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RDC - Dialogue : Les évêques catholiques insistent sur le respect du cadre constitutionnel

La Conférence épiscopale nationale du Congo (Cénco) a réitéré, le 6 septembre, son appel pour «un dialogue inclusif», qui respecte les dispositions de la Constitution congolaise.

Après un mutisme longtemps observé par rapport à l’évolution de la situation politique du pays, la Cénco vient à nouveau de monter au créneau via un communiqué publié mardi.

Il en ressort que le Clergé catholique ne pourra participer au dialogue ouvert le 1er septembre et qui se tient à la Cité de l’Union africaine que sous certaines conditions.

Les évêques catholiques, membres de la Cénco, ont réitéré leur appel à ''l‘inclusivité'' du dialogue qui devra, selon eux, s’en tenir au respect strict des dispositions de la Constitution. Dans l’entendement de la Cénco, les travaux du dialogue devront se négocier dans le cadre constitutionnel sans biaiser les articles verrouillés ayant trait au mandat présidentiel et l’alternance démocratique au pouvoir.

La Cénco milite donc pour « un dialogue national franc et sincère, susceptible de résoudre la crise actuelle que connaît le pays ».

Pour les évêques catholiques, seul « un dialogue incluant les grandes familles politiques de l’opposition donnerait plus de chance au pays d’aboutir à la résolution de la crise actuelle de manière consensuelle et durable ». 

Ce n’est qu’au prix du respect de ces revendications, ou mieux du respect de ces exigences fondamentales que la Cénco pourra maintenir sa participation au dialogue, peut-on lire dans le communiqué.

Évoquant les dernières mesures de décrispation prises par le gouvernement notamment avec la libération des prisonniers politiques et d’opinion, la Cénco a, tout en saluant ces gestes encourageants, exhorte le gouvernement à étendre ces mesures de grâce à « d’autres personnes se trouvant dans les mêmes conditions ».

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2016-09-07 06:56:43

Gabon - Élections: Les observateurs de l'Union Européenne notent d'évidentes anomalies dans les résultats

L'analyse des résultats définitifs de l'élection présidentielle au Gabon révèle "une évidente anomalie", a annoncé mardi la mission d'observation électorale de l'Union européenne.

"Une analyse portant sur le nombre de non-votants et des bulletins blancs et nuls révèle une évidente anomalie dans les résultats finaux du Haut-Ogooué", qui a officiellement enregistré un taux de participation de 99,93% et a permis au président sortant Ali Bongo d'être réélu d'une courte tête, a indiqué l'observatrice en chef de l'UE, Mariya Gabriel.

Les observateurs "ont été autorisés à assister aux annonces publiques des résultats provinciaux dans sept des neuf provinces", explique la mission européenne. "Les résultats n'ont pas été annoncés publiquement" dans celle du Haut-Ogooué, fief ethnique du président Bongo où il a obtenu plus de 95% des suffrages, "privant ainsi les parties prenantes de la transparence requise par la loi", ajoute Mariya Gabriel.

"L'intégrité des résultats provisoires dans cette province est remise en cause" alors que "le taux de participation de 99,93% dans le Haut-Ogooué est nettement supérieur à ceux enregistrés dans les autres provinces, estimés en moyenne à 48%".

En outre, "l'abstention observée dans une des quinze commissions électorales locales (du Haut-Ogooué) est à elle seule supérieure à l'abstention déclarée" par la Commission électorale nationale (Cénap) pour l'ensemble de cette province, affirme la responsable.

Mariya Gabriel réitère son appel aux autorités gabonaises "à publier les résultats bureau de vote par bureau de vote dans l'ensemble du pays, afin de faciliter un possible recours (devant la Cour constitutionnelle, ndlr) qui reste la voie pour résoudre, dans le respect de la loi, la crise de confiance dans les résultats".

Le score obtenu dans le Haut-Ogooué a permis au président Ali Bongo de remporter la victoire avec 49,80% sur l'ensemble des neuf provinces, contre 48,23% pour son rival Jean Ping, selon les résultats provisoires annoncés le 31 août par le ministre de l'Intérieur gabonais. Cela représente 5.594 voix d'avance sur quelque 628.000 inscrits.

Pour Ali Bongo, les conclusions des observateurs de l'Union Européenne sont biaisées.

