangha
District de Ngbala : Diantouani Corentin
Département de la Likouala
District d’Enyelle : Nkeket Robert
District de Dongou : Ndasse Michel
Arrielle KAMBISSY/Source présidence de la République du Congo
Créé le 2017-03-14 07:12:42
14 mars 2009-14 mars 2017, huit ans depuis sa disparition dans une clinique marocaine à l’âge de 45 ans, l’émotion est toute chaude, les traces des larmes sur les joues restent encore visibles autant que ses actes. Ces élans de générosité, tout le monde en parle encore au Gabon, au Congo et en Afrique.
Créé le 2017-03-14 05:46:54
Georges Ouavelakedi, député de Moungoundou-Sud de la onzième législature (2002-2007), sénateur du département du Niari (2009-2014) et conseiller départemental du district de Moungoundou-Sud pour le compte du PCT est mort à la suite de maladie, à l'hôpital Adolphe Cissé de Pointe-Noire , le samedi 11 Mars 2017 à 19h.
Créé le 2017-03-13 15:44:44
Au moins 46 personnes ont été tuées et des dizaines blessées par un immense éboulement d'ordures dans la plus grande décharge d’Éthiopie, en périphérie d’Addis-Abeba la capitale, samedi.
L'éboulement a touché une zone relativement grande la décharge s'étendant sur plus de 30 hectares.
Le bilan provisoire de cette catastrophe est de 46 morts, selon le porte-parole de la municipalité d'Addis-Abeba qui précise que des enfants figurent parmi ces victimes.
La plupart des personnes tuées habitaient sur cette décharge, fouillant quotidiennement les hauts amoncellements de déchets à la recherche d'objets susceptibles d'avoir de la valeur.
Des témoins et rescapés ont affirmé qu'un flanc de la principale montagne de déchets s'était subitement détaché samedi soir et avait emporté des habitations de fortune des résidents de la décharge de Koshe, qui signifie « saleté » en argot amharique, la principale langue du pays.
Les résidents soutiennent que cet effondrement est dû à des travaux d'aplanissement au sommet de la montagne de déchets, dans le cadre de la construction d'une centrale au biogaz exploitant les ordures.
Ces travaux auraient accentué la pression sur les flancs de la colline, entraînant l'éboulement.

Les autorités avaient demandé aux chiffonniers d'évacuer le dépotoir en raison des travaux, mais que ceux-ci étaient restés malgré les avertissements. La décharge avait en outre été fermée l'année passée au profit d'un autre dépôt d'ordures, où les habitants de Koshe n'ont pas souhaité « déménager ».
Benoît BIKINDOU
Créé le 2017-03-13 12:19:14
Le Fonds monétaire international (FMI) a noté dans une conclusion publiée le 10 mars à Washington que la dette publique du Congo avait atteint les 77% du Produit intérieur brut (PIB). Selon la norme établie au sein de la Communauté économique et monétaire des États de l’Afrique centrale (CEMAC), l’endettement public ne doit pas dépasser 70% du PIB.
Le traitement de cet encours nécessite des mesures d’ajustement du budget de l’État, selon Abdoul Aziz Wane qui a récemment conduit une mission du FMI à Brazzaville.
Le gouvernement n’a plus assez de ressources pour faire face à cette dette, car l’économie nationale, dépendant du pétrole, subit depuis 2014 les effets de la chute drastique des prix du brut sur le marché international.
Dans son budget exercice 2017 estimé à plus de 2.744 milliards de francs CFA, le gouvernement congolais a prévu de traiter cette dette publique à hauteur de 27,6 milliards.
Les opérateurs économiques réclament quelque 5 milliards de francs CFA de dette. Ils manifestent régulièrement sous les fenêtres du ministre des Finances, l’appelant à payer leurs créances.
S’ajoutent parfois les travailleurs des sociétés liquidées comme l’ATC ou l’ONPT, qui réclamant eux aussi une lourde ardoise.
La plupart des enseignants intégrés entre 1991 et 2010 demandent également le paiement du rappel des soldes d’activités.
La dette publique s’est aussi accrue avec les retards constatés dans le paiement des pensions de retraite et les bourses des étudiants qui exigent le paiement de 3 mois de bourse de l’année 2016 avant de reprendre les cours à l’université Marien Ngouabi.
Dans le chapitre de bourses, l’État congolais a programmé 30 milliards de francs CFA cette année.
La masse salariale a augmenté jusqu’à 451 milliards de francs CFA pour cet exercice budgétaire. Le gouvernement a tenu sa promesse de verser les derniers 25% sur les salaires des fonctionnaires qui jouissent tous depuis janvier 2017 de l'indice 300.
Le gouvernement congolais avait par ailleurs sollicité auprès de la Chine le rachat de sa dette auprès des sociétés qui ont réalisé les ouvrages au Congo. C’est-à-dire, le Congo ne pouvant directement payer ses factures auprès des sociétés chinoises, l’État chinois, grâce à sa banque centrale, avait pris cet engagement, et que le Congo devrait lui rembourser. C’est aussi une dette. Actuellement, le pays n’a plus une vraie marge de manœuvre pour faire face à cette dette, analysent les spécialistes du FMI.
Poursuivant la même analyse, les fonctionnaires de l’institution du Breton Wood estiment que le Congo n’a pas été percutant dans ses choix qui ont provoqué cet endettement.
«Les prêts improductifs ont augmenté du fait de l’accumulation des arriérés du gouvernement qui a affaibli les entreprises privées. Le gouvernement a accumulé des arriérés extérieurs en 2016 et 2017», soutient Aziz Wane.
Bertrand BOUKAKA
Créé le 2017-03-13 11:57:02
Les services du FMI ont conclu une mission pour entamer des discussions avec la République du Congo vers un programme financier supporté par le FMI et pour finaliser les discussions sur la consultation au titre de l’Article IV des Statuts du FMI.
Voici l'intégralité du communiqué de presse publié à l'issue de cette mission.
L'équipe du FMI a fait des progrès notables dans l'analyse des politiques des autorités pour 2017 et le moyen terme et de leurs implications sur la soutenabilité budgétaire et la stabilité externe.
Les autorités visent à renforcer les marges de manœuvre de la République du Congo, conformément à l'objectif régional de sauvegarder la stabilité extérieure.
Les discussions se poursuivront au cours des prochaines semaines sur un ensemble de mesures qui pourraient être appuyées par le FMI.
Une équipe du FMI dirigée par M. Abdoul Aziz Wane s'est rendue à Brazzaville du 20 février au 8 mars 2017 pour entamer des discussions sur un éventuel programme appuyé par le FMI et finaliser les discussions sur la consultation de l'article IV de 2017.
À la fin de la mission, M. Wane a fait la déclaration suivante:
« La baisse des prix internationaux du pétrole fait subir des difficultés considérables à l'économie de la République du Congo, qui s‘est fortement contractée en 2016. Le choc pétrolier a coïncidé avec les efforts du gouvernement visant à améliorer l'infrastructure du pays et à augmenter les salaires des fonctionnaires. En conséquence, la dette publique a augmenté à 77 pour cent du PIB, et les marges de manœuvre du gouvernement ont été érodés. En particulier, les réserves internationales imputées de la République du Congo sont tombées à 2 mois d'importations. Les prêts improductifs ont augmenté du fait de l'accumulation des arriérés du gouvernement qui a affaibli les entreprises privées. Le gouvernement a accumulé des arriérés extérieurs en 2016 et 2017.
« Dans ce contexte, les autorités visent à renforcer les marges de manœuvre de la République du Congo, conformément à l'objectif régional de sauvegarder la stabilité extérieure. Cela implique un ajustement budgétaire important pour renforcer la confiance des investisseurs, contenir la dette publique à des niveaux durables et stimuler la croissance. L’équipe du FMI se félicite des objectifs des autorités d‘ajuster leur enveloppe de dépenses en priorisant les projets d'investissement, tout en protégeant les dépenses sociales et les filets sociaux. Les autorités ont l'intention de stimuler les efforts de mobilisation des recettes pour minimiser les réductions des dépenses. Elles ont pris bonne note de la concentration des paiements au titre du service de la dette au cours des trois prochaines années qui complique considérablement leurs efforts d'ajustement.
« L'équipe du FMI a fait des progrès notables dans l'analyse des politiques des autorités pour 2017 et le moyen terme et de leurs implications sur la soutenabilité budgétaire et la stabilité externe. Les discussions se poursuivront au cours des prochaines semaines sur un ensemble de mesures qui pourraient être appuyées par le FMI.
« La mission du FMI a été reçue en audience par son Excellence le Premier ministre Clément Mouamba; L’équipe a rencontré le Ministre d’État de l'Économie, du Développement industriel et de la Promotion du secteur privé, M. Ondongo; le Ministre de la Planification, des Statistiques et de l'Intégration, Mme Ebouka-Babackas, ministre par intérim des Finances; le Ministre de l’aménagement du territoire et des grands travaux, M Bouya; le Ministre de la Santé et de la Population, Mme Mikolo; le Ministre des affaires sociales, de l'action humanitaire et de la solidarité, Dinga-Dzondo; et de hauts fonctionnaires de la Direction nationale de la Banque centrale, ainsi que des représentants du secteur privé et des partenaires au développement.
«La mission tient à remercier les autorités pour l'accueil chaleureux et la collaboration. »
Bertrand BOUKAKA/Source : Département de la communication du FMI
Créé le 2017-03-13 11:14:33
La 11ème édition du Festival Panafricain de Musique FESPAM se déroulera du 8 au 21 juillet à Brazzaville sur le thème « Musique et environnement en Afrique et dans la diaspora ».
Afin d'harmoniser les différents aspects administratifs inhérents à la participation des artistes, le commissariat général du FESPAM a convié les artistes musicien à remplir leur formulaire d'appel à candidature et à les déposer au siège du FESPAM.
Cette action qui est entièrement gratuite peut aussi être accomplie en ligne, à l'adresse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..
Soucieux de veiller à la bonne marche et à l'équité de ce processus, le Commissariat général du FESPAM rappelle au public qu'il n'a mandaté personne pour collecter de l'argent afin de remplir les formulaires.
Le FESPAM se réserve ainsi le droit d'engager des poursuites à l'encontre des éventuels contrevenants. Aussi, précise t-il qu'aucun artiste n'a encore été sélectionné. La sélection se fera après dépouillement des dossiers de candidature.
La date limite des dépôts des candidatures a été repoussée au 20 mars 2017 pour les artistes musiciens locaux.
Benoît BIKINDOU
Créé le 2017-03-13 10:01:39
Prélude aux travaux du Comité Mixte de défense Congo-Afrique du sud, le ministre de la Défense nationale, Charles Richard Mondjo a reçu le 10 mars, une délégation sud-africaine conduite par son ministre de la Défense et des Vétérans, Nosiviwe Mapisa-NQakula.
Les échanges ont essentiellement porté sur les documents à soumettre au dit Comité Mixte de défense Congo-Afrique du sud prévu du 21 au 22 mars prochain à Brazzaville.
Les questions liées à la formation, au suivi et aux échanges en matière des renseignements sont venus conforter le Mémorandum d’entente qui avait été signé entre la République du Congo et la République sud-africaine en matière de défense.
« Par rapport au Mémorandum qui existe, il a aussi été établi un comité conjoint de défense qui aura la mission de regarder toutes les questions en matière de défense et l’aspect sécuritaire des deux États, le Congo et l’Afrique du sud », a confié la ministre Nosiviwe Mapisa-NQakula.
Bertrand BOUKAKA
Créé le 2017-03-13 09:03:15
La Force publique congolaise a mis la main sur quatre agents coordonnateurs de la logistique du pasteur Ntoumi. Ces arrestations coupent les axes de ravitaillement des ninjas nsiloulou.
Selon notre confrère ''Le Troubadour'' qui a publié la nouvelle, ces personnes étaient au cœur d'un système qui fournissaient aux ninjas des produits en tous genres, afin d'entretenir le maquis dans les forêts du Pool.
Nous vous présentons les quatre interpellés, maillons principaux de la chaîne de ravitaillement. Ils auraient tous avoué leur implication.
Pascal Binazenza alias capitaine Tite

