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De France-Argentine à Colombie-Angleterre, préparez-vous à quatre jours de grand spectacle. Cette fois, elles sont sans filet. Depuis jeudi 28 juin, les noms des seize équipes qui prendront part aux huitièmes de la finale du Mondial Russie 2018 sont connus. Il n'y aura aucune équipe africaine au deuxième tour de la Coupe du monde, pour la première fois depuis 1982.
Créé le 2018-06-29 06:14:49
Plus d'un tiers des patrons interrogés déclarent rencontrer des problèmes de trésorerie ou de financement. Les difficultés de financement brident la croissance des PME congolaises. À l’occasion de la Journée internationale des micro-petites et moyennes entreprises, célébrée le 27 juin, la ministre des Petites et moyennes entreprises, de l’artisanat et du secteur informel (PMEAI), Adélaïde Mougany, a déclaré qu’il est nécessaire d’intégrer ces entreprises dans les politiques de développement.
Créé le 2018-06-28 09:13:27
Rongé sérieusement par la rouille, le pont suspendu de la rivière Léhala dans le district de Mayoko (sud), nécessite des travaux d’urgence.
Créé le 2018-06-28 08:24:17
Volkswagen a ouvert mercredi une usine d'assemblage de véhicules au Rwanda, la première du genre dans ce pays d'Afrique de l'Est, le constructeur automobile allemand cherchant à étendre sa présence dans la région.
Créé le 2018-06-28 06:45:48
Le Conseil d’administration du Fonds Monétaire International examinera la demande de dette paralysée de la République du Congo pour un plan de sauvetage, le 6 juillet, selon un calendrier du FMI publié mercredi. Le dossier Congo devrait à l'évidence connaître une issue favorable.
Vendredi 6 juillet 2018, les regards des congolais seront tournés vers le siège du FMI à Washington, pour connaître l'issue de l'examen du dossier du Congo, porté à l'ordre du jour du conseil d'administration, en vue de la ''Demande d'arrangement en vertu de la facilité de crédit prolongé''.
Le conseil d'administration aura pour éléments d'appréciation, ''l'évaluation externe du bureau de l'évaluation indépendante, avec le rapport du groupe de travail, convoqué par le conseil d'administration du FMI''.
Si ce formalisme administratif peut donner quelques inquiétudes, somme-toutes légitimes, il y a de quoi dire que l'issue pour le Congo s'annonce favorable, de nombreux paramètres l'édictant.
Il y a d'abord l'engagement politique du Congo, pris par le président Denis Sassou N'Guesso, à l'endroit du FMI, pour corriger les aspérités notée par l'institution, en matière de gouvernance économique.
Le gouvernement s'était engagé à ''publier une étude sur la gouvernance pour guider les futures réformes dans la gouvernance, la transparence, et la gestion des finances publiques''. C'est désormais chose faite.
De même la création de l'organe indépendant de lutte contre la corruption avec tous les pouvoirs d’investigation et un système de déclaration du patrimoine pour les hauts responsables, et de renforcer le contrôle des grands projets d’infrastructure et des entreprises publiques, notamment celles du secteur pétrolier, est bien effective et a commencé à produire ses effets.
Enfin, les autorités rendent pleinement compte au Parlement et à la population sur la gestion des ressources naturelles et des grands travaux au cours des dernières années.
Sur ces trois préalables structurels, le Congo s'est montré exemplaire et entend poursuivre sur sa lancée.
Puis, il y a les dettes dites toxiques. Les autorités congolaises sont actuellement en pourparlers avec les créanciers, y compris les maisons de commerce Trafigura et Glencore.
D'autre part, le Congo bénéficie du soutien des ''avaliseurs'' tels la France et la Banque mondiale qui sont confiants en ses capacités à surmonter les défis qui se présentent à lui, et sont engagés à l'accompagner, pour les surmonter.
Enfin, il y a cette ''bonne étoile'' congolaise, celle des ''vents favorables'' qui désormais souffleraient sur les voiles du Congo, depuis la haute mer.
La production pétrolière du Congo, nouveau membre de l'OPEP, flirte avec les 350.000 barils par jour, pour un produit dont les cours repartent à la hausse, générant des ressources supplémentaires, non encore budgétisées.
Tout cela a de quoi conforter les membres du conseil d'administration du FMI et rendre optimistes les congolais.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-06-28 06:43:30
Le ministre congolais des Affaires foncières et du Domaine public, Pierre Mabiala, a présenté, lundi dernier à la presse, le texte de la nouvelle loi sur l’occupation des terres et terrains sur toute l’étendue du territoire national.
Créé le 2018-06-27 17:51:52
Joe Jackson, le père du "roi de la pop" Michael Jackson, est mort ce mercredi 27 juin à Los Angeles à l'âge de 89 ans.
Créé le 2018-06-27 17:09:46
Ceux qui espéraient participer à une grande ferveur populaire devant un écran géant quelque part à Talangaï dans le 6ème arrondissement de Brazzaville, peuvent louer et saluer la générosité de leur député Claudia Ikia Sassou Nguesso. Consciente du fait que le sport est un facteur de cohésion sociale, la conseillère du chef de l’État congolais, responsable de la communication et des relations publiques à la Présidence de la République congolaise, a fait don de plusieurs écrans géants avec kits complets aux jeunes de Talangaï pour suivre, match après match, la 21e édition de la Coupe du Monde de football organisée par la FIFA et qui réunit les trente-deux meilleures sélections nationales en Russie.
Créé le 2018-06-27 15:58:57
Au moins quatre-vingt (80) personnes proches de l'ancien chef rebelle Frédéric Bintsamou, alias Pasteur Ntoumi, ont été libérées mardi 26 juin à Brazzaville, conformément aux accords de cessez-le-feu de décembre 2017 qui ont marqué théoriquement le retour de la paix dans la région du Pool (sud), après presque deux ans d'affrontements.
Créé le 2018-06-27 13:32:28
L’Égypte reste la première puissance militaire africaine, selon l’édition 2018 du classement des armées dans le monde, publiée par le site américain spécialisé dans la défense Global Fire Power (GFP).
L’Égypte, vaste pays d’Afrique du Nord occupe le 12è rang à l’échelle mondiale sur un total de 136 pays étudiés, avec un score de 0,2751 point, d’après le classement qui se base sur cinquante critères, dont le nombre de militaires actifs, la force navale, la disponibilité du carburant pour les opérations militaires, le nombre d’avions de chasse, le budget consacré à la défense et la flexibilité logistique.
L’Égypte dispose de 454 250 militaires actifs et de 875 000 réservistes, 4 946 chars, 1132 avions militaires, dont 309 avions de chasse, et de 319 navires et bâtiments de guerre.

GFP ne prend pas en considération les stocks nucléaires et ne pénalise pas les pays ne disposant pas de littoral par le manque d'une force navale. Afin d'établir son classement, Global Fire Power se base sur un «power index» dont le score parfait serait de 0,0000, ce qui est impossible dans les faits. Donc, plus on s'éloigne de ce score plus on recule au classement.
L’Algérie (23è à l’échelle mondiale) occupe la deuxième position à l’échelle africaine, suivie par l’Afrique du Sud (33è au plan mondial), le Nigeria (43è), l’Angola (48è), l’Éthiopie (51è), le Maroc (55è), le Soudan (70è) et la Libye (74è). La RD Congo (75è à l’échelle mondiale) ferme le Top 10 africain.
Selon Global Fire Power, les États-Unis, la Russie, la Chine, l’Inde et la France sont les cinq plus grandes puissances militaires au monde.
Classement des puissances militaires africaines:
1. Égypte (12è à l’échelle mondiale)
2. Algérie (23è)
3. Afrique du Sud (33è)
4. Nigeria (43è)
5. Angola (48è)
6. Éthiopie (51è)
7. Maroc (55è)
8. Soudan (70è)
9. Libye (74è)
10. RD Congo (75è)
11. Tunisie (77è)
12. Zimbabwe (81è)
13. Zambie (83è)
14. Kenya (85è)
15. Ouganda (93è)
16. Tchad (94è)
17. Tanzanie (98è)
18. Soudan du Sud (99è)
19. Botswana (103è)
20. Ghana (107è)
21. Niger (109è)
22. Cameroun (110è)
23. Mozambique (111è)
24. Mali (114è)
25. Côte d’Ivoire (119è)
26. République du Congo (120è)
27. Madagascar (123è)
28. Gabon (126è)
29. Namibie (127è)
30. Mauritanie (129è)
31. République Centrafricaine (130è)
32. Somalie (132è)
33. Sierra Leone (133è)
34. Liberia (135è)
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville/Source Ecofin
Créé le 2018-06-27 06:55:44
L'argent du pétrole est-il investi à bon escient en zone Cemac? La question reste posée et suscite autant d'inquiétudes, quant à la priorisation des projets. La Commission de la Cemac craint que la remontée des prix du brut ne « réenclenche » le financement « des projets sans portée pour les populations »
À l’ouverture de la 5ème édition de la session ordinaire du Comité de pilotage (COPIL) du Programme des réformes économiques et financières de la Cemac (PREF-Cemac), le 22 juin 2018, dans la capitale économique camerounaise, le président de la Commission de la Cemac, le Gabonais Daniel Ona Ondo, s’est félicité des perspectives plutôt positives sur le court terme, en ce qui concerne le redressement de l’économie sous-régionale.
« En effet, les mesures mises en œuvre, aussi bien par les États membres de la Cemac, que par les institutions sous régionales, ont permis de renverser les tendances d’il y a 2 ou 3 ans », a-t-il déclaré.
À en croire Daniel Ona Ondo, une embellie se profile d’ailleurs à l’horizon pour les finances publiques des six États membres de la Cemac (Cameroun, Congo, Gabon, RCA, Tchad et Guinée équatoriale), avec la remontée des cours du baril de pétrole brut sur le marché international.
Une situation qui va, selon le président de la Commission de la Cemac, entraîner l’adoption des collectifs budgétaires (Lois de finances rectificatives), en vue de revoir à la hausse les budgets des États. Un peu comme vient de le faire la République du Cameroun, en revoyant son budget 2018 à la hausse, de 176 milliards de francs CFA, passant de 4 513,5 milliards à 4 689,5 milliards de francs CFA.
Cependant, redoute Daniel Ona Ondo, « si l’on peut se satisfaire de cette situation, il y a le risque de réenclencher le processus de financement des projets sans réelle portée pour les populations. Il y a le risque de ralentir le rythme des efforts d’ajustement budgétaire et de réformes structurelles ».
« La remontée des prix du pétrole brut, à notre entendement, doit servir prioritairement le désendettement et la constitution d’une épargne pour faire face demain à des chocs exogènes récessifs », croit savoir le président de la Commission de la Cemac qui met ainsi à l’index les dépenses souvent contre-productives, généralement reprochées à certains États pétroliers de la zone Cemac.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville/Source Ecofin
Créé le 2018-06-27 06:35:20
Elle enregistre sans doute le taux d'absentéisme le plus bas au monde, et pour cause, ses élèves, les garçons en particulier, se plaisent bien aux contours de leur prof d'anglais, surtout quand elle a le dos tourné.
Ses élèves ont beau soutenir qu'ils n'iront pas en Angleterre, argument souvent évoqué par eux pour sécher les cours d'anglais, parfois ennuyeux, la classe de madame M. affiche pourtant complet. Dire qu'elle enregistre le taux de présence le plus élevé en cours de l'établissement, même si les résultats ne sont pas les plus élogieux du lycée.
L'attraction des élèves est moins la discipline qu'elle dispense, mais plutôt son postérieur, dont les garçons se délectent du regard, chaque fois que madame la prof a le dos tourné.
Leur mauvais travail n'en est pas moins que le résultat des heures de cours passées à rêvasser ou plutôt à fantasmer.
L'administration scolaire qui a relevé les vraies raisons de l'affluence en cour et celles des contre-performances des élèves en anglais, alors qu'ils sont des plus ''assidus'', envisage d'affecter madame M. à un travail de bureau, à la prochaine rentrée scolaire.
Pour les élèves, c'est comme si on censurait un film qui cartonne, même si l'issue de tout film est le mot ''fin''.
Au moins, dans le lycée, tous retiendront que la prof a des arguments ''pédagogiques'' conséquents.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-06-27 06:13:16
Les automobilistes devront faire preuve de prudence en réduisant leur vitesse et en respectant les distances de sécurité dans Le Mayombe qui enregistre chaque matin, et depuis la semaine dernière, un brouillard dense et tenace.
Créé le 2018-06-26 08:40:35
Plus les jours passent, plus on sent monter dans l'opinion congolaise une angoisse, pour tout un pays suspendu au ''verdict'' du FMI. Pour beaucoup, le 27 juin ou le 6 juillet seraient les dates des résultats. Et s'ils se trompaient ?
Une équipe des services du FMI dirigée par Abdoul Aziz Wane avait séjourné à Brazzaville du 3 au 18 avril 2018 pour discuter avec les autorités le programme économique et financier du pays et un possible soutien financier du FMI.
"La mission avait conclu un accord avec les autorités de la République du Congo sur les contours des politiques qui pourraient être soutenues par un arrangement financier. Le programme proposé vise à promouvoir une croissance soutenue et inclusive notamment en rétablissant la viabilité budgétaire et en améliorant la gouvernance. Il vise aussi à contribuer aux efforts régionaux de renforcement de la stabilité extérieure."
La mission qui avait conclu de ce que "Les autorités devront entreprendre des réformes audacieuses et immédiates dans le domaine de la gouvernance pour traduire en action la rupture avec les politiques et pratiques du passé proclamée par le gouvernement.''
La mission du FMI actait que les autorités vont continuer à travailler sur la mise en œuvre de leur stratégie exhaustive pour restaurer la viabilité de la dette et assurer le financement total du programme. Une fois établie le respect de toutes les politiques du FMI en la matière, un arrangement financier pour soutenir le programme économique du Congo sera proposé à l'examen du Conseil d'administration du FMI."
Jamais le communiqué du FMI ne fixait de date butoir. Il relevait des engagements pris d'accord-parties, à l'issue desquels la situation du Congo serait examinée.
Si pour de nombreux congolais, le dénouement de la situation interviendra le 6 juillet, il est à relever que le programme du FMI ne prévoit pour l'instant que des réunions jusqu'au 2 juillet avec à l'ordre du jour : la Bosnie-Herzégovine pour le deuxième examen dans le cadre de la facilité de crédit élargie, la République Centrafricaine, pour le quatrième examen au titre de l'accord de facilité de crédit élargie et le Sénégal, pour le sixième examen au titre de l'instrument d'appui stratégique et demande de modification du critère d'évaluation.
Espérons que le Congo y soit l'invité de dernière minute, pourquoi pas.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-06-26 06:44:52
Depuis deux semaines, le programme de santé communautaire initié par l'honorable Denis Christel Sassou N'Guesso s'est déployé à Kinkala. Tout est fin-prêt, pour un démarrage des activités prévu pour le 2 juillet.
À partir du 2 juillet, et cela pendant deux mois, la ville de Kinkala vivra au rythme du programme de santé communautaire destiné au département du Pool.
Ce programme qui intègre la vision philanthropique de Denis Christel Sassou Nguesso, Président de la Fondation Perspectives d’Avenir, visera à apporter des soins de diverses natures aux populations du Pool.
Avec pour camp de base Kinkala, les malades venant des différentes localités y seront pris en charges, jusqu'à ce que soient résorbées les pathologies qu'ils présentent, sans qu'il ne leur en coûte un centimes.
Les autorités départementales tablent sur un peu plus de 30 000 personnes pouvant être accueillies à Kinkala aux moyens de navettes quotidiennes qui desserviront les différentes localités du département.
Les équipes du programme ont déployé leur matériel et se livrent aux derniers réglages, afin de relever cet autre défi pour le bien-être des populations.

Le programme proposera plusieurs spécialités médicales, surtout aux populations démunies et vulnérables : de la chirurgie générale à la cardiologie, en passant par la chirurgie pédiatrique, l’ORL, l’ophtalmologie, la stomatologie, avec la chirurgie bucco-maxillo-faciale, la pédiatrie, sans oublier la diabétologie, l’hématologie, la parasitologie, la bactériologie, l’immunologie, ainsi que l’imagerie à résonance magnétique, comme examen d’appoint, ou encore l’échographie et la radiologie.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-06-26 06:00:51
Mamoudou Gassama, le jeune migrant malien qui a sauvé un enfant en escaladant la façade d’un immeuble parisien fin mai dernier, a été récompensé à Los Angeles aux USA, lors de la cérémonie des BET Awards, qui honorent chaque année des personnalités noires.
Créé le 2018-06-25 18:37:20
Elle était chargée de gérer la participation financière des 25 femmes membres de leur ristourne. Ayant 3 millions de FCFA dans ses mains, elle a fait ses valises et serait en France via l’Italie. A Pointe-Noire, la capitale économique du Congo, le reste des membres, qui ne savent plus à quel saint se vouer, sont dans la désolation totale.
Créé le 2018-06-25 09:43:04
Malgré les efforts fournis par le Congo pour augmenter la capacité de production d'énergie ces dernières années, l'accès demeure problématique. Pour preuve, les matches de la Coupe du Monde qui se jouent depuis le 14 juin en Russie, ne sont pas suivis par plusieurs habitants de Brazzaville, la capitale du Congo. Pour contourner la difficulté, les férus du ballon rond prennent place sur des bancs disposés comme dans une église, dans les ciné-foot, où ils paient quelques CFA.
Créé le 2018-06-25 08:44:22
Une ville peut tomber en ruine ou se dépeupler, lentement ou rapidement pour plusieurs raisons. Le cas de Mbinda dans le département du Niari (sud), jadis « petit paradis terrestre », l'endroit où il fallait être et vivre, après la fermeture définitive de la Compagnie Minière de l'Ogooué (COMILOG) en 1991, est un exemple récent et pathétique.
Créé le 2018-06-25 07:26:09
Une explosion s’est produite samedi lors d’un rassemblement politique autour du président zimbabwéen Emmerson Mnangagwa, qui est sain et sauf et a assuré que cet « acte lâche »ne perturberait pas le déroulement de l'élection présidentielle prévue pour le 30 juillet, la première au Zimbabwe depuis la mise à l’écart de Robert Mugabe.
Les autorités n’ont fourni aucune explication à cette explosion survenue dans un stade à Bulawayo, deuxième ville du Zimbabwe et bastion de l’opposition.
Il n’y a eu aucune revendication. Emmerson Mnangagwa a dit que le vice-président Kembo Mohadi, l’épouse du vice-président Constantino Chiwenga, le ministre de l’Environnement et le vice-président du parlement avaient été blessés.
« L’engin a explosé à quelques centimètres de moi mais mon heure n’est pas encore venue », a dit le chef de l’État, qui, à 75 ans, devrait avoir pour principal adversaire à l’élection présidentielle le chef de file du Mouvement pour le changement démocratique, Nelson Chamisa.
« La campagne s’est déroulée jusqu’à présent de manière libre et pacifique et nous ne laisserons pas cet acte lâche entraver notre chemin vers les élections », a ajouté Emmerson Mnangagwa.

La chaîne de télévision publique ZBC a fait état de 42 blessés, dont six grièvement.
L’opposant Nelson Chamisa a exprimé sa sympathie envers les victimes et jugé que « la violence politique de quelque nature que ce soit, de la part de qui que ce soit, est totalement inacceptable ».
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-06-23 23:19:53