Arrielle KAMBISSY

Créé le 2016-09-07 06:49:32

Gabon – Crise post-électorale : Ali Bongo sous pression pour recompter les voix

Le Premier ministre français, Manuel Valls, est favorable à un nouveau décompte des résultats au Gabon, après la proclamation et les troubles post-électoraux au Gabon.

Face à la situation de crise post- électorale au Gabon, le Premier ministre français, Manuel Valls, a suggéré au président Ali Bongo, un nouveau « décompte » des voix que la « sagesse commanderait », rejoignant ainsi la proposition de l’Union européenne, des Nations unies, des États-Unis et du Canada. Manuel Valls appelle à « un processus électoral clair.

Les observateurs européens sur place ont émis des critiques sur la base de faits objectifs. La sagesse commanderait de faire un nouveau décompte des résultats », a proposé Manuel Valls.

Le premier ministre français a souligné que pour l’heure, la priorité de la France revient à la sécurité de  ses 15 000 compatriotes vivant au Gabon. Il a par ailleurs demandé aux autorités gabonaises que « tout soit fait » pour retrouver « une quinzaine de ressortissants français, dont Paris est sans nouvelles ».  

Du côté de l’opposition gabonaise, Jean Ping tranche que l’apaisement ne peut survenir que « si la vérité des urnes est rétablie et respectée sur la base du comptage des voix bureau de vote par bureau de vote ».

Une hypothèse exclue par le gouvernement gabonais, qui rappelle que cela n’est pas prévu par la loi électorale. Le directeur de la communication de Jean Ping, Jean-Gaspard Ntoutoume Ayi, n’est pas de cet avis. Il parle plutôt de « silence juridique », assurant que cela est possible « sans violer la loi ».

Jean Ping demande aussi la reprise des travaux de la Commission électorale, la Cénap, en vue de l’examen des procès-verbaux du Haut-Ogooué où Ali Bongo a gagné avec plus de 90% de voix.

En revanche, l’opposition exclut tout recours devant la Cour constitutionnelle,  qui  ferait « preuve de partialité », selon elle. Ces différents arguments maintiennent le statu quo.

À Paris, un millier de Gabonais ont défilé  pour réclamer  la « reconnaissance de l’élection démocratique » de Jean Ping. Jean-Luc Mélenchon, de la gauche radicale, faisait partie des manifestants.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2016-09-07 06:40:24

Congo – Australie : Pseudo affaire Sundance Resources, Denis Christel Sassou Nguesso brise le silence

Cité par la presse australienne et le quotidien français Le Monde au sujet d’une enquête sur les activités au Congo-Brazzaville du groupe minier Sundance Resources puis évoqué dans un article de Jeune Afrique publié le 25 août dernier, Denis Christel Sassou Nguesso est enfin sorti du silence à travers le droit de réponse dont voici un extrait.

'' Vous évoquez la présence de documents internes qui prouveraient une attribution de parts en échange de la délivrance d’un permis d’exploitation minière pour le compte d’une entreprise australienne. Ceci est une pure affabulation, lorsqu’on sait que les statuts de ladite société existent et sont vérifiables, chacun peut les consulter et y reconnaître les vrais actionnaires ; vous n’y trouverez nulle part mon nom.

La copie authentique du procès-verbal de l’assemblée générale constitutive d’octobre 2008 relatant les faits, les associés présents et souscripteurs initiaux, est en totale contradiction avec ce que rapporte l’auteur de l’article insidieux.

Selon le procès-verbal officiel, le capital social s’élève à 10.000.000 CFA et les 1000 actions de sa souscription furent réparties entre cinq (5) associés présents, et encore en vie.

Le procès-verbal de l’assemblée constitutive est public et accessible à tous. Cette affaire qui se trouve en instruction au Tribunal de Perth, en Australie concerne ces deux entités, et ne m’implique en rien.

Je reste étranger aux activités, aux difficultés financières de l’entreprise Sundance Ressources, et je ne suis pas associé ou actionnaire de Congo Iron.''

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2016-09-07 06:27:52

Côte d'Ivoire : Les ''héros de Rio'' récompensés

Cérémonie de décoration et de remerciement pour les athlètes, encadreurs et soignants ivoiriens aux jeux olympiques de Rio, sous le patronage du président Alassane Ouattara.