L'homme est capitaine et policier de formation. Il exerçait comme instructeur à l'École militaire préparatoire général Leclerc, au moment de son arrestation.
Ancien chef de la garde rapprochée de Frédéric Bintsamou, il fut également son conseiller à la sécurité de 1998 à 2002.
Même s'il avait regagné les rangs de la police à la faveur des accords de paix et de cessation des hostilités, Pascal Dianzenga n'avait pas coupé les ponts avec le pasteur Ntoumi. Son rôle consistait à fournir aux ninjas des crédits téléphoniques ainsi que divers objets de prière indispensables pour le « combat ».
Fidèle Samuel Miénantima

Agent des services du commerce, ce gestionnaire serait l'un des maillons le plus important de la chaîne. C'est le gestionnaire de la fortune du pasteur Ntoumi. Il assurait les besoins financiers des différents fronts et pourvoyait en argent le réseau de ravitaillement.
Marc Bissihou alias tâta satana

Agent de santé formé en soins infirmiers en RDC, Marc Bissihou assurait le relais médical avec les ninjas.
Ancien chef du centre de santé du pasteur Ntoumi à Soumouna, son action consistait à faire acheminer les produits pharmaceutiques, notamment ceux utilisés pour le traitement des blessures ainsi que ceux de la « petite chirurgie de guerre ».
Marc Bissihou a été très actif auprès d'un chef ninja, Yindoula qui aurait eu de nombreux blessés, voire des morts dans ses rangs. La prise en charge de ces blessés a nécessité une action de grande ampleur de Marc Bissihou.
Noël Mienanzambi

Enseignant à la retraite, ce proche de Yindoula était l'agent de liaison. Il a été appréhendé pour avoir participé à des missions de ravitaillement des ninjas nsiloulou.
Arrielle KAMBISSY
Créé le 2017-03-13 08:12:52
L’hôpital général Edith Lucie Bongo Ondimba d’Oyo (nord) inauguré par le président Denis Sassou Nguesso, le 10 mars 2017 de par la qualité de ses équipements, donnera de soins de qualité aux populations locales et environnantes à moindre coût avec des consultations à la médecine générale à la portée de toutes les bourses, selon le directeur des soins infirmiers de cet établissement, Thyte Fortuné Kintsouka.
Créé le 2017-03-11 13:59:00
La production du lait de l’Alima lancé à Edou (nord) en novembre 2013, varie entre 800 à 1000 litres de lait par jour, contre 2500 à 3000 litres de lait par jour, en 2016.
Créé le 2017-03-11 11:18:47
Le Président congolais, Denis Sassou Nguesso a procédé, le 9 mars 2017, à l’inauguration officielle du Musée Kiebe-Kiebe au village Ngolodoua (nord) en présence de l’ex président malien de 1992 à 2002 et président de la Commission de l’Union africaine jusqu’en 2008, Alpha Oumar Konaré.
Créé le 2017-03-11 10:24:27
Un président à l'hôpital. Denis Sassou Nguesso a inauguré ce vendredi 10 mars l’hôpital général spécialisé d’Oyo (nord), qui porte le nom de sa défunte fille, Mme Édith Lucie Bongo Ondimba donnant du coup l’opportunité de devenir immédiatement opérationnel.
Créé le 2017-03-10 19:06:56
Un jeune fan du Paris Saint Germain (PSG) a mortellement poignardé son camarade qui s’est moqué de lui mercredi soir à Libreville au Gabon, suite à l’élimination humiliante du club français par le Barça (1-6) lors d’un match retour de la ligue européenne des champions, rapporte le quotidien gabonais L’union.
Créé le 2017-03-10 18:12:03
La charge de la police avec lancement de grenades lacrymogènes et tirs de sommation au lycée Victor Augagneur le 6 mars dernier a hélas fait une victime : Mégane Tchibinda.
La colère gronde au lycée Victor Augagneur de Pointe-Noire où la journée de jeudi a été celle d'une mise au point de l'administration auprès des élèves, suite aux derniers événements qui ont malheureusement endeuillé l'établissement.
Si les causes du décès de Mégane Tchibinda ne sont pas clairement définies, pour les élèves et le corps enseignant, cela est la résultante de la descente musclée et disproportionnée de la police dans leur établissement.

Entre coups de matraques, tirs de sommation et de gaz lacrymogène, ce fut la débandade dans une bousculade indescriptible.
De nombreux élèves incommodés par le gaz lacrymogène s'évanouirent et n’eurent pas une assistance médicale appropriée.
Les policiers étaient du reste repartis sans se soucier de ces victimes évanouies, en grande majorité des filles, étalées à même le sol, sans défense et dans un état qui nécessitait sans doute une prise en charge urgente.

Mégane Tchibinda aurait-elle été atteinte par un projectile? Avait-elle des antécédents médicaux respiratoires voire asthmatiques pour lesquels le gaz inhalé aurait provoqué une crise fatale? Aurait-elle été asphyxiée et étouffée par ledit gaz ? Autant de questions auxquelles seule un examen légiste pourra apporter des réponses.
En attentant d’hypothétiques résultats d'une enquête qui sans doute ne viendra pas, les élèves du lycée Victor Augagneur ont déjà désigné le coupable de ce qui à leurs yeux est un crime, un certain ''Zulu-bad'', policier à la réputation sulfureuse à Pointe-Noire.

Cet "as de la gachette" ne serait pas à sa première expédition ayant occasionné mort d'homme.
Bertrand BOUKAKA
Créé le 2017-03-10 09:12:39
Un homme, âgé de 54 ans, était jugé cette semaine par un Tribunal de Grande-Bretagne pour avoir violé sa fille dans le comté de Warwickshire, au nord de Londres.
Créé le 2017-03-10 08:42:45