Magazine

  • Qui sommes-nous ?
  • Contact

Menus

  • Accueil
  • 1xbet Afcon
  • economie
  • Politique
  • Monde
  • Culture
  • Environnement
  • Sport
  • Société
  • Faits divers
  • Contact
Les Echos du Congo Brazzaville Les Echos du Congo Brazzaville Les Echos du Congo Brazzaville
  • Accueil
  • 1xbet Afcon
  • economie
  • Politique
  • Monde
  • Culture
  • Environnement
  • Sport
  • Société
  • Faits divers
  • Contact
  • Congo – Economie-forestière : Le safoutier a réalisé le taux le plus élevé des ventes de la 9e édition de la Foire aux plants

    - -
  • Congo - La Quinzaine du Gouvernement : Anatole Collinet Makosso a été face à la presse nationale et internationale pour décortiquer l’ouvrage « En toute transparence : 2021-2026, le bilan du quinquenn ...

    - -
  • Congo – Médias : Peggy Hossié s’en est allée, une étoile a rejoint le firmament

    - -
  • Antoine Ngonda l’émissaire du Président de la RDC a fait l’état des lieux des accords signés aux USA entre Kinshasa et Kigali

    - -
  • Congo : une baleinière prend feu au port de Yoro à Brazzaville

  • Congo : Un véhicule de la SNPC percute et casse l’aile droite d’un avion de Canair

Rechercher :

Total : 11269 résultats trouvés.

Page 420 sur 564

France : Emmanuel Macron échappe à une tentative d'assassinat

La France vit désormais dans la crainte permanente du terrorisme islamiste. Un homme de 23 ans, menaçait ainsi de tuer le président nouvellement élu de la France, Emmanuel Macron, lors du défilé du 14 juillet prochain.

Créé le 2017-07-04 14:04:29

Congo – Finances: Le spectre d'une dévaluation du franc CFA hante les ménages

La nouvelle s'invite désormais dans les discussions au bureau, dans le bus ou dans les « ngandas ». Le francs CFA sera de nouveau dévalué. Cette perspective jette un froid sur de nombreux ménages qui y voient une diminution de leur pouvoir d'achat notamment pour les produits importés d'Europe.

Aline est commerçante, et ne manque presque jamais de petites coupures au point qu'elle accepte de faire le change, « la monnaie » comme on aime communément à le dire au Congo.

À son amie qui lui sollicite la « monnaie » de 10.000 francs, elle répond qu'elle garde désormais tout son argent en euros, afin de profiter de la dévaluation du francs CFA qui s’annonce et ne saurait tarder.

Vraie ou supposée, cette dévaluation du francs CFA se « consomme » désormais au quotidien et le manque de communication des autorités pour en infirmer ou confirmer la perspective, ajoute de la force à la rumeur.

De nombreux congolais ont en mémoire la dévaluation du franc CFA qui avait déstructuré le commerce, alors qu'elle visait à résorber les déséquilibres économiques et financiers profonds apparus au cours de la seconde moitié des années 80.

La dévaluation visait alors trois objectifs : le rétablissement de la compétitivité externe des économies de la Zone franc et le redressement des balances commerciales. La réduction des déficits budgétaires et la reprise de la croissance.

Ainsi, la dévaluation devait en premier lieu, stimuler les exportations et freiner les importations. L'effet-prix de la dévaluation étant immédiat, la balance commerciale devait se dégrader dans un premier temps avant de se redresser à la suite de l'effet-quantité qui ne se manifeste généralement qu'au terme d'un certain délai, et dont l'importance dépend, entre autres, de la structure du commerce extérieur et de l'ampleur de la dévaluation.

Quant à la réduction des déficits budgétaires, l'augmentation des prix exprimés en francs CFA des importations et des exportations, conjuguée à la croissance en volume de ces dernières, devait permettre d’accroître les recettes budgétaires, largement dépendantes de l'imposition du commerce extérieur, et partant, de contribuer à la résorption des déficits publics.

Enfin, la reprise de la croissance devait signer le retour à la confiance, dû à la crédibilité d'une parité plus réaliste, une meilleure gestion des finances publiques et une reprise des exportations, devaient favoriser une reprise durable de la croissance économique.

Un peu plus de 20 ans après la mise en place de ces mécanismes savamment pensés, on semble être revenu à la case de départ.

La dévaluation du franc CFA se préciserait-t-elle, au regard du dernier rapport du Trésorier général de la Banque de France ?

On y apprend que le franc CFA de la Communauté économique et monétaire des États de l’Afrique centrale, Cémac avec le Cameroun, la Centrafrique, le Congo, le Tchad, la Guinée équatoriale et le Gabon pourra perdre 50% de sa valeur pour se fixer à 1 euro égal 1300FCFA sanctionnant ainsi la contre-performance des économies de la région.

Après le Tchad, le Gabon, ou le Congo qui ont connu la visite du FMI, c’était le tour du Cameroun de demander un crédit de 666, 2 millions de dollars en échange d’un redressement économique dû à la chute des prix pétroliers.

Si la mise sur pied de ce dispositif rentre dans le cadre de la réforme de la politique monétaire de la Banque de France, elle a un lien aussi et surtout avec le contexte régional marqué par la vulnérabilité de la situation de la trésorerie de plusieurs banques nationales, en liaison notamment avec les difficultés financières des États, a reconnu le gouverneur de la BEAC Toli Mahamat.

Le programme d’aide du FMI courant semble s’aligner à une crise économique qui fait resurgir le spectre d’une dévaluation du FCFA.

Lors d’une récente interview, le président tchadien Idriss Deby Itno a rappelé la convention qui lie la France à ses ex-colonies au sujet du FCFA dont le président sortant « François Hollande s’était montré plutôt favorable à une renégociation des termes ».

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-07-04 09:06:20

Congo – Législatives 2017 : La diversité politique presque absente du débat

Le PCT a le vent en poupe, cela ne fait aucun doute, au regard des forces en présence sur le terrain, battant campagne pour les législatives.

Un trop-plein de la présence des candidats du PCT et des partis de la majorité, c'est ce qui se lit sur le terrain et dans les médias, pour une campagne électorale démarrée le 1er juillet dernier.

Le cortège de Ines N. Ingani arpente en grandes pompes le Boulevard Alfred Raoul

En dehors de quelques indépendants à la présence timide et qui peinent à se faire entendre, tout indique que les choses sont presque jouées à l'avance pour de nombreux candidats à la bannière rouge.

Un fait est au moins constant, beaucoup de partis de l'opposition ont « jeté l'éponge », déséquilibrant de facto le débat d'idées, vidant de surcroît l'élection de la magie du suspens qui l'entoure de tout temps et lui confère un caractère presque sacré.

Nombreux de ceux qui auraient pu se lancer dans la « compétition » ont été freinés par le prix élevé des frais de candidature. 1.500000 francs CFA, ça « dégouline de graisse », en ces temps de vaches maigres.

D'autres partis qui se sont « saignés à blanc » pour aligner des candidats au moins dans les fiefs qui leurs sont favorables, se retrouvent carrément à court d'argent pour battre campagne. D'où la rumeur selon laquelle le PCT n'aurait pas cassé sa tirelire, pour candidater ses membres, mais aurait plutôt puisé dans le trésor public. C'est de bonne guerre que de l'entendre, pour un parti au pouvoir, surtout en période électorale.

Julien Missamou indépendant. Presque battu à la "foulomètre", faute de "moyens"

D'autres encore ont été invalidés et leurs recours semblent classés sans suites, la campagne ayant déjà démarrée.

Dans certaines circonscriptions, des candidats de la majorité se retrouvent seuls, sans adversaire, même pour la forme. Ceux-ci sont d'office élus par manque d'adversaire, quel que soit le score. Une victoire « sans gloire » tout de même parce que exempte du risque du « péril » de la compétition.

Que dire du département du Pool qui désormais vit une situation sociale et administrative à la carte, indexée sur les zones de paix ou de tensions. Votera ou ne votera t-on pas, on s'achemine vers une partition de fait du département, avec un Pool-nord où la vie continu son train-train et un un Pool-sud où tout est presque à l'arrêt.

De tout ceci, il résulte que le cru législatif de 2017 aura quelque chose de spécial. Mais, c'est aussi cela, l'absurdité de l'expression démocratique qui se résume bien souvent en une variante arithmétique et consacre l'expression de la majorité.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-07-04 07:19:00

Un africain à la tête de l’OMS, une grande première

L'Ethiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus, 52 ans, a été élu nouveau directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). L'ancien ministre éthiopien, qui remplace ainsi la Chinoise Margaret Chan, a battu le Britannique David Nabarro et la Pakistanaise Sania Nishtar.

Créé le 2017-07-03 12:58:36

Congo – Législatives : Romi Oyo se présente sous le label ''PCT'' à Ouenzé 3

Initialement présenté comme candidat indépendant aux élections législatives dans la troisième circonscription de Ouenzé précisément les quartiers 56 et 57, Romi Oyo a finalement été investi  comme candidat du Parti congolais du travail (PCT).

Romi Oyo justifie son revirement par le fait qu’il a toujours accompagné la vision du chef de l’État qui est le président du comité central du PCT.  

« Il m’est donc paru opportun d’accompagner son projet de société en m’impliquant personnellement dans ma circonscription. J’ai été investi par les camarades du PCT au regard de cet engagement pour les populations de Ouenzé », dit-il.  

Ce revirement pense t-il, ne va pas entamer la susceptibilité de certains jeunes. 

« Les jeunes veulent le changement, le vrai changement. Il ne s’agira plus de faire des discours mais de travailler pour le bonheur des populations en les associant au développement de leur quartier. C’est l’instruction ferme du président de la République Denis Sassou N’Guesso et je puis vous assurer que tous les camarades investis par le PCT sont déjà en chantier. Il n’y a  donc pas de raison objective pour rejeter Romi Oyo parce qu’il a été investi par le PCT ».

S'agissant des motivations de sa candidature, Romi Oyo explique :

« Je crois que personne ne va à l’école avec un objectif de redoubler. Je veux passer à une autre étape de ma carrière politique, avec le soutien des populations de Ouenzé 3 précisément des quartiers 56 et 57. Sans elles je ne suis rien politiquement.

J’étais conseiller municipal du même arrondissement grâce à cette population. Je veux être maintenant leur représentant à l’Assemblée nationale. Je pense qu’il est grand temps pour ces populations de construire un futur qui répond vraiment à leurs aspirations avec Romi Oyo. Nous devons par conséquent aller plus loin ensemble ».

Bertrand BOUKAKA/Source Adiac

Créé le 2017-07-03 07:05:34

Congo – UA : Le président Denis Sassou N'Guesso prend part au 29è sommet

Le chef de l'État congolais a quitté Brazzaville dimanche pour Addis-Abeba. Dans la capitale éthiopienne, Denis Sassou N'Guesso prend part au 29è sommet de l’Union africaine qui se tient les 3 et 4 juillet 2017 sur le thème : "Tirer pleinement parti du dividende démographique en investissant dans la jeunesse".

Redire les choses comme pour insister sur la force d’entraînement qu'elles suscitent et s'y impliquer pleinement, les chefs d'État et de gouvernement africains ont pour leur 29è session, reconduit le même thème que celui de la rencontre de janvier : ''Tirer pleinement parti du dividende démographique en investissant dans la jeunesse''.

À l'heure où la jeunesse africaine est en proie aux doutes, alors qu'elle devait constituer un véritable levier pour le développement du continent, les chefs d'États et de gouvernement ont a cœur de trouver des solutions idoines pour assurer à cette jeunesse un avenir meilleur.

Au moment où, de plus en plus, le drame de l'immigration se noue chaque jour par de dizaines, voire des centaines de vies de jeunes africains englouties dans les flots en Méditerranée, la question ne manquera pas de s'inviter à la tribune du 29è sommet.

Au nombre des allocutions, on suivra avec attention, celle du président de la Conférence des Chefs d’État et de gouvernement, Alpha Condé, Président de la République de la Guinée quelque peu rattrapé par le thème du sommet, lui qui est presque en froid avec sa jeunesse, notamment les étudiants guinéens.

L'allocution du nouveau président de la Commission de l’organisation panafricaine, le Tchadien Moussa Faki Mahamat et Mahmoud Abbas est également attendue.

Selon des sources proches de la Commission de l’Union, les Chefs d’état et de gouvernement évoqueront la question de la réforme de l’organisation panafricaine. « Le suivi de la mise en œuvre, conformément aux décisions des sommets de juillet 2016 et janvier 2017, avait été solidairement confié à leurs Excellences Messieurs Paul Kagame, Idriss Déby Itno et Alpha Condé », indiquait récemment Moussa Faki Mahamat.

Sur le fond du sujet, on reproche à l’organisation panafricaine ses lourdeurs bureaucratiques, sa dépendance financière aux bailleurs internationaux, les problèmes de mise en œuvre des décisions, ainsi que son incapacité à se remettre réellement en question.

Les crises sur le continent seront aussi au rendez-vous. Le Soudan du Sud, les situations en Libye, au Mali, en République Centrafricaine, en République Démocratique du Congo et bien d’autres sujets seront analysés par les dirigeants africains.

Bertrand BOUKAKA  

Créé le 2017-07-03 06:13:24

Législatives/ Brazzaville : Tambika Bakouma et Guison Blaise Ngueyissadila rentrent dans la course à la députation

Saturnin de Claver Tambika Bakouma et son suppléant Guison Blaise Ngueyissadila sont candidats aux législatives du 16 juillet prochain dans la circonscription de Diata et Château d’eau à Brazzaville.

Créé le 2017-07-01 08:24:19

RDC: le 57e anniversaire de l'indépendance célébré sans flonflons

Le 57e anniversaire de l'indépendance de la République démocratique du Congo(RDC) a eu lieu le 30 juin, sans festivités.

Créé le 2017-07-01 07:05:45

Législatives : L’UPADS lance une mise en garde contre des fraudeurs et tripatouilleurs

Le premier secrétaire de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS/opposition), Pascal Tsaty Mabiala a mis en garde le Parti Congolais du Travail (PCT, parti au pouvoir) contre toute tentative de fraude ou de tripatouillage des résultats des élections législatives du 16 juillet prochain.

Créé le 2017-07-01 06:48:32

Législatives : Le PCT va sanctionner les candidats indépendants issus de ses rangs

Les candidats indépendants à la députation, issus du Parti Congolais du Travail (PCT) seront sanctionnés par la hiérarchie. C’est bien l’annonce faite par le Secrétaire général du parti au pouvoir, Pierre Ngolo.

Créé le 2017-06-30 10:11:18

France – Politique : Simone Veil est décédée à Paris

Elle était l'une des femmes politiques les plus célèbres de France, Simone Veil est décédée vendredi matin à son domicile à l'âge de 89 ans.

Simone Veil est décédée vendredi à 8h15 à son domicile parisien du 7e arrondissement à l'âge de 89 ans.

Figure de la vie politique française, rescapée de la Shoah, ancienne ministre de la santé de 1975 à 1978 et ex-présidente du Parlement européen, elle était depuis l'adoption de l'IVG (interruption volontaire de grossesse) en 1975 une figure des droits des femmes. 

Simone Veil est née, en 1927, à Nice. Ses parents ont quitté Paris pour s'y installer. Son père, André Jacob, est architecte. Sa mère, Yvonne Steinmetz, est mère au foyer. Ils seront quatre enfants élevés au sein d'une famille juive non pratiquante : Madeleine, Denise, Jean et Simone. Le mari a exigé que son épouse arrête ses études.

La mère de Simone Veil inculquera à ses filles la nécessité des études, du savoir, de l'indépendance pour une femme.

La crise de 1929 met à mal les affaires du père. Ils s'adaptent.

La Seconde Guerre mondiale éclate. Ils tentent de survivre alors que la ségrégation des lois antijuives rend le danger de plus en plus prégnant.

Simone Veil passe son baccalauréat en 1944. Elle est arrêtée, à 16 ans, dans les rues de Nice. Le reste de la famille est également arrêté par la Gestapo. Sa sœur Denise Vernay, résistante à 19 ans, est déportée à Ravensbrück. Son père et son frère sont déportés en Lituanie par le convoi 73.

Simone Veil est envoyée à Auschwitz-Birkenau, avec sa sœur Madeleine (21 ans) et sa mère (43 ans). Elle se liera d'amitié, dans cet enfer, avec Marceline Loridan.

Sa mère adorée meurt du typhus le 13 mars 1945. Les trois sœurs, Simone, Madeleine et Denise, sont les seules survivantes de la famille Jacob.

Simone Veil attendra des années pour parler de la déportation de sa famille.

Simone Veil avait été élue à l'académie française en 2008.

Les réactions à la mort de Simone Veil viennent de partout. Tous saluent la femme de conviction, portée par ses idées.

Dans un tweet, le président Emmanuel Macron a écrit: "Très vives condoléances à la famille de Simone Veil. Puisse son exemple inspirer nos compatriotes qui y trouveront le meilleur de la France."

Benoît BIKINDOU

Créé le 2017-06-30 09:13:15

Congo – Médias : La Télévision Congolaise et Radio Congo absentes des bouquets satellitaires

Depuis mercredi, les programmes de la Télévision congolaise et ceux de Radio Congo sont absents des bouquets satellitaires. Cette situation qui selon le ministère de la communication, serait en passe d'être résolue, fait l'objet de toutes les interprétations sur les réseaux sociaux.

À l'instar des abonnés de Canal qui ne bénéficient plus du signal de Télé-Congo, ceux du bouquet Orange qui habituellement reçoivent ces programmes sur le canal 596 y trouvent désormais une page blanche avec un message laconique qui surplombe le logo et le slogan de Télé Congo.

« Cette chaîne est momentanément indisponible. Nous vous prions de nous excuser pour le désagrément. Votre matériel n'est pas en cause. Nous nous efforçons de rétablir le service dans les meilleurs délais. »

Présentant la version officielle, le ministère de la Communication et des Médias a publié un communiqué ainsi libellé :

« Des difficultés d'ordre technique survenues dans notre liaison de transmission par satellite sont à l'origine de l'interruption de la diffusion des programmes de Télé Congo et Radio Congo sur les bouquets satellitaires. Ceci explique l'impossibilité de recevoir depuis hier nos deux médias publics sur lesdits bouquets.

TELEDIFFUSION DU CONGO et les services du ministère de la communication sont à l’œuvre pour régler cette situation.

Toutes nos excuses pour le désagrément causé à nos nombreux téléspectateurs et auditeurs. »

Sur les réseaux sociaux, cette indisponibilité est présentée comme une sanction que subirait le Congo pour n'avoir pas honoré une ardoise qui se monterait à 56 millions de francs CFA.

Pour de nombreux congolais de la diaspora, outre que cela les coupe de toute information officielle sur le pays, l'absence du signal de Télé-Congo est souvent une source d'inquiétude, surtout si aucune information ne vient la justifier.

Dans l'imaginaire collectif, le fonctionnement régulier des médias est assimilé à la preuve de quiétude et de stabilité. Le contraire laisse présager des troubles.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-06-30 07:09:55

Pierre Moussa fait ses adieux à la tête de la Commission de la CEMAC

Le président sortant de la Commission de la CEMAC, Pierre Moussa, a dressé, mercredi 28 juin 2017, le bilan de ses cinq années passées à la tête de la commission, à la faveur d’une audience accordée à Libreville par le premier ministre gabonais, Emmanuel Issoze Ngondet.

Créé le 2017-06-29 09:27:39

Crise dans le Pool : Environ 11 milliards de FCFA pour assurer une assistance humanitaire d’urgence aux déplacés

L’ONU a besoin de 20.657.34 dollars américains (environ 11 milliards de FCFA) pour continuer à fournir une assistance humanitaire d’urgence, dans les six prochains mois, aux personnes déplacées à cause des troubles dans le département du Pool (sud).

Créé le 2017-06-29 08:53:35

France : Emmanuel Macron attendu à Bamako le 2 juillet prochain

Le président français, Emmanuel Macron est attendu le 2 juillet prochain à Bamako au Mali où il assistera au sommet du G5 sahel composé du Burkina, de la Mauritanie, du Niger, du Mali et du Tchad.

Créé le 2017-06-29 08:10:42

Congo – Dette intérieure : Quand l'État paye en « monnaie de singe » ...

Estimé à 1000 milliards pour les opérateurs économiques, 300 milliards pour l'État, le montant de la dette intérieure de l'État congolais ne cesse de diviser les deux parties.

L'annonce il y a quelques semaines par le ministre des Finances, du budget et du portefeuille public, Calixte Nganongo de l'imminence du paiement de 14 milliards de francs CFA pour le compte de la dette intérieure de l’État a été saluée par les opérateurs économiques comme un début de ce processus d'apurement de cette dette, qu'ils appellent de tous leurs vœux.

Même si les 14 milliards semblent acquis, parce que inscrits au budget de l'État 2017, ça coince cependant sur le montant global de cette dette, arrêtée à 300 milliards de francs CFA par le gouvernement.

Le président de l’Union nationale des opérateurs économiques du Congo, El Adj Abdoulaye Bopaka conteste ce montant, et parle de plus de 1000 milliards de francs CFA dus actuellement aux opérateurs économiques congolais.

E. A. Abdoulaye Bopaka président de l'UNOC

Et de préciser : « 300 milliards, c’est très insignifiant. Rien que la dette au niveau de l’UNOC, nous sommes à 887 milliards de francs CFA ».

Pour les opérateurs économiques, cette dette vient en grande partie des sinistres subies pendant les guerres civiles. Troubles au cours desquels les opérateurs économiques ont été des victimes collatérales. À cella s'ajoute une série de factures non payées par l’État.

D'autre part, la crise actuelle a augmenté le volume de la dette, car l’État est en phase de faiblesse de paiement.

De nombreux opérateurs économiques ont déclaré faillite ou se sont résolus à mettre la clé sous le paillasson, faute de ne pouvoir recouvrer leurs créances qui pour beaucoup d'entre eux, représentaient les sommes pré-financées dans des travaux divers, jamais réglés ou payés en partie par l'État.

Pour le président Bopaka, cette situation fait que les opérateurs économiques congolais sont vilipendés de partout.

« Les partenaires nous poursuivent, les banques nous poursuivent et les travailleurs nous attaquent. L’État nous a mis dans une situation difficile », déplore le président de l’UNOC.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-06-29 07:57:16

Le Congo veut séduire les investisseurs étrangers

Pour attirer de nouveaux investissements étrangers et faire face à la crise qui essore le pays, le Congo-Brazzaville,  qui manque cruellement de liquidités en ce moment,  s'est lancé dans l'implantation de Zones économiques spéciales. Les entreprises y bénéficieront d'avantages fiscaux. L'objectif du pays est d'opérer son industrialisation afin de devenir une économie à revenu moyen semi-industrialisée d'ici 2025.

Créé le 2017-06-29 07:40:29

Le numéro 3 du Vatican, le cardinal George Pell inculpé pour sévices sexuels sur enfants

La police de Victoria a inculpé, ce jeudi 29 juin, le cardinal australien George Pell, 76 ans, pour de multiples sévices sexuels sur enfants en Australie, a annoncé la police locale.

Créé le 2017-06-29 06:44:08

Congo – Sécurité publique : La promotion «colonel Jean François Okinga » prête pour le devoir

La nouvelle promotion des policiers baptisée « promotion colonel Jean François  Okinga » a terminé son stage d'officiers par la cérémonie de port d’insignes de galons correspondant à leur nouveau grade, le 27 juin à Brazzaville.

La cérémonie s’est déroulée en présence du  représentant du ministre de l’Intérieur, le colonel de police Jules Eboua, directeur général  de l’Administration, des finances et de l’équipement.

Cent-dix stagiaires de la police congolaise ont ainsi porté les galons de sous-lieutenant de police après avoir passé une formation de dix mois, à l’École nationale supérieure de la police (ENSP). 

Avec un taux d’admission de 97%,  la « promotion colonel Jean François  Okinga » a eu pour  major Orel Ondendé Ngakosso qui a obtenu une moyenne de 15,34 sur 20. Il est secondé de Michaël Ngatsé NdéIwanga  14,89 sur 20.  La troisième place de cette promotion est revenue à Alain Ghislain Kikonda qui a réalisé une moyenne de14,63 sur 20.

Ces résultats découlent de deux évaluations subies par les stagiaires.

Sur les 115 stagiaires  qui avaient satisfait au test de présélection organisé par l’ENSP, deux stagiaires n’ont pu terminer la formation, pour des raisons de santé. Un seul, s'est par ailleurs résigné à poursuivre.

Devant les officiers supérieurs et sous-officiers de la Force publique congolaise, le directeur général de l’administration, des finances et de l’équipement, Jules Eboua a indiqué que ce stage de formation s’inscrivait dans le cadre d’un programme de réforme du secteur de la sécurité, ordonné par le Chef de l’État.

Créée en 2001, l’ENSP a pour entre autres missions la formation et la mise à niveau des officiers et sous-officiers de la  police assurant la catégorie d’officier,  afin de permettre  à ce corps de métier de mener, avec efficacité, la mission  sociale qui lui est dévolue.

Pour rappel, le colonel Jean François  Okinga,  du nom dont la promotion a été baptisée, est un ancien officier de la police décédé en 2016. Il avait servi sous le drapeau pendant 37 ans.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-06-28 09:59:13

Congo – Législatives : Guy Brice Parfait Kolelas, entre «la vie et la mort politiques» 

Fort du résultat de la dernière présidentielle à laquelle il était arrivé second, Guy Brice Parfais Kolelas se voyait déjà en habits de chef de l'opposition, avec une implantation somme-toute affirmée, confortée par l'UDH-YUKI, née dans la foulée. Pourtant, avec les législatives, sorte de test de confirmation de son statut, le sol semble désormais se dérober sous ses pieds, au point de l'accompagner dans une chute qui chante le requiem de sa mort politique.

Dura lex, sed lex, disaient les romains, Guy Brice Parfait Kolélas en fait l'amer expérience. Son parti l'UDH-YUKI, quoique portée sur les fonds baptismaux avec en poche le récépissé du ministère de l'intérieur, son processus de reconnaissance n'est pas encore achevé, selon les lois et règlements de la république.

Selon notre enquête, le dossier portant création d'un parti politique dénommé UDH-YUKI circule dans les services de la police administrative, aux fins de traitement. Ce qui en clair veut dire que ce parti n'a pas encore d'existence juridique.

U.D.H-YUKI, une existence de fait, mais pas encore juridique

Cette situation est très inconfortable pour les candidats de l'UDH-YUKI qui ne pourront s'afficher aux législatives sous ce label. Chacun d'eux sera un candidat indépendant avec son propre logo. De quoi dérouter les électeurs.

Le problème est d'autant plus délicat pour Parfait Kolelas, car l'homme est lui même l'artisan de son déclin politique qui se dessine à coup sûr. Comme qui dirait, il est tombé dans son propre piège.

Alors qu'il avait rompu les ponts avec le MCDDI et créé son propre parti politique, l'UDH-YUKI, l'homme n'en avait pas accéléré le processus juridique, à dessein. Lui, député du MCDDI de la circonscription unique de Goma Tsé-Tsé, jouait la montre, pour continuer de jouir de son mandat de député.

Même sorti du MCDDI et affichant désormais le YUKI, les vents risquent d'être contraire à la marche de Guy Brice Parfait Kolelas.

En l'état actuel des choses, la situation sécuritaire ne permet pas la tenue des élections dans la circonscription unique de Goma Tsé-Tsé. Dans le même temps, le député sortant a quitté le parti qui l'y avait investi et fait élire. Que faire ? Le laisser siéger en attendant en attendant l'élection, et pour le compte de quel parti ? Tel est pris, qui croyait prendre.

Cette impasse risque de mettre Guy Brice Parfait Kolelas dans le dur, de quoi dire avec feu son père, « politik yi kubiri ».

Guy Brice Parfait Kolelas qui a depuis, de nombreux mois déjà, pris ses distances d'avec l'opposition à laquelle il appartenait, se retrouve désormais dans une situation d'inconfort politique qui si l'on y prend garde, sera aussi celle de son déclin.

Dans sa lutte pour la survie politique, tel un nauffragé,  selon certaines indiscrétions supposées ou avérées, comme  « l'enfant prodigue », l'homme se serait de nouveau rapproché de Denis Sassou N'Guesso ». C'est de là qu'il aurait tiré le pactole pour les frais destinés à candidater ses hommes aux législatives et aux locales. Une « bouée de sauvetage » en somme.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-06-28 08:09:36

  • Début
  • Précédent
  • 415
  • 416
  • 417
  • 418
  • 419
  • 420
  • 421
  • 422
  • 423
  • 424
  • Suivant
  • Fin
Copyright © 2025 Les Echos du Congo Brazzaville - Tous droits réservés .