Les Taekwondoïstes Cheick Cissé, médaillé d'or à Rio et Ruth Gbagbi, médaillée de bronze, ont reçu des primes et une maison de la part de la présidence ivoirienne pour leurs exploits aux jeux Olympiques de Rio, alors que les sprinteurs Marie-Josée Ta Lou (4e du 100 et du 200 m) et Ben Meité (6e du 100m) ont également été récompensés.

Les quatre ont été également faits officiers de l'Ordre national.

Cheick Cissé, premier médaillé d'or ivoirien de l'histoire, a reçu une somme de 50 millions de francs CFA (75.000 euros) et une villa, alors que Ruth Gbagbi, première femme ivoirienne médaillée de l'histoire, a reçu 30 millions (45.000 euros) et une villa.

Le président Alassane Ouattara, qui s'est dit ému par les deux 4e places de Mary-Josée Ta Lou lui a accordé 20 millions de francs CFA (30.000 euros) alors que Ben Meité a été récompensé de 10 millions (15.000 euros).

En tout, la présidence a accordé 380 millions de francs CFA (580.000 euros) aux 12 athlètes présents à Rio ainsi qu'à leur encadrement. Plusieurs membres des staffs (entraîneurs, kiné et officiels) ont aussi été décorés.

Avant les Jeux de Rio, la Côte d'Ivoire n'avait obtenu qu'une seule médaille en 1984 aux Jeux de Los Angeles lorsque Gabriel Tiacoh avait obtenu l'argent sur 400 m.

Lors de la cérémonie à la présidence, les athlètes et les fédérations ont plaidé pour plus de soutien.

Le président Ouattara a souligné avoir entendu "les doléances formulées" sur les conditions de vie des athlètes et dit attendre des "propositions du gouvernement" dans ce sens.

Avec ces médailles en taekwondo et les performances en athlétisme, "la Côte d'Ivoire est sur la carte du monde dans tous les domaines", a-t-il estimé.

Benoît BIKINDOU

Créé le 2016-09-06 06:55:31

Congo – Musique : « Oyo ekoya eya », le maxi single de Roga-Roga

Le maxi single de Roga-Roga « Oyo ekoya eya » a été présenté le week-end dernier au Radisson Blu M’Bamou palace hôtel, au cours d’un concert haut de gamme.

Composé de cinq titres, ce maxi single ne cesse de faire des émules.   

Plusieurs mois après sa sortie, il a été présenté devant des milliers de mélomanes en concert VIP et grand public. Une occasion pour le patron du groupe Extra musica Roga-Roga et ses poulains de montrer le talent et l’ingéniosité qui ont accompagné la réalisation de cet opus.

Le public a savouré l’animation des talentueux artistes comme ''États-Unis d’Amérique'' et ''Zaparo de guerre''. Une manière pour le président d’Extra musica, Roga-Roga, de montrer aux mélomanes ce que valent ces deux animateurs, derniers recrutements opérés.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2016-09-06 06:46:23

Gabon – Crise post-éléctorale : Séraphin Moundounga rend le tablier

Le ministre de la justice gabonais a démissionné du gouvernement et du parti au pouvoir, le Pdg pour dit-il, bénéficier de sa "totale liberté".

"Ayant constaté que, du côté du pouvoir, on n'apportait pas de réponse à la préoccupation de la nécessaire garantie de la paix et du nécessaire affermissement de la démocratie, j'ai pris la décision de prendre congé, d'une part, du Parti démocratique gabonais, et de me décharger de mes fonctions de membre du gouvernement pour que grâce à ces deux actes majeurs que je pose, je puisse bénéficier de ma totale liberté." a annoncé Séraphin Moundounga, originaire de la province de la Nyanga.

Séraphin Moundounga jusque-là 2e vice Premier ministre, ministre de la Justice et des Droits humains, Garde des Sceaux avait, le 30 août dernier, appelé Ali Bongo à reconnaître le verdict des urnes.

Alors que le camp du candidat malheureux Jean Ping est invité par la communauté internationale à respecter la loi pour contester sa défaite, Séraphin Moundounga avait rappelé que la loi organique de la Cour constitutionnelle, permet au ministre de la Justice de faire annuler une élection, «si les résultats annoncés n’étaient pas conformes à la réalité». 

Benoît BIKINDