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Quels sont les pays qui ont déjà validé leur billet pour la coupe du monde 2022 au Qatar ? 5 zones sont concernées (Europe, Amérique du Sud, Afrique, Asie et CONCACAF).
Retrouvez la liste de toutes les équipes qualifiées pour la compétition :

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-06-14 22:09:13
Une délégation de l’association Kiminou « Icole pour tous », sous la conduite de sa présidente Mme Berthe Blanche Laval Mouandza, a été reçue en audience à Brazzaville par le ministre congolais de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Pêche, Paul Valentin Ngobo.

Une rencontre qui intervient à quelques mois du lancement officiel du projet agro-pastoral sur le site de Moulimba situé dans le département de la Lékoumou et appartenant au Ministère de l’Agriculture.
Il s’agissait pour la présidente Mme Berthe Blanche Laval Mouandza qu’accompagnait sa collaboratrice, Mme Sabine Kikala, coordinatrice de l'association Kiminou pour l'antenne de la Bouenza, de présenter au ministre congolais de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Pêche, Paul Valentin Ngobo, les projets à venir de l’association Kiminou « Icole pour tous » notamment, les projets agricoles dans les départements de la Bouenza et du Kouilou, les difficultés que rencontre l’association humanitaire sur le site de Moulimba dans la Lékoumou.

Le ministre congolais de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Pêche, Paul Valentin Ngobo, a félicité l’association Kiminou « Icole pour tous » pour les actions menées en faveur des enfants démunis du pays et pour son projet agro-pastoral sur le site de Moulimba.
Le ministre Paul Valentin Ngobo déterminé à doper notre agriculture, a proposé à l'association Kiminou "Icole pour tous" de rejoindre les ZAP (les zones agricoles protégées) sur le site de Mayimouna vers Kiossi entre Loudima et Nkayi.
Une proposition concrète saluée par Mme Berthe Blanche Laval Mouandza et ses collaborateurs.
L'activité maraîchère lancée depuis deux mois par l'association Kiminou est en plein essor. Elle se trouve néanmoins confrontée à quelques difficultés techniques notamment, le système d'irrigation d'eau. L'association étudie le problème afin de trouver une bonne solution sur le long terme.
Il sied de préciser que cette activité génératrice de revenus va permettre à l'association Kiminou de réaliser ses projets dans son champ d'intervention à savoir l'éducation, la scolarité, la scolarisation...
Avec près de 100 planches, il est impossible d’arroser les plantes. Entre le système d'irrigation d'eau qui manque de pression et les nombreuses heures de travail nécessaires pour tout remettre en état, la facture est estimée à environ 500. 000 FCFA TTC, selon le devis qui a été établi pour un système mieux que celui qui existe.
Pour financer cet effort de modernisation, les responsables de l’association Kimimou « Icole pour tous » qui veulent repenser la houe et l'arrosoir sur le site de Moulimba, font largement appel à l’Etat (le Ministère de l'agriculture propriétaire du site), aux entreprises agricoles et des autres partenaires au développement pour faire avancer leur projet agro-pastoral qui va permettre, à court terme, d'assurer le matériels scolaires des enfants issus des familles vulnérables du pays.
Tout le souhait de la présidente de cette association humanitaire, Mme Berthe Blanche Laval Mouandza est de faire des familles vulnérables des producteurs et des vendeurs de cette activité agricole pour en faire un revenu pour mieux s'occuper des besoins scolaires de leurs enfants, de façon autonome.
Pour soutenir l'action de l’association Kiminou « Icole pour tous », voici les contacts : 06.705.89.89/06.907.11.11/ 05.300.89.89 pour l'antenne du Congo-Brazzaville et le 06.11.12.24.41 pour l'antenne de France. Whatsapp : 0033.668.92.71.11. Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.. Site internet : www.kiminou.fr.
Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-06-14 21:51:07
Le conseil d’administration de la Banque de développement des États de l’Afrique centrale (Bdeac) a approuvé le 9 juin dernier à Libreville au Gabon, 14 nouvelles propositions de financement, pour un montant total de 161,8 milliards de FCFA.
Ce financement sera utile dans les secteurs clés de l’éducation, l’agriculture, le transport, le tourisme, les finances et les mines. « Notre sous-région a beaucoup de besoins de financement aussi bien au niveau des infrastructures publiques que des opérateurs privés. Il y a quelques années, les opérateurs de notre sous-région étaient des mendiants de financements dans d’autres régions pour leurs projets. Aujourd’hui, tout le monde se tourne vers la Bdeac. À la Bdeac, nous ne voulons pas qu’un projet dans la Cemac reste dans les tiroirs, faute de financements », a déclaré Fortunato-Ofa Mbo Nchama, président de la Bdeac.
Ces nouveaux engagements concernent des projets situés dans les six pays de la zone Cemac et aussi dans un pays actionnaire non régional : le Burundi. « C’est la première fois que la Bdeac octroie des financements à un État non membre de la zone Cemac. Cette intervention de la Banque s’inscrit ainsi dans le cadre des résolutions prises au cours des réformes de 2019 et traduit son ouverture à répondre favorablement aux sollicitations des autres pays de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (Ceeac) », précise la Bdeac.
À noter qu’au cours de l’année 2021, la Banque a effectué des décaissements en faveur des opérateurs économiques publics et privés d’un volume total de 163 milliards de FCFA (soit plus du double du volume de l’exercice précédent). Ceux-ci ont contribué à la création de milliers d’emplois, impactant ainsi les économies de la sous-région Cemac, soutient-on.
Bénéfice net en hausse en 2021
Le conseil d’administration de la Bdeac de ce 9 juin avait pour but d’examiner et approuver les comptes clos au 31 décembre 2021. Ainsi, il en ressort que la Bdeac a enregistré un résultat net de plus de 8,7 milliards de FCFA. En hausse par rapport à l’année précédente malgré le contexte économique plombé par la crise sanitaire de la COVID-19.
Aussi, les comptes clos de l’exercice 2021 de la banque font ressortir un produit national brut (PNB) qui s’élève à 22,6 milliards de FCFA contre 18,7 milliards de FCFA un an plus tôt. Soit une croissance de 21,1 %. Une évolution qui traduit l’impact positif de l’amélioration de la trésorerie de la Banque selon la Bdeac.
« Les comptes de la Bdeac sont au vert. Nous avons une situation de la banque qui ne cesse de s’améliorer depuis 5 ans d’ailleurs avec des résultats de l’ordre de plus de 8 milliards de FCFA. Ce qui est une bonne chose pour les États qui profitent aujourd’hui de ces ressources de la banque pour pouvoir investir », a affirmé Nicole Jeanine Lydie Roboty Mbou, ministre gabonais de l’Économie et par ailleurs, présidente en exercice du conseil d’administration de la Bdeac.
Précisons qu’au cours de l’année 2021, la Bdeac a mobilisé près de 156,9 milliards de FCFA aussi bien sur le marché financier sous-régional qu’auprès de ses partenaires internationaux. Elle a aussi conclu l’entrée dans son capital social de deux nouveaux actionnaires. À savoir : la République du Burundi et Afreximbank.
Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-06-14 20:33:27
Il est bel et bien de retour ! Après quasiment deux ans d’absence due notamment à la crise sanitaire, le célébrissime et talentueux artiste congolais aux multiples facettes, le meilleur artiste congolais de la Diaspora 2019, réapparaît sur le devant de la scène. Le samedi 4 juin dernier, à l’Espace We Welcome à Lagny-sur-Marne en Seine-et-Marne, le public a adoré et Sam Talanis s’est éclaté lors de ce concert inédit qui a ébloui mais surtout rassuré ses fans.

Et pour ce premier concert à Lagny-sur-Marne en région parisienne, synonyme de come-back à tous les niveaux, pas question pour Sam Talanis, qui célébrait également son anniversaire, de se louper.

Accompagné par des artistes talentueux, le virtuose de la Rumba congolaise a interprété les plus grands succès de son répertoire.

Sam Talanis, bien tiré à quatre épingles, ne s’est pas fait prier : devant plusieurs spectateurs conquis, il a enflammé l’Espace We Welcome à Lagny-sur-Marne pendant les deux heures qu’a duré son concert aux allures de spectacle pyrotechnique.
« Sam Talanis réussit ce qu'il n'était jamais vraiment parvenu à faire depuis qu'il propose des shows spectaculaires en France : être le chanteur complice extrêmement proche du public », conclut un féru de la musique congolaise et africaine.

Le spectacle du samedi 4 juin dernier, à l’Espace We Welcome à Lagny-sur-Marne, arrive largement en tête de plusieurs concerts donnés en France par le chanteur au cours de sa carrière musicale.

Un concert qui a connu un franc succès avec une programmation exceptionnelle qui a laissé au public un véritable goût de revenez-y.
Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-06-14 11:24:29
Dans la perspective de l’entrée en vigueur, dès le 1er janvier 2023, de la mesure interdisant l’exportation des grumes dans les six pays de la Cemac (Cameroun, Congo, Gabon, Tchad, RCA et Guinée équatoriale), un atelier consacré à la validation des directives régionales de fiscalité et de certification forestière s’est tenu récemment à Libreville au Gabon.
Au cours de cet atelier des experts et des ministres du Comité régional d’industrialisation durable de la filière bois dans le Bassin du Congo ont défini les normes prioritaires à harmoniser pour le bois transformé, proposer des outils métrologiques pour la transformation locale du bois.
Ils ont également examiné et valider le cadre harmonisé des directives régionales de fiscalité forestière dans le but qu’il soit pris en compte dans les lois de finances 2023. Le projet de décision portant sur les caractéristiques et la catégorisation des produits de bois transformés a été également examiné et validé. Idem, pour le projet de décision portant mesure d’accompagnement à la mise en œuvre de la stratégie d’industrialisation durable de la filière bois dans le Bassin du Congo.
Les États de la zone ont adopté les réformes visant à limiter la baisse des recettes dues à l’interdiction de l’exportation des grumes. Car l’entrée en vigueur de cette mesure « au 1er janvier 2023 entraînera inévitablement une baisse considérable des recettes fiscales forestières », selon la Commission de la Cemac.
Ainsi, pour atténuer directement ou indirectement la baisse des recettes d’exportation des grumes, la Commission de la Cemac encourage les États à mettre en œuvre une fiscalité incitative pour une transformation plus poussée du bois, avec notamment la suspension pour une durée de 3 à 5 ans des tarifs douaniers pour les intrants et les biens d’équipements nécessaires à la transformation du bois.
Les États de la Cemac devraient par ailleurs s’inspirer du cas du Gabon qui a mis en place une batterie de mesures incitatives pour encourager la transformation locale du bois et attirer les investisseurs étrangers dans le secteur au Gabon. Par exemple, la taxe d’abattage a été supprimée et une taxe écologique sur la superficie a été instaurée. À noter que le Gabon a interdit, depuis 2010, l’exportation des grumes.
Cet atelier qui s’est tenu à Libreville fait suite à celui tenu le 18 septembre 2020. Il avait mis un cadre institutionnel et règlementaire pour l’industrialisation de la filière bois dans le Bassin du Congo. Il a porté notamment sur la création d’un Comité régional d’industrialisation de la filière bois (CRIB), l’interdiction de l’exportation des grumes, la création de zones économiques spéciales pour l’implantation d’industries de 1ère, 2e et 3e transformation du bois et le développement des plantations forestières.
Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-06-14 10:22:14
Le Paris Saint-Germain (PSG) va accueillir François M'Pelé au Camp des Loges, dimanche prochain, à Saint- Germain- en- Laye, à 19 km à l'ouest de Paris dans le département des Yvelines en région Île-de-France.

Le club rouge et bleu qui continue avec la mondialisation de son public, fera visiter ses installations sportives et rendre un vibrant hommage à ce joueur qui a marqué l'histoire du Club de la capitale française avec 217 matchs, 95 buts inscrits de 1973 à 1979).
L’attaquant franco-congolais (74 ans), qui réside en Champagne en France, sera accompagné de toute sa famille, a-t-on appris auprès de Daniel Lenoel, ancien joueur amateur du Paris Saint-Germain de 1970 à 1975.
En août 2021, François M’Pelé était l’invité d'honneur du Paris Saint-Germain à Reims lors de la quatrième journée de Ligue 1 (0-2). Le stade Auguste Delaune était la première enceinte où Lionel Messi a foulé les pelouses en tant que joueur de Ligue 1.

Franois M’pelé a été vénéré par Leonardo Nascimento, directeur sportif du PSG depuis le 14 juin 2019, Neymar Jr, l’international brésilien qui évolue au poste d'attaquant au Paris Saint-Germain et Kylian Mbappé qui évolue au poste d’attaquant au PSG, en Ligue 1 et l’un des acteurs majeurs de l’équipe de France qui remporte la Coupe du monde 2018 en Russie sous la houlette de Didier Deschamps.

Champion d’Afrique 1972 avec le Congo-Brazzaville en inscrivant notamment un but en finale contre le Mali (3-2), François M’Pelé fait partie des meilleurs attaquants de sa génération.
Né à Brazzaville le 13 juillet 1947 et après avoir démarré sa carrière de footballeur au Standard de Brazzaville (1966), il arrive en France en 1968. François M’Pelé y jouera jusqu’à la fin de sa carrière en 1982.
L’avant-centre congolais fait les beaux jours de l’AC Ajaccio (71 buts en 149 matchs), du PSG (95 buts en 217 matchs), de Lens (16 buts en 65 matchs) et du Stade Rennais (16 buts en 34 matchs).
Il a également participé à la montée du PSG en D1 en 1973 en marquant lors du barrage contre Valenciennes.
M'Pelé est d'ailleurs le 7ème meilleur buteur de l'histoire du PSG.
Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-06-14 09:54:52
Zinedine Zidane serait-il le prochain entraîneur du Paris Saint Germain? Les deux parties seraient proches d'un accord. Et depuis, la nouvelle enflamme la planète football.
Zinedine Zidane et le Paris Saint-Germain sont proches d'un accord, selon les informations de RMC Sport.
L'entraîneur français de 49 ans, libre de tout contrat, est aujourd'hui le favori pour remplacer Mauricio Pochettino, dont le départ semble imminent.
Des sources internes au club ne démentent pas les discussions, mais nient toute signature d’un accord avec Zidane.
Le dossier Zidane serait managé par l'émir du Qatar en personne. Un contact avait été établi entre Zinedine Zidane et l’émir le 29 mai dernier.
En décembre 2021, l’émir Al-Thani avait déjà directement proposé le poste à Zinedine Zidane. Une tentative qui avait échoué.
Ce dossier est aussi surveillé au plus haut niveau de l’État français. La récente intervention du président Emmanuel Macron, jugeant "formidable" que Zidane puisse entraîner en France, apporte du crédit à la volonté du Qatar de réussir cette opération hors norme.
De son côté, Zidane faisait de l’équipe de France sa priorité et souhaitait rester disponible au cas où. Une perspective qui semble s'éloigner.
Zinedine Zidane est sans poste depuis son départ en 2021 du Real Madrid, un club qu'il avait conduit à trois sacres consécutifs en Ligue des champions.
Si l'éventualité de la signature de Zidane au Paris Saint Germain suscite l'enthousiasme du coté de Paris, elle est vue comme une trahison du coté de Marseille dont il est originaire.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-06-11 10:03:09
Elle enfermait son fils dans un puit de rétention sans eau en guise de punition. Un acte de maltraitance qui une fois découvert, a suscité l'indignation, défrayé la chronique et créé le buzz sur les réseaux sociaux. La mère indélicate a été interpellée vendredi par les services de gendarmerie de la brigade de Mpita à Pointe-Noire. Mais, cette femme connaissait-elle la loi?
L'acte semblait anodin pour cette femme de nationalité congolaise, âgée de 31 ans. Enfermer son fils de 8 ans dans un puit amenagé, afin de l'empêcher de vagabonder loin de la maison.
Par ignorance ou par par excès d'autorité parentale, la dame qui était loin de se douter de la mise en danger de la vie de son fils, pensait son acte normal, et elle s'en est vivement défendue.
Le 8 juin dernier, des voisins découvrent la dangereuse "prison souteraine" dans laquelle l'enfant suffoquait dans le noir, car la maman refermait le puit au moyen d'un morceau de planche sur laquelle elle posait deux énomrmes briques. Ils tentent en vain de la ramener la maman à la raison pour en extraire l'enfant. La femme s'estimant dans son bon droit de corriger son fils selon son bon vouloir, s'obstine à garder son fils dans le puit.
Dans cette rue des cocotiers, au quartier Malala, derrière l'aéroport Agostino Neto de Pointe Noire, les voisins accourent et chacun y va de son intervention, face à une maman qui justifie ce châtiment corporel par le caractère difficile de son fils dont la moindre once de liberté est synonyme d'évasion. Il va loin de la maison. Et il faut ensuite lui courir après, avec tous les risques qu'il puisse s'égarer ou être enlevé par une personne malvaillante.

Un raisonnement que la dame sûre de son bon droit a tenu devant la brigade de recherches de la compagnie territoriale de la gendarmerie de Mpita qui a ouvert une enquête sur ces actes de maltraitance, en attendant de déférer la dame devant le procureur de la République, qui de toute évidence, lui fera application de la loi sur la protection des enfants contre la traite et la maltraitance.
Cette femme, convaincue que sa punition ne provoquait pas de lésions sur son fils et ne le tuerait outre mesure, se doutait-elle que son acte est repréhensible et condamnable par la loi?
C'est sans doute le coté pédagogique de l'affaire, avec une maman dont le raisonnement se calque sur le niveau d'instruction et de ses connaissances, qui elles mêmes trainent encore au siècle dernier, quand les châtiments corporels étaient un moyen par excellence pour les parents, dans l'éducation des enfants réfractaires.
Obéir à la loi, c’est la connaître, l’étudier, mais c’est aussi l’accepter ou la contester, l’intérioriser et se l’approprier. Ce qui questionne les outils de contrainte, d’information de pédagogie mis en place par les autorités, pour en permettre la validité ou la pertinence.
Mais cette femme connaissait-elle la loi dans la forme telle que même sans tuer son fils, ce qui était loin de ses intentions, l'enfermer dans ce puit, la mettait en travers de la loi?

Peut-être est-il temps pour les autorités, de vulgariser ces lois, surtout sur les enfants, qui culturellement, tracent d'autres contraintes parentales et que certains justiciables sous informés et déconnectés de l'ère du temps, ne découvrent que devant le juge, avec un sentiment d'injustice à leur endroit.
Une injustice qui depuis, trotte en toute ignorance en cette dame qui pense être dépouillée de son autorité parentale.
Ce discernement ne manquera sans doute pas d'habiter le procureur, au moment de lever le glaive de la loi.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-06-11 08:16:30
Après deux semaines de cavale, le taximan Roly Babindamana, un congolais de 35 ans, célibataire, père de deux enfants et domicilié à Kingouari, a été rattrapé par la police. L'homme avait fui, emportant avec lui deux téléphones-portables, un congélateur et de l'argent de ses clients.
Dans la journée du 21 mai 2022, au cours de son activité de taximan, Roly Babindamana est sollicité à Moungali par deux jeunes filles qui se rendent au quartier "La Base".
Arrivé à la hauteur du camp GPC à Moukondo, le taximan simule une panne. Il demande à ses deux clients de descendre et de l'aider pendant qu'il feint de réparer son taxi.
Une fois les deux filles hors du véhicule, le taximan rallume le moteur et prend la fuite, emportant avec lui le congélateur, un sac à main contenant une somme de cinquante mille francs CFA, deux perruques brésiliennes et deux téléphones portables.
Depuis, l'alerte avait été donnée, les deux filles ayant eu le temps de relever le numéro de la plaque d'immatriculation du taxi.
Roly Babindamana a été rattrapé par la police, le samedi 04 juin, en possession des deux téléphones de ses clients. Il a reconnu avoir déjà commis trois forfaits avec ce même stratagème.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville/Source: Le Troubadour de Brazzaville
Créé le 2022-06-08 20:29:07
Les congolais se sont imposés mercredi face aux gambiens, au Stade Alphonse Massamba-Debat de Brazzaville, sur le score d'un but à zéro. Cette victoire par la plus petite des marques, relance les Diables rouges après le faux pas de Bamako.
Les Diables rouges du Congo ont mystifié les Scorpions de Gambie, mercredi à Brazzaville. Vainqueur du Soudan du Sud au Stade Lat-Dior de Thiès, lors de son premier match (1-0), la Gambie a été surprise pour sa deuxième sortie. Elle s’est inclinée (0-1) contre le Congo.
Les Diables rouges avait à coeur de se relancer dans ces éliminatoires, dans le groupe G. Une promesse faite au Premier Ministre Anatole Collinet Makosso qui avait apporté un message d'encouragement et d'assistance de la Nation toute entière aux joueurs, la veille du match.
Anatole Collinet Makosso qui a suivi la rencontre en premier supporter, dans un stade bien plein, comme Alphonse Massamba Débat n'en avait plus connu.
Message reçu cinq sur cinq, tant et si bien qu'à la 74ème minute, d'un tir des 30 mètres, Antoine Makoumbou a marqué l'unique but de la rencontre, offrant au Congo sa première victoire, pour reprendre en main son destin. Un destin pour lequel le Premier Minsitre espère une issue victorieuse, même si le début a été à la défaite.
Au classement, la Gambie reste 2ème, à égalité de points avec le Congo (3ème) et le Mali (1er) avec 3 points pour chacune des équipes, en attendant le match de Jeudi, entre le Mali et le Soudan du Sud jusque là dernier avec zéro point.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-06-08 19:23:47
Pour la première journée des éliminatoires de la CAN 2023, les congolais se sont littéralement noyés à Bamako, battus 4 buts à 0 par les maliens. L'addition aurait sans doute été plus lourde, si les maliens n'avaient levé le pied en seconde mis-temps, les quatre buts étant marqués en première période.
Les campagnes sportives se suivent et se ressemblent pour les congolais, en termes de résulats négatifs. Et pour les supporters, c'est toujours la grise mine, avec des airs de déjà vu, au coup de sifflet final.
Samedi à Bamako, ce fut un remake de ces prestations insipides auxquelles étaient habitués les congolais et que l'on croyait définitivement rangées au musée des défaites, tant les différentes paroles entendues ces derniers jours de la part des responsables sportifs à tous les niveaux, suscitaient l'espoir. Mais, une fois de plus, ce furent des paroles, paroles...
En dépit de leurs maillots new-look, mis à disposition par leur nouvel équipementier, rien ne fut nouveau sur le terrain pour les Diables rouges et il fallait arriver tôt au stade, pour voir la première réalisation malienne, dès l'entame du match.
Il a fallu moins d’une minute au milieu de terrain du Red Bull Salzbourg, Mohamed Camara, pour ouvrir le score d’une frappe lourde dans l’axe, suite à un centre du rennais Hamari Traoré.
À une minute du coup d'envoi, le Congo est déjà mené 1 but à 0 et cela dessine le supplice à venir.
Dix minutes plus tard, Bissouma réalise un festival dans la surface congolaise pour offrir un caviar à El-Bilal Touré, qui ne gâche pas l’offrande (2-0, 11ème minute).
Les Congolais prennent de l'eau de partout. Ils sont complètement submergés par des maliens qui déroulent avec une aisance déconcertante, tant l’attaquant de Reims Bilal Touré, pénètre sans peine dans la défense congolaise pour s’offrir un doublé en fusillant le gardien Mafoumbi avancé. Un tir sous la barre, suite à une perte de balle congolaise. Et de 3, alors que l'on ne joue que la 39ème minute.

Les congolais sont sans âme. Ils marchent plus qu'ils ne courent, comme s'ils avaient du plomb dans les jambes. De bon augure pour le malien Bissouma qui juste avant la pause, centre pour la tête plongeante du nantais Kalifa Coulibaly qui loge le ballon dans les filets. 4 à 0, alors qu'il reste une minute de jeu avant le temps additionnel.
En 45 minutes, les Aigles du Mali ont quasiment fait l'essentiel et renvoyé les Diables rouges du Congo à parfaire le niveau footballistique qui leur fait défaut depuis des lustres.
En seconde période, plus rien ne change au marquoir. Les Aigles finissent d'effectuer leurs changements pour faire tourner et reposer les joueurs cadres, alors que les congolais effectuent les leurs pour tenter un baroud, et revenir à la marque, en vain.
4 à 0, un nauffrage pour le Congo qui recevra la Gambie le mercredi 8 juin, pour la seconde journée. Une équipe de Gambie qui a commencé par une victoire certes courte contre le Soudan du Sud, 1-0, mais suffisante pour effectuer le déplacement de Brazzaville avec un brin de confiance, pour affronter des congolais qui devront se surpasser pour offrir une victoire à un public qui commence à trouver le temps long.
Espérons que d'ici là, les nauffragés auront trouvé une planche de salut.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-06-05 10:29:24
La Fédération Congolaise de Football (FECOFOOT) a dévoilé, samedi dernier à Brazzaville, les nouveaux maillots que porteront les Diables Rouges lors des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (CAN), Côte d’Ivoire 2023, et du Championnat d’Afrique des nations d’Algérie (Chan).
Le maillot domicile sera de couleur rouge, le maillot extérieur sera quant à lui blanc, le 3è maillot sera jaune et le 4è sera vert. Les couleurs du drapeau national ressortent assez vivement sur les quatre équipements choisis par l’équipementier.
Pour les gardiens, le choix a été porté sur deux maillots, à savoir le noir et le bleu.
La FECOFOOT a signé un contrat de trois années avec le nouvel équipementier Macron, la firme italienne.
Ces équipements seront portés pour la première fois ce samedi 4 juin lors de la première journée des éliminatoires de la Can 2023 opposant les Aigles du Mali face aux Diables Rouges du Congo, à Bamako, au Mali.
Osons croire que ces nouveaux maillots seront synonymes des victoires.
On rappelle que le Congo a disparu de toutes les tablettes et seuls ses arbitres appelés de ci de là, sur les terrains du continent, renvoient l’image que le football s’y pratique encore.
À propos justement des éliminations congolaises, ce qui choque c’est surtout la manière. Même lors des rencontres livrées à domicile, les équipes congolaises ne payent pas de mine, sans réel « fighting spirit », même quand il s’agit de défendre le drapeau national.
Dire que seuls les supporters y croient vraiment, des supporters hélas désabusés.
Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-06-01 20:27:59
Un progrès spectaculaire qui mérite bien une mise en lumière ! L’information n’a pas fait grand bruit. Pourtant, elle est énorme. La société Royal Services, a fait construire une route en pavés, pour résorber le problème des embouteillages au quartier 7/7 de Dany, dans le troisième arrondissement Tié-Tié. Si une telle opération a connu un franc succès, c’est toute la ville océane qui a salué ce geste dans un quartier pauvre et enclavé de la capitale économique du Congo.

Le linéaire, situé sur l’avenue Caire, s’étend sur 1.50 km. Sa longueur est de 60 mètres sur 6 mètres 30 avec bordures soit 320 mètres carrés de couverture en pavés auto bloquant de 13cm.

La route en pavés a été réalisée par des ingénieurs du Génie Civile de la ville de Pointe-Noire pour un coût global de près de 25 millions de FCFA.

Les travaux ont duré un mois.
L’initiative rentre dans le cadre d’un projet conçu par le PDG de Royal Services, Igor Bikabou, expert comptable congolais qui vit en Afrique du Sud, pour soulager les automobilistes et une bonne frange des habitants du quartier 7/7 de Dany qui éprouvent d’énormes difficultés pour s’émouvoir et permettre aussi la facilité d’accès aux prestations de la société Royal Services spécialisée dans la tôlerie, la mécanique, la peinture, l’assurance et l’auto-école.

«Avec cette belle route, je suis heureux de constater que tout le monde peut désormais vaquer sereinement à ses occupations », s’est réjoui un habitant du quartier 7/7 de Dany.
On rappelle que l'état des infrastructures routières de Pointe-Noire, la capitale économique du Congo, est pitoyable. Les populations de la ville océane tirent la sonnette d'alarme sur l'état de leur voirie, qui se dégrade tous les jours.
Les autorités municipales, pour y remédier, avaient récemment, réhabilité l’essentiel des voiries urbaines en les revêtant de bitume.
Mais, les pluies diluviennes qui s’abattent dans la ville de nuit comme de jour depuis le mois d’octobre ont annihilé cet important travail réalisé par les services municipaux.
Les eaux ayant emporté la totalité du bitume et laissé des crevasses béantes qui empêchent la fluidité de la circulation aussi bien des piétons que des véhicules.
Pointe-Noire peine toujours à satisfaire la population en matière d’aménagement des routes et d’assurer les besoins de mobilité de l’ensemble des citoyens.
Plusieurs quartiers sont dépourvus de voies bitumées, empêchant ainsi la population à circuler librement surtout en période de pluie. Les différentes artères sont parsemées de boues et d’eaux stagnantes. Des lacs artificiels, avec leurs eaux verdâtres ou jaunâtres, se compte par milliers.
Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-06-01 19:55:41
Frédéric Leclerc-Imhoff, journaliste reporter d'images à BFM-TV a été tué lundi en Ukraine en plein reportage, alors qu'il effectuait sa deuxième mission dans le pays. Le droit à l’information reste un combat de chaque instant pour les hommes et les femmes des médias, qui en paient également un lourd tribu.
Frédéric Leclerc-Imhoff, journaliste reporter d'images, a été tué lundi sur la route de Lyssytchansk dans la région de Severodonetsk, en Ukraine.
Il a été victime d'un éclat d'obus au niveau du cou et est vraisemblablement mort instantanément, alors qu'il suivait une opération humanitaire d'évacuation de civils.
Sur Twitter, le président Emmanuel Macron a fait part de sa peine et a dit partager la peine de la famille, des proches et des confrères de Frédéric Leclerc-Imhof. Il a rappelé le soutien inconditionnel de la France à l'égard de l'ensemble des journalistes dans le cadre de l'exercice de leur métier.
La ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna a déploré une journée endeuillée par un drame qui est en réalité un crime.
"C’est une partie de la famille qui ce soir disparaît", a dit avec beaucoup d’émotion Marc-Olivier Fogiel, directeur général de BFM-TV.
Le parquet national antiterroriste a annoncé l'ouverture d'une enquête. Elle a été confiée aux gendarmes de l'Office central de lutte contre les crimes contre l'humanité, les génocides et les crimes de guerre (OCLCH), auprès du parquet de Paris.
Âgé de 32 ans, Frédéric Leclerc-Imhoff travaillait pour la chaîne BFM-TV, depuis six ans. Il était diplômé de l'Institut de Journalisme de Bordeaux Aquitaine.
Frédéric Leclerc est le huitième journaliste tué en Ukraine dans l'exercice de ses fonctions, depuis le début de l'invasion russe.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-05-30 20:50:22
C’est un fait qui n'a pas manqué d'interpeller les téléspectateurs. Le drapeau du Congo était à l’honneur au mythique stade de Wembley grâce à Brice Samba qui s’est rapidement imposé comme le gardien de premier choix et est devenu un favori des fans de Nottingham Forest. Il a impressionné en réalisant des arrêts précieux pour son équipe vainqueur du barrage d'accession à la Premier League en battant Huddersfield (1-0), dimanche à Wembley.

Nottingham Forest et Brice Samba, retrouvent l'élite du football anglais la saison prochaine, après 23 ans d’absence.
Brice Samba, né le 25 avril 1994 à Linzolo (République du Congo), est un footballeur franco-congolais. Il évolue au poste de gardien de but dans le club de Nottingham Forest. Il est le fils de Brice Samba, ancien gardien international congolais.

Depuis son départ de l’OM en 2017, le gardien Brice Samba, passé ensuite par Caen, est actuellement titulaire à Nottingham Forest depuis 2019.
A 27 ans, il est toujours un titulaire indiscutable au sein de son club et fait l’unanimité.
Même si l’expérience marseillaise ne fut pas réussie, Brice Samba a su rebondir et s’imposer en outre-Manche, et pourquoi pas, bientôt en Premier League ?
Edwige KISSINGER / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-05-30 10:52:21
Le mouvement de grève se durcit à la direction générale du budget. Les travailleurs de la direction générale du budget, au Ministère congolais des Finances, n’entendent pas lever leur mouvement tant que les autorités n’accèdent pas à leurs doléances. Ils réclament le paiement des arriérés de primes depuis 2017 et la cessation définitive d’activités par ceux qui ont fait valoir leurs droits à la retraite, mais occupent toujours des postes à responsabilité.
Bureaux hermétiquement fermés, couloirs vides, courriers et autres dossiers bloqués : les activités sont totalement perturbées dans les services relevant de la direction générale du budget au Congo-Brazzaville.
Les travailleurs ne sont pas prêts à reprendre le travail. Les négociations entre les autorités et les grévistes sont au point mort.
«La grève se poursuit parce que l’administration observe un statu quo jusque-là. Etant donné que nos primes s’évaluent à plusieurs millions de FCFA, nous avons proposé à l’administration de faire un geste et puis de procéder à la cessation immédiate (des activités) par les agents retraités. Mais ils ont bafoué et rejeté nos propositions en bloc. Nous maintenons la grève », a déclaré avec un ton ferme, Rommel Embala Guempio, leur délégué syndical.
Cette grève est la deuxième du genre en six mois.
Cette grève est jugée illégale par les autorités car il n’y a pas eu de préavis et les grévistes n’ont présenté aucun cahier des charges.
Jean-Jacques DOUNDA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-05-30 10:04:06
Le Président de la République, Denis Sassou N’Guesso, très conscient et convaincu qu’une Afrique unie dans la paix est la meilleure réponse à tous ses obstacles, notamment économiques et politiques, a été choisi à l’unanimité par la Diaspora africaine en Europe et le Groupe Agir Europe-Afrique pour la distinction honorifique du Grand Prix artisan de la paix et du développement sur les dix chefs d’Etat africains sélectionnés.
Pour cette première édition, les deux organisations de la société civile ont travaillé sur un échantillon de dix chefs d’Etat, dont les pays ont connu des conflits armés.
A l’issue de la finale qui l’a opposé à son homologue de la Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara, le président congolais, Denis Sassou N’Guesso, a été choisi pour trois principales raisons.
Premièrement, ils estiment que Denis Sassou N’Guesso est un homme de paix. Malgré les conflits armés que le Congo a connus ces dernières années, il a su faire assoir la paix véritable à travers tout le pays.
La deuxième raison, le président congolais a réussi à réunir ses compatriotes du nord au sud, et a pu faire assoir le vrai vivre-ensemble.
La dernière raison est liée aux efforts que Denis Sassou N’Guesso a déployés pour le développement tous azimuts de son pays notamment, les grandes infrastructures construites à Brazzaville et à Pointe-Noire (la route nationale n°1, reliant les deux grandes agglomérations du Congo, les routes d’intégration sous-régionale...).
Le Congo, un pays jouissant de stabilité et de paix, contribue efficacement au recouvrement et au renforcement de la paix et de la sécurité dans la sous-région.
Depuis son avènement à la tête du Congo-Brazzaville pour la première fois, en 1979, le président Denis Sassou N’Guesso n'a cessé de jouer un rôle majeur dans la médiation de conflits au sein du continent africain. Son œuvre de réconciliation nationale, à la fin des années 1990, lui a valu la reconnaissance de pacificateur, consulté sur de diverses crises en Afrique.
Le président Sassou N’Guesso a beaucoup œuvré par exemple pour le retour de la paix en Centrafrique. S’il y a eu des élections apaisées en RCA, c’est grâce aux efforts qu’il a déployés en tant que médiateur international dans cette crise.
En septembre 2017, le maréchal Haftar, protagoniste de la crise libyenne, a salué la médiation de Denis Sassou N’Guesso avant de stigmatiser l'intervention des Occidentaux qui, d'après lui, n'interviennent que pour leurs propres intérêts et non ceux de la Libye et de son peuple.
Une victoire de plus pour le président congolais qui se démène, consulte à intervalles réguliers, entame des négociations directes et indirectes avec les hommes-clés du conflit, discute sans discontinuer des conditions d’une solution politique consensuelle à la crise libyenne.
Et si la paix devait l'emporter en Libye, Denis Sassou N’Guesso pourra alors en cueillir les lauriers.
Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-05-29 06:38:45
La ligue des champions 2021-2022 a connu son épilogue ce samedi 28 mai 2022 à l’occasion d'une finale qui a opposé le Real Madrid à Liverpool FC. Dans l'antre du Stade de France à St Denis, les deux meilleures formations de cette 67ème édition de la coupe aux grandes oreilles ont livré une partie de haut niveau à l'issue de laquelle, le Real Madrid, grâce à un but de Vinícius Júnior, à la deuxième période (59ème mn), a battu Liverpool (1-0), pourtant dominant, et remporte sa 14ème Ligue des Champions.

Le Real étoffe ainsi un peu plus son épais palmarès et porte encore plus haut le record du nombre de victoires dans l’épreuve : 1956, 1957, 1958, 1959, 1960, 1966, 1998, 2000, 2002, 2014, 2016, 2017, 2018 et 2022.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-05-28 21:49:33
Le président congolais, Denis Sassou N’Guesso a annoncé vendredi, lors de la Conférence des donateurs en marge des travaux du 16ème sommet extraordinaire de l’Union Africaine (UA) à Malabo en Guinée équatoriale sur le «terrorisme et les changements inconstitutionnels de gouvernement» en Afrique, que « le Congo apporte une contribution de deux millions de dollars » pour faire face aux crises humanitaires en Afrique.
« Face aux crises humanitaires qui secouent le continent, nous avons décidé de prendre notre situation en main. Le moment est venu pour les dirigeants africains de lancer un message clair au reste de la communauté internationale. J’annonce que le Congo apporte une contribution de deux millions de dollars », a déclaré le président Denis Sassou N’Guesso.
Selon l’UA, «les besoins humanitaires augmentent rapidement en Afrique», notamment «à cause des chocs climatiques et des conflits (…) qui ont augmenté de manière exponentielle les besoins humanitaires».
Plus de 30 millions de personnes sont des déplacées internes sur le continent, dont plus de 10 millions d’enfants de moins de quinze ans, selon l’UA. En cause : les conflits intercommunautaires dans certaines régions et l’insécurité alimentaire.
Environ 282 millions sont sous-alimentés, en augmentation de 49 millions par rapport à 2019, selon l’agence des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).
Il s’agit d’un premier «Sommet humanitaire extraordinaire», qui réunit des donateurs pour tenter de mobiliser des fonds, afin de venir en aide «urgente» aux 15 pays africains les plus touchés par les crises, avait précisé l’UA dans un communiqué.
«Environ 113 millions de personnes ont besoin d’aide humanitaire en Afrique dont 48 millions sont des réfugiés, des demandeurs d’asile et des déplacés internes», a détaillé le président de sa Commission, Moussa Faki Mahamat.
Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-05-28 20:06:02
Le Rassemblement pour la démocratie et le développement (RDD/opposition) de Jean-Jacques Serge Yhombi-Opango jette l'éponge aux élections législatives et locales de juillet 2022 et plaide cependant pour l’unité de l’opposition politique en vue de privilégier l’intérêt du peuple.
Le vice-président du RDD a annoncé, lors d’un point de presse jeudi 26 mai, à Brazzaville, des irrégularités constatées lors des opérations préélectorales.
Jean-Jacques Serge Yhombi-Opango a également jugé « élevée » la caution de 1,5 million de francs CFA pour les candidats aux législatives et de 500 000 francs CFA pour les candidats aux élections locales.
La date des prochaines élections est fixée au 10 juillet 2022.
Jean-Jacques DOUNDA / Les Echos du Congo-Brazzaville
Créé le 2022-05-28 11:53:18