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La gériatrie de l’hôpital de Melen à Libreville au Gabon, a été visitée le week-end écoulé par l’orchestre le plus populaire de la RDC, Zaiko Langa Langa. Au centre de cette visite, un don de vivres, médicaments et équipements à l’endroit des personnes du troisième âge.
Créé le 2018-06-07 07:40:49
3 jours après l’enterrement de son mari, « Mama Elisabeth Olangi », la veuve de Joseph Olangi de la Communauté de Femmes Messagères du Christ CFMC et la fondation Olangi, est confirmée décédée à Kinshasa. Les fidèles qui se réjouissaient déjà de la rumeur de sa résurrection ont dû se résoudre à l'évidence : « a sekwui té » autrement dit, elle n'est pas ressuscitée.
« Elle a fait une crise, un malaise cardiaque. Elle ne s'en est pas sortie », a annoncé Jessy Kabasele, le chargé de communication de la famille Olangi, mardi matin.
« Maman Olangi était très affectée après avoir passé 48 ans de vie commune et fait un deuil pendant 8 mois de son défunt mari enterré samedi dernier à N’Sele. Elle n'a pas pu supporter cela. C'était tellement un choc pour elle ».
Son absence aux funérailles de son mari, samedi dernier, avait été très remarquée.
L’évangéliste Elisabeth Wosho Onyumbe est morte dans la nuit du lundi 4 juin à son domicile à Kinshasa. Selon Jessy Kabasele. Mme Wosho est décédée trois jours après l’inhumation de son époux, le pasteur Joseph Olangi N’koy et président de la Fondation Olangi, mort le 1er octobre 2017 à Johannesburg en Afrique du Sud, et inhumé samedi 2 juin dans une concession familiale dans la commune de N’sele (Kinshasa).
Lors du culte organisé le 2 juin à Kinshasa pour le dernier hommage au pasteur Joseph Olangi N’koy, l’un des fils du couple Olangi avait affirmé que sa mère n’a pas « supporté le coup lié à la disparition de son époux ».
Élisabeth Wosho, 67 ans, a fait des études de sociologie industrielle au CIDEP/Lubumbashi. Elle a par la suite fréquenté l’École de Haute couture « Grenier de Paris ». Mme Wosho a aussi étudié les sciences sociales à l'Université Catholique de Louvain.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-06-07 07:27:17
Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves le Drian est attendu ce jeudi 7 juin 2018 à Brazzaville, où il échangera avec le président congolais, Denis Sassou-Nguesso. Un déplacement inattendu alors que jusque-là les deux pays entretenaient des relations compliquées.
Créé le 2018-06-06 22:27:43
Le procès de l’opposant politique Paulin Makaya doit s’ouvrir ce jeudi 7 juin au tribunal correctionnel de Brazzaville. Il s’agit d’un second procès, puisque le président du parti Unis pour le Congo (UPC) fait face à de nouvelles accusations.
Créé le 2018-06-06 08:53:19
C’est le genre d’histoires qui ne sont généralement pas prises au sérieux. Peut-être parce qu’elles sèment un peu trop l’effroi ou qu’elles paraissent surréalistes. Et pourtant, battre en brèche la véracité de tels faits pourrait constituer une erreur d’appréciation des plus graves dans l’appréhension des phénomènes sociétaux. Chacun d’entre nous a certainement perdu un être cher, mais vous est-il déjà arrivé de rencontrer à nouveau cette personne disparue ? Sans doute que la majorité répondraient par la négative. Seulement, si ce phénomène paraît incroyable, il n’en est pas moins réel. Illustration au village Vounda, près de Banda dans le Niari (sud) où depuis des mois, un « fantôme » maléfique effraie des villageois.
Créé le 2018-06-06 08:34:09
Elles sont sous la protection de la police, deux vieilles dames toutes nues, assises à même le sol, les yeux hagards. Elles sont entourées de badauds qui appellent à la vindicte populaire pour ces « sorcières » qui se retrouvent là, parce que leur avion mystique aurait crashé, faute de Kérosène.
Même si l'on ne peut situer avec exactitude le lieu de l’événement, celui-ci, dont les images ont fait le tour des réseaux sociaux, a été présenté, comme s'étant déroulé à Brazzaville, notamment à « Texaco-la-Tsiémé ».
Qu'importe le lieux ou le pays, cette scène présentant des personnes d'un âge très avancé et sur lesquels pèseraient des soupçons de pratiques sorcières est désormais courante dans la société congolaise.
Dans certains quartiers de Brazzaville ou de Pointe-Noire, la pratique a été quasiment systématisée au point que lorsque décède un jeune homme ou une jeune fille, les parents redoutent le pire vis à vis des jeunes qui sont bien souvent décidés à mener une vendetta pour venger le défunt ou la défunte, « mangé » par des sorciers préalablement désignés et qui dans les cas extrêmes, sont battus à mort par une foule de jeunes surexcités, quand ils ne prennent pas en otage le macchabée.
Dans le cas de ces deux vieilles dames, alors qu'elles n'ont pas prononcé le moindre mot, la rumeur a rapporté qu'elles revenaient d'une mission d’envoûtement en France et rentraient dans leur village de Manguénguéngué. À court de carburant, leur avion mystique aurait ainsi crashé, dévoilant les deux sorcières éjectées de leur aéronef détruit.
Il est vrai que tout le monde aimerait sortir indemne d'un crash, mais vu l'état de ces deux vieilles dames, le tableau serait bien trop beau, même pour des sorcières.
Dans la société africaine, les phénomènes inexpliqués empruntent le raccourci de la sorcellerie. Pourtant, il est constant que des vieux atteints de maladie d’Alzheimer presque méconnue chez nous, peuvent s'adonner à des faits et gestes qu'ils ne contrôlent pas, leur mémoire ne l'édictant pas. Alors, vieux, chauves ou autres personnes dont le prototype est bien défini, passent pour être des sorciers.
Il y a quelques temps, le président de l'Assemblée nationale avait appelé aux bannissement de ces pratiques répandues chez les jeunes qui mènent, parfois à tort, des expéditions punitives envers des présumés sorciers qui peut-être sont aussi innocents qu'eux.
Vivement que les mentalités s'accommodent bien souvent au rationnel, pour éviter certains désordres tout aussi préjudiciables pour les familles et la société.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-06-06 06:00:40
L’Etat congolais doit dégager les moyens suffisants pour assurer le bon état du réseau routier de Pointe-Noire, la capitale économique, qui a tendance à se dégrader depuis plusieurs années, entraînant une hausse des coûts d’entretien.
Créé le 2018-06-05 10:56:27
L’ancien ministre congolais, Jean-Martin Mbemba a été condamné par contumace à dix (10) ans de prison. La justice congolaise l'a déclaré coupable d'atteinte à la sûreté intérieure de l'Etat et complice de détention illégale d'armes de guerre.
Créé le 2018-06-05 10:31:27
L'ouverture de la troisième session ordinaire administrative de l'Assemblée nationale a donné lieu à un spectacle des plus inciviques pour de nombreux députés, le 2 juin dernier à Brazzaville. Seuls 86 députés étaient présents, sur les 151 que compte la chambre.
Entre l'argent et les raisons politiques, axées sur un don de soi désintéressé au service de la nation et de leurs mandants, de nombreux députés ont offert aux congolais un spectacle de cupidité marqué par leur absence de l'hémicycle. Ces députés, 65 au total ont à l'évidence boudé la session en cours, au motif que l'argent tarde à leur parvenir, notamment celui destiné à leurs descentes parlementaires.
Même si Isidore Mvouba, le président de l'Assemblée nationale s'est plaint de l'absence de ces fonds, destinés à favoriser un contact permanent entre les députés et leur base, il n'en demeure pas moins que par leur attitude pour le moins incivique, les députés ayant fait « l'Assemblée buissonnière » ont montré au peuple, quels intérêts guident leur engagement politique.
Si l'Assemblée nationale a enregistré 65 absents, au Sénat, le taux de présence n'a pas non plus été des meilleurs. Ils étaient 51 sénateurs sur un total de 71 parlementaires, soit 75%, un léger mieux par rapport à la chambre basse.
Vivement que l’attention du Premier ministre sur cette question, soit constante, afin de plaider leur cause auprès du président de la République, ainsi que l'a souhaité le président de l’assemblée, Isidore Mvouba devant les parlementaires.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-06-05 07:46:16
Le ministre Émile Ouosso a effectué une descente d'inspection de la ''route lourde Brazzaville-Pointe-Noire'', à quelques encablures du village Malélé dans le Mayombe. Attaqué par les eaux de ruissellement non canalisées et aux débits minorés, l’accotement complètement raviné menace de couper la route.
Un constat amer et des plus alarmants que celui qu'a fait le ministre de l'Équipement et de l'entretien routier, à Malélé. La route lourde est en danger de destruction et il faudra mobiliser des sommes colossales pour sa réhabilitation.
Déjà, les ouvrages de canalisation des eaux de ruissellement ont été arrachés par la furie des eaux de pluie, dont les débits avaient été à l'évidence minorés par les concepteurs de l'ouvrage.
Dire que les choses ne se seraient pas faites selon les règles de l'art, car la structure géologique des sols ainsi que le relief auraient pu conduire à une sécurisation plus appropriée de la route, vis à vis des agressions des intempéries, susceptibles de l'endommager.
Comme pour les différents stades et gymnases dont on a relevé maintes malfaçons, les routes également livrent chaque jour leurs lots de malfaçons qui les mettent également en péril.
Faute d'argent pour l'État, d’entreprendre des réparations qui s'imposent, l'apport des exploitants forestiers a été sollicité afin d'effectuer des remblaies devant dans un premier temps préserver la structure de roulement de l'action du ravinement, avant que des travaux plus pointus ne soient engagés par les ''Grands travaux''.
Du coté des Grands travaux justement, on s'interdit tout commentaire, comme si on se reconnaissait pris en flagrant délit d'incompétence.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-06-05 07:29:30
Depuis le début de la quatorzième législature, les députés n’ont pas perçu les indemnités prévues pour effectuer les missions à la base. Le président de la chambre basse du parlement s'en est plaint, lors de l'ouverture de la troisième session ordinaire administrative, le 2 juin dernier à Brazzaville.
Dans son allocution, Isidore Mvouba est à l'évidence revenu sur la question des descentes parlementaires qui préoccupe tous les députés.
D’après le règlement intérieur de l’Assemblée nationale, à l’issue de chaque session parlementaire, des fonds sont alloués aux députés afin qu’ils aillent rendre compte à leurs mandants des lois votées. Hélas, depuis que cette législature a démarré, deux sessions sont passées sans que les députés ne se rendent sur le terrain par manque de moyens.
« Je sais combien le fait que vous ne recevez pas les frais de descentes parlementaires vous préoccupe au plus haut point. Cette situation qui coupe les députés que nous sommes de nos mandants est lourde de conséquences. Nous avons eu à attirer l’attention du Premier ministre sur cette question, afin de plaider notre cause auprès du président de la République », a affirmé Isidore Mvouba aux députés.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-06-04 07:04:46
Après son départ surprise du Réal Madrid, Zinédine Zidane fait déjà l’objet de folles rumeurs. La dernière, relayée par Marca, l’envoie sur le banc de la sélection du Qatar. La Fédération serait prête à lui offrir un véritable pont d’or pour le voir à la tête de l’équipe en 2022, lors du Mondial à domicile.
Après le séisme, c'est désormais l’heure des répliques.
Quelques jours après avoir décidé de quitter le banc du Réal Madrid à la surprise générale, Zinédine Zidane fait déjà l’objet de rumeurs quant à sa prochaine destination.
Le triple vainqueur de la Ligue des champions a déjà été lié, plus ou moins sérieusement, à l’équipe de France, la Juve ou encore Chelsea.
Samedi, une rumeur plus farfelue a commencé à se répandre. Le Qatar serait ainsi prêt à offrir un véritable pont d’or au Français pour le placer à la tête de son équipe nationale en vue du Mondial organisé à domicile, en 2022.
Le murmure provient du milliardaire égyptien Naguib Sawiris. Celui-ci, considéré comme l’un des hommes les plus riches d’Afrique, a déclaré sur Twitter que Zidane s’apprêtait à rejoindre le Qatar pour ''coacher'' l’équipe nationale jusqu’à la Coupe du monde 2022. Le milliardaire ajoute également que la Fédération qatarienne serait prête à offrir à ZZ 50 millions d’euros par an sur quatre saisons. Le rêve du Qatar de voir Zidane à sa tête lors de sa Coupe du monde coûterait ainsi 200 millions d’euros.
Bien que la rumeur ait été relayée par Marca samedi, difficile de lui donner du crédit en l’état. L’ex-coach du Réal Madrid avait néanmoins soutenu la candidature du Qatar pour le Mondial. Zidane avait récolté 11 millions d’euros pour devenir ambassadeur.
De la communication à la tête de la sélection, le fossé reste malgré tout important. Même si Zidane nous a habitués aux contre-pieds.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-06-03 10:43:28
Un grossier faux document faisant état de la démission du plénipotentiaire gabonais de France, Flavien Enongoué, a été largement distribué sur les réseaux sociaux. Selon les autorités gabonaises, ce document serait un ’’fake news’’.
De sources concordantes, l’ambassadeur demeure toujours en poste, en dépit de l’envahissement lundi de l’hôtel particulier du Pozzo di Borgo, siège de l’ambassade à Paris, par des gabonais qui se font appeler ’’résistants’’ en France.
Dans le document que certaines sources attribuent à cette résistance, on évoque de nombreux « J’ai failli… » à Flavien Enongoué, avant de lui faire dire que ’’le cœur lourd, il donne sa démission et attend la décision qui le rapatrierait au Gabon’’.

Il y a un peu plus d'un an que Flavien Enongoué a présenté ses lettres de créances au président Macron en qualité d'ambassadeur du Gabon.

Ce plénipotentiaire qui a quasiment passé sa jeunesse en France pour ses études, est titulaire d’un Doctorat en Philosophie politique obtenu en 2004 à l’Université de Poitiers et exerçait entre autres fonctions, celle de Maître Assistant au département de Philosophie à l’Université Omar Bongo Ondimba de Libreville, avant sa prise de fonction à Paris.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-06-03 10:08:55
C’est le choc pour les supporters du Real Madrid. Le club fraîchement installé sur le toit de l’Europe après avoir remporté, il y a une semaine, sa troisième Champions League d’affilée vient d’apprendre le départ de Zidane.
Créé le 2018-05-31 12:43:37
Plus de peur que de mal. Les premières heures de la journée de mardi auraient pu être marquées par un événement dramatique, mais heureusement, la situation a rapidement été maîtrisée. Alors que les habitants de la ville de Moungoundou-Sud dans le Niari vaquaient à leurs occupations quotidiennes, un gorille est sorti de la forêt. Livré à lui-même, l’animal le plus proche de l’humain montrait un comportement particulièrement agressif.
Créé le 2018-05-31 11:17:36
La ville de Mayoko dans le Niari (sud) devient un véritable cauchemar pour la société sud-africaine, Exxaro. Son premier train minéralier a écrasé un homme, la cinquantaine révolue, au PK Massanga, non loin de Mossendjo. Le deuxième train transportant une cargaison de fer a déraillé le 27 mai, entre la localité de Mayoko et la gare ferroviaire de Tsinguidi. Aujourd'hui, troisième coup de bambou avec le déraillement entre Tsinguidi et Mayoko du train secours parti de Dolisie pour dépanner le deuxième.
Créé le 2018-05-31 10:44:03
Le pasteur Kitengué, originaire de la RDC, aurait été surpris dans la nuit du 27 au 28 mai au quartier Tiali (arrondissement 5 Mongo Mpoukou), à Pointe-Noire, en train de transformer mystiquement ses matières fécales en billets de banque, rapporte adiac-congo.com.
Créé le 2018-05-30 06:05:34
Beaucoup de travail a été effectué depuis le déraillement du deuxième train minéralier de la société sud-africaine, EXXARO survenu le 27 mai dernier, entre la localité de Mayoko et la gare ferroviaire de Tsinguidi, dans le département du Niari (sud).
Créé le 2018-05-30 05:42:25
Le ministre français des Affaire étrangères, Jean-Yves le Drian envisage de se rendre en juin au Congo-Brazzaville.
Créé le 2018-05-30 05:06:45
La 46e réunion ministérielle du Comité consultatif permanent des Nations Unies chargé des questions de sécurité en Afrique centrale (UNSAC) a lieu du 29 mai au 1er juin 2018 à Brazzaville.
Créé le 2018-05-29 21:32:26