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Scandale : 26 mois sans bourses d’études pour les étudiants congolais à Cuba

Imaginez un étudiant congolais de 20 ans à l’étranger qui ne travaille pas. Loin de sa famille. Sans ressources. Qui doit compter sur sa bourse pour vivre. C’est à dire manger, payer son loyer, faire des photocopies et prendre un verre de jus de fruit le week-end pour se détendre. Subitement, il se retrouve sans plus rien. Rien et rien du jour au lendemain. C’est le sort que subissent actuellement les étudiants boursiers congolais à Cuba. Ils accumulent actuellement 26 mois sans avoir reçu leur bourse de la part du gouvernement.

Créé le 2019-03-22 16:07:55

Dolisie : Les toitures d’une trentaine de maisons emportées par une forte pluie

La pluie qui s’est abattue mardi sur la ville de Dolisie dans le Niari (sud) n’a pas seulement adoucit les températures. Elle a endommagé une trentaine de maisons dans le quartier petit Zanaga, zones 4-5.

Créé le 2019-03-21 19:33:07

Un forum sur la reconstruction et le développement du Pool à Paris

Le président de l’association Equité, Saliou Diallo, ancien maire adjoint d’Evry, organise un forum sur « la reconstruction et le développement du Pool au Congo-Brazzaville » le jeudi 28 mars prochain, de 17h30 à 20h00, à la salle de conférence de la Cathédrale d’Evry, en région parisienne.

Créé le 2019-03-21 17:27:20

Moungoundou-Sud : Installation des antennes paraboliques, la modernité en marche

A Moungoundou-Sud, dans le département du Niari (sud), un nombre impressionnant d’antennes paraboliques fleurissent comme par magie dans les jardins, dans les cours mais de plus en plus également en façade des maisons.

Créé le 2019-03-21 16:42:41

Congo – Lutte contre la crise économique : Le gouvernement au pas de charge

Dans la recherche des solutions pour sortir le Congo du marasme économique dans lequel il est empêtré, le gouvernement de la république est passé à la vitesse supérieure. Sous l’autorité du premier ministre Clément Mouamba, les conseils de cabinet se tiennent désormais à un rythme soutenu, comme pour dire, « tout voir, pour être sûr que tout marche ».

« Tous sur le pont, en cette période de tempête », tel semble être l’ordre que Denis Sassou N’Guesso à lancé au gouvernement, en sonnant le tocsin d’une gestion axée sur les résultats.

Et face à un peuple qui attend et qui même s’impatiente déjà, face à une crise dont les effets se ressentent dans de nombreux secteurs de la vie sociale, le gouvernement a « changé de braquet ».

Conseil de cabinet le lundi 18 mars, conseil de cabinet le jeudi 21 mars, le rythme préfigure une cadence de combat, celle de l’action tout azimut, avec toujours, des dossiers économiques et sociaux à l’ordre du jour.

Travailler, retravailler, voir, revoir, harmoniser, agencer les dossiers de la relance économique comme pour « ne laissez nulle place Où la main ne passe et repasse », Clément veut bien s’imposer en véritable chef de chantier, sous la conduite du maître d’ouvrage qu’est Denis. Et les ministres y sont bien présents, ‘’GAR’’ oblige, avec en sourdine le sacro-saint principe « jugement aux résultats » de Denis Sassou N’Guesso, depuis, remis au goût du jour comme un test pour chacun et pour tous.

Même si la conclusion du dossier Congo tarde avec le FMI, les congolais savent que des palliatifs existent comme pour dire avec le président Alphonse Massamba Débat en son temps : « comptons avant tout sur nos propres forces ». Et ces forces, sont à puiser dans le génie congolais.

Parfois, c’est dans l’adversité que les peuples ont libéré le génie qui a impulsé leur développement, tout en forgeant en eux l’expérience dans la manière de conduire leur destinée, eut-égard aux erreurs commises naguère.

Quels que soient les échelons de responsabilité ou de décision, la vie n’est pas une science infuse. Elle se nourrit aussi de l’expérience, substrat essentiel à l’épanouissement et au progrès car le champ de notre conscience s’élargi sans cesse. Les faits anciens s’éclairent de lumières nouvelles et leur aspect se modifie.

Vivement que le gouvernement s’éclaire de ces lumières de sortie de crise. Les signaux qu’il envoie sont déjà porteurs d’espoir…

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-03-21 10:42:16

Congo – Médias : Les propos de Jacques Maillot à l’endroit des Chefs d’État africains jugés des plus outranciers

Les Échos du Congo-Brazzaville vous proposent la réaction de Rwahne Darwin, suite aux propos tenus par le chroniqueur Jacques Maillot sur RMC. Voici le texte intégral.

''Jacques Maillot, le plaisantin qui veut se faire un nom sur la tête des Chefs d’État africains

La chaîne française RMC a consacré récemment, son émission ‘’Les Grandes Gueules’’ à l’ex-directeur général du FMI, leur compatriote, Dominique Strauss-Kahn. Au cours de cette émission, présentée par Alain Marschall et Olivier Truchot, l’une de ces fameuses grandes gueules, Jacques Maillot, homme d’affaire, devenu chroniqueur dans cette émission de radio, a accusé Dominique Strauss-Kahn de « profiter des dictateurs africains pour se faire de l’argent ».

Qu’un français, Jacques Maillot, homme d’affaires ou chroniqueur soit-il, prenne la liberté de dénigrer son compatriote, Dominique Strauss-Kahn – c’est d’ailleurs ce que les Français savent faire des leurs -, là n’est pas le problème, du moins pas celui des Africains. Mais, les Africains sont concernés par l’amalgame qu’a diffusé Jacques Maillot sur les Chefs d’Etat africains, alors qu’il n’a qu’une connaissance livresque du continent. Il s’amuse ainsi à qualifier de dictateurs des Chefs d’État dont il n’a la connaissance qu’à travers leurs noms et peut-être des réseaux sociaux. En traitant les présidents congolais, Denis Sassou N’Guesso et togolais, Faure Gnassingbé de dictateurs, Jacques Maillot s’est très simplement nourri à la source des réseaux sociaux. Et, cela est triste!

Et, Jacques Maillot n’a été grande gueule que pour faire rire les auditeurs qu’il devait, au moins, respecter par le sérieux de ses affirmations. En fait, en qualifiant, notamment, Denis Sassou N’Guesso de dictateur, l’homme d’affaire converti en chroniqueur radio a pris un raccourci comme tout bon populiste qui, le plus souvent, affirme des choses dans le simple but de faire plaisir à ceux qui l’écoute et, par conséquent, devenir populaire, mais hélas sans pertinence.

Jacques Maillot ferait mieux de parler de la dictature moderne qui est en train de renaitre en France, depuis un peu plus de quatre mois, parce qu’il ne connait pas le Congo. Encore que le chroniqueur de RMC ne devrait quand même pas se permettre de penser que Dominique Strauss-Kahn devait avoir peur de vivre sa vie privée, parce qu’une gueule qui se dit grande serait en train de le suivre partout pour crier haut et fort sur ses faits et gestes. Il est notoire, y compris au niveau de l’émission Les Grandes Gueules que Dominique Strauss-Kahn est un économiste de renom. Alors, Jacques Maillot a-t-il créé en France, un délit dont se serait rendu coupable n’importe quel dirigeant du monde, à plus forte raison africain, qui consulterait Strauss-Kahn dans le domaine qui est le sien ?

Peut-être faudrait-il comprendre que M. Maillot fait partie des politiques français qui ont souhaité la mort politique de Strauss-Kahn et qui ne voudraient plus entendre parler de leur compatriote sur quelque plan que ce soit. Mais, de là à s’en prendre gratuitement aux Chefs d'État africains, cela relève d’un mélange de genre impropre à la consommation.

Dans tous les cas, il est notoirement connu, en Afrique, que quand un plaisantin français, du genre de Jacques Maillot, prend la parole et ne qualifie pas un Chef d’État africain dont la tête ne lui plait pas de dictateur, c’est qu’il n’a encore rien dit.

Toujours est-il que ce ne sont ni Les grandes Gueules de RMC, ni Maillot qui empêcheraient à Denis Sassou N’Guesso d’entretenir de bons rapports avec ses amis. Plus plaisantin que chroniqueur, Jacques Maillot ne devrait mériter l’ombre d’aucun crédit et Les Grandes Gueules, son espace d’expression ne mérite pas non plus d’être notées autrement !''

Rwahne Darwin – Reproduction /Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-03-21 09:13:13

Congo – Musique : Pembey Sheiro est bien vivante

La nouvelle du décès de la chanteuse Pembey Sheiro partie de Pointe-Noire a fait le tour du monde et se relaie à travers les réseaux sociaux, depuis mardi. La famille y a apporté un cinglant démenti.

« Une certaine Télé de Pointe Noire a annoncé le décès de ma sœur cadette Pembey Sheiro. Et nous sommes dérangés depuis cet après midi par de nombreux appels. Merci pour votre sympathie, mais cette information est fausse et Pembey la contredira elle-même. »

C’est à travers ce message posté mardi soir sur facebook, que Daniel Mboungou Mayengué a tordu le coup à une rumeur née sur une table de rédaction à Pointe-Noire, depuis une télévision de la localité. Le journaliste, croyant tenir l’information de source sûre, a annoncé le décès de la chanteuse Pembey Sheiro, sans recouper au préalable ladite information, notamment en contactant la famille ou les proches de l’artiste. Sans doute un manque de métier.

Il va s’en dire que depuis qu’elle s’est mise en retrait de sa vie artistique du fait des ennuis de santé récurrents, les rumeurs les plus fantaisistes circulent sur Pembey Sheiro.

De rumeur en rumeur, on en est évidement parvenu à l’extrême, en la donnant pour morte. Un canular !

Anna Pembé, de son vrai nom, est fille du défunt pasteur Jean Mboungou. Et c’est au sein de l’Église évangélique du Congo qu’elle commence d’ailleurs son parcours musical chrétien avant de se lancer dans la chanson populaire. Depuis les années 2000, « la belle des belles », comme on la surnommait pendant ses années de gloire, s’est rangée dans la musique chrétienne, revenant à ses premières amours.

Au nombre des tubes à succès qui ont fait sa renommée, on peut citer ‘’Ba passi ya mokili’’, ‘’Ominga’’ ou encore ‘’sala ni toto’’ chanson exécutée dans son dialecte.

Puisse t-elle continuer à nous chanter de la bonne musique.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-03-21 07:58:01

Congo : Journée de sensibilisation aux mains propres dans les écoles primaires

L’Unicef a lancé sa campagne de sensibilisation aux mains propres dans les écoles primaires du pays sous le thème "Des mains désinfectées, des risques évités".

Créé le 2019-03-20 20:25:59

Les déchets plastiques, fléau des plages congolaises

Les ONG activement engagées dans la défense de l’environnement procèdent à des collectes minutieuses de détritus sur les plages de Brazzaville et Pointe-Noire. Environ 80% des déchets sont en plastique, matériau qui met plusieurs centaines d'années avant de disparaître.

Créé le 2019-03-20 19:28:31

Congo : 30 millions d’euros pour développer le port de Pointe-Noire

L’ambassadeur de l’Union européenne (UE) au Congo, Raul Mateus Paula a indiqué récemment à Pointe-Noire, la capitale économique du Congo, que le don de 30 millions d’euros permettra au Port autonome (PAPN) d’étendre sa capacité d’accueil et de construire des infrastructures de pêches industrielle et artisanale.

Créé le 2019-03-20 18:38:41

Congo : Le gouvernement appelle à aimer les forêts et à les préserver pour les générations futures

Prévue le 21 mars, comme chaque année depuis 2012, la Journée internationale des forêts sera célébrée ce jeudi au Congo-Brazzaville sous le thème «Les forêts et l’éducation». La ministre de l’Economie forestière, Rosalie Matondo, a appelé ses compatriotes à aimer les forêts et à les préserver pour les générations futures.

Créé le 2019-03-20 18:06:30

Koen Vervaeke et Denis Sassou N’Guesso ont parlé de la paix dans la sous-région

Le président de la République du Congo, Denis Sassou N’Guesso a reçu ce mercredi 20 mars 2019 à sa résidence du plateau à Brazzaville, Koen Vervaeke, envoyé spécial de l’Union Européenne (UE) pour la région des grands lacs.

Créé le 2019-03-20 16:30:12

Congo - Collectivités locales : La session budgétaire du conseil municipal de Mossendjo accouche d'une souris

Les conseillers locaux de la Commune de Mossendjo se sont séparés en rangs dispersés le lundi 18 mars 2019. Des divergences de vues sont nées lors du vote du budget de la localité, exercice 2019.

Les discussions menées huit jours durant n’ont produit aucun fruit. Puisque le budget de l’Assemblée locale de Mossendjo n’a pas pu être voté, faute de consensus, à l’issue des travaux de la session budgétaire extraordinaire du conseil municipal de la localité. Une attitude que le président de cette institution au niveau locale, Erick Blaise Ngouloubi Sayi, a qualifiée d’irresponsable. Ce qui à la limite dénote d’un manque de respect du souverain primaire, précisément les populations de cette circonscription administrative du Congo.

« Ayant été élevé à la dignité d’honneur par la population de Mossendjo, je pensais que notre première mission serait celle de doter notre commune de ses instruments de pilotage, notamment le budget, mais hélas ! » S’est exclamé Erick Blaise Ngouloubi Sayi, le président tout en ajoutant « Nous n’avons pas pu, au sortir de cette session, voter le budget de la commune. » Avant d’exprimer son indignation et son amertume : « Ce qui renvoie aux yeux du monde l’image d’un conseil irresponsable. » Amertume et indignation, pour la bonne raison que les égos et les émotions ont pris le dessus sur l’intérêt de la collectivité, a fait observer Erick Blaise Ngouloubi Sayi, le président du bureau exécutif de ce conseil. Ce qui n’offre aucun avantage à la collectivité.

Ainsi, chaque élu local, tirant les leçons de l’échec de cette session budgétaire extraordinaire, devrait transcender les vertus du patriotisme et de tolérance. En ce sens que le développement local de Mossendjo devrait se faire sur la base d’un tableau de bord, qu’est le budget.

À l’évidence, le président du conseil municipal de Mossendjo s’est félicité de l’évolution positive du processus de décentralisation dans le pays. Aussi, a-t-il exprimé toute sa reconnaissance à l’endroit du président de la République, Denis Sassou N’Guesso, qui fait de la décentralisation un levier important du développement du Congo.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-03-19 19:04:55

Congo – Sécurité : Le ''sevrage'' des ‘’bébés noirs’’ se fait attendre à Pointe-Noire

La psychose est permanente dans les quartiers périphériques de Pointe-Noire où malgré des incursions jugés trop sporadiques de la police, les bébés noirs continuent de dicter leur loi.

Les services départementaux de la police judiciaire au Kouilou et à Pointe-Noire ont présenté le 16 mars, une vingtaines de malfaiteurs, présumés coupables de crimes divers dans la ville océane et ses environs.

En dépit de ces quelques arrestations qui apparaissent comme une infime goute d’eau dans l’océan des ‘’bébés noirs’’ qui écument la ville, les populations continuent de se plaindre d’une insécurité devenue endémique.

Chaque semaine, des cas d’attaque de ‘’bébés noirs’’ sont signalés de ci de là et pour les populations, l’arrivée tardive de la police s’apparente à celle d’un médecin qui se rend au chevet d’un cadavre, tant les bandits opèrent quasiment en toute quiétude, parfois de jours.

Les derniers cas en date se sont produits au quartier Culotte, à Tié-Tié, à Mvou-Mvou à Siafoumou et à Mongo-Mpoukou où les "bébés noirs" ont donné la mort à trois personnes en plein jour.

Pour les populations, ces crimes sont le symbole d’une non-assistance à personnes en danger de la part de la force publique qui ne semble pas saisir l’ampleur de la menace qui, s’y l’on y prend garde, risque de prendre une expansion jusque sur les routes nationales.

« L’ampleur de ce phénomène inquiète plus d’un habitant de Pointe-Noire. Prenez le cas du tronçon routier Pointe-Noire-Dolisie où les voyageurs circulent librement. Alors le jour où ces "bébés noirs" sortiront de la ville pour occuper certains abords de cette route aux heures tardives, on risque d’assister au phénomène de coupeurs de route, puisqu’ils ont les moyens pour immobiliser des véhicules la nuit et même le jour. Dans d’autres pays, ce phénomène a commencé dans les villes et a fini par atteindre les routes nationales », a prévenu un témoin.

La population de Pointe-Noire ne cesse de condamner en outre le mutisme des défenseurs des droits de l’homme qui n’ont jamais pris publiquement la parole pour dénoncer ce phénomène, mais sont prompts à défendre les droits de bandits arrêtés.

Entre-temps, chacun prie pour ne pas croiser, de jour comme de nuit, le chemin de ces jeunes gens aux airs apparemment inoffensifs, mais qui se révèlent être des criminels en puissance.

Dans les églises dites de réveil, certains pasteurs-exorcistes ont inscrits les ‘’bébés noirs’’ sur la liste des esprits du mal à écarter du chemin de leurs adeptes, et à envoyer « dans les lieux arides, au nom de Jésus ! ».

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-03-19 12:20:55

Congo – Diversification de l’économie : Le gouvernement à pied d’œuvre pour la finalisation des zones économiques spéciales

Le gouvernement de la république s’est réuni en conseil de Cabinet sous l'autorité du Premier Ministre, Clément Mouamba le 18 Mars 2019 à La Primature. À l'ordre du jour figuraient des projets de texte présentés par le Ministère des Zones Économiques Spéciales et, celui des Affaires Sociales et de L'action Humanitaire.

Présentés comme de véritables viviers de production, avec une utilisation exponentielle de main d’œuvre, de techniciens et cadres d’exploitations, les zones économiques spéciales s’inscrivent en droite ligne dans la relance de l’économie congolaise. Le conseil de cabinet du 18 mars en a acté les grandes variantes qui seront analysées et adoptées très prochainement en conseil des ministres.

« Le troisième et dernier secteur emblématique de notre stratégie post pétrole est celui de l’industrie. L’industrialisation du Congo épine dorsale du «Chemin d’avenir», évolue favorablement. Le gouvernement s’applique à construire, méthodiquement, la plate-forme de lancement de l’industrie nationale qui s’appuie sur les filières forestière, agro-alimentaire et des matériaux de construction. Elle a pour catalyseur les zones industrielles et les zones économiques spéciales ». Tel est en substance, l’esquisse dressée par le président Denis Sassou N’Guesso sur la mise en place des Zones économiques spéciales, lors de son message sur l'état de la Nation, le 13 août 2012.

Depuis, cette vision n’a cessé de prendre forme et se décline désormais en quatre plateformes notamment : Ouesso, Oyo-Ollombo, Brazzaville et Pointe-Noire.

La zone économique spéciale de Ouesso couvre une superficie de 64.520 hectares. Les activités retenues se feront en trois phases.

La première phase est centrée sur la transformation industrielle du bois en sciage et contre plaqué, et à terme la production des meubles et les constructions immobilières.

La deuxième phase est centrée sur la préparation, le développement des cultures de café et de cacao et la création de l’agro-industrie par la transformation de ces cultures.

La troisième phase concerne la culture de la filière palmeraies.

La zone économique spéciale d’Oyo-Ollombo couvre une superficie de 760.318 hectares.

Située au centre du Congo, cette ZES se trouve à une distance de 400 km de Brazzaville, sur la nationale 2. La Route Nationale 2 (RN2) assure le transport routier reliant les villes de Brazzaville ; Odziba ; Ngo ; Gamboma ; Ollombo‐Oyo entre elles. Elle poursuit en direction nord partant d'Oyo et terminant à Ouesso, où les camions peuvent traverser la frontière avec le Cameroun. Une route secondaire dans l'ouest, relie Oyo à Obouya et Ewo.

Cette zone est principalement consacrée à l’économie verte. Les activités ci-après y seront développées : Production des cultures alimentaires et de rente. Élevage de bétail. Transformation des produits agricoles. Sylviculture. Pisciculture. Services commerciaux. Tourisme. Recherche et service financiers.

La zone économique spéciale (ZES) de Brazzaville couvre une superficie de 164.100 hectares.

Le parc d’activités de la ZES de Brazzaville est situé à Maloukou-Ttéchot. Le Gouvernement a prévu la mise en œuvre de la ZES de Brazzaville, en deux (02) phases.

Une première phase centrée sur : la dynamisation de la filière des palmeraies (transformation de l’huile de palme, par exemple en huile alimentaire et en savon) ; l’horticulture (fleurs, fruits et légumes) ; les matériaux de construction (ciment, granulats, briques/carreaux) ; développement des activités de logistique (transport, conditionnement, stockage, etc.)

Une seconde centrée sur : les énergies renouvelables, avec la production de bioéthanol de sucre de canne et du biodiesel d’huile de palme ; la recherche et les services financiers.

La zone économique spéciale de Pointe-Noire, susceptible de s’étendre, couvre actuellement une superficie d’environ 3.544 hectares.

Compte tenu des nombreux avantages en termes d’emplacement, de disponibilité de matières premières et d’autres facteurs de production, la zone économique spéciale de Pointe-Noire est bien placée pour soutenir les initiatives d’industrialisation en cours entreprises par le Gouvernement.

Cette zone devrait offrir les infrastructures nécessaires et d’autres installations et services essentiels pour renforcer la base industrielle limitée existant dans le pays. Activités retenues : les produits pétroliers raffinés ; les métaux et l’ingénierie ; les produits chimiques ; l’industrie alimentaire et des boissons ; les produits minéraux non métalliques ; le bois et les produits dérivés du bois ; le papier et les produits du papier ; la production des produits en plastique et verrerie; l’imprimerie et l’édition ; la réparation et l’installation des machines et des équipements ; le tourisme; la recherche et les services financiers.

Un programme ambitieux pour le gouvernement qui malgré la crise économique, est décidé d’avancer car il ne fait désormais aucun doute que les zones économiques spéciales vont contribuer à la mise en œuvre de nouveaux instruments de développement économique et social du Congo.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-03-19 11:10:14

Congo - Infrastructures routières: Londéla-Kayes toujours enclavée

Écouler la production agricole, s'approvisionner en denrées de première nécessité à Dolisie ou y évacuer un malade en urgence restent encore des préoccupations vitales difficilement assurées pour les populations de Londéla-Kayes.

Leurs doléances s’adressent aux autorités, en même temps que leurs suppliques montent vers le bon Dieu, les populations de Kimongo et Londéla-Kayes ont désormais la certitude de ne pas être entendues, car leur cri de détresse dure depuis plus de 10 ans déjà, au point qu’elles en sont devenues aphones.

Pour ces populations, se rendre à Dolisie ou y acheminer leur production vivrière et en rapporter l’essentiel de ce qui sied à leurs besoins vitaux, relève de la croix et la bannière.

La route, seul moyen de déplacement n’est en réalité qu’un tracé sans commodités de roulement. L’emprunter est d’une véritable odyssée, tant les péripéties relèvent des films d’aventures depuis, rangés aux oubliettes. Les risques d’accidents sont permanents et la saison des pluies rend les conditions de plus en plus difficiles. Pourtant, il faut partir. Il faut oser. La survie est à ce prix.

Le paradoxe est que la population en majorité jeune, est travailleuse. Des jeunes qui essayent de braver les conditions de la route pour écouler une production dont la qualité se déprécie hélas par les aléas du voyage.

L’état de la route occasionne des pannes récurrentes sur des véhicules qu’il faut parfois tracter à la force des bras.

Inscrit dans un budget CEMAC depuis des lustres, la réhabilitation de la route Kimongo-Dolisie-Londéla-Kayes sera d’un grand soulagement pour les populations qui pour l’instant, se sentent abandonnées par le gouvernement de la république.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-03-19 09:15:52

Congo : Gloire immortelle au président Marien Ngouabi !

Le slogan sonnait telle une supplication emprunte de ferveur révolutionnaire : « gloire immortelle au président Marie Ngouabi ». 18 mars 1977, 18 mars 2019, il y 42 ans, mourrait le 3ème président du Congo, l’arme à la main.

Créé le 2019-03-18 21:54:51

Koffi Olomidé condamné à 2 ans de prison avec sursis

La vedette de la rumba congolaise, Koffi Olomidé, peut désormais aller en Europe sans risque d’être arrêté à en croire la décision de la justice française qui a condamné le chanteur de « Loi » à une peine de 2 ans de prison avec sursis dans l’affaire d’agression sexuelle sur quatre de ses anciennes danseuses.

Créé le 2019-03-18 21:14:28

Pointe-Noire : Antoinette Sassou N’Guesso inaugure Le DoubleTree by Hilton

Le DoubleTree by Hilton Pointe-Noire a officiellement été inauguré le 16 Mars 2019 sous le patronage de la Première Dame du Congo, Antoinette Sassou N’Guesso.

Créé le 2019-03-18 20:33:09

Congo - violences passionnelles : Tentative d'émasculation d'un jeune homme pris en flagrant délit d'adultère

Un jeune homme pris en flagrant délit d'adultère à Brazzaville, la capitale congolaise, a failli perdre ses attributs masculins, sur lesquels s'est acharné le ''mari '' cocu.

Créé le 2019-03-16 21:38:55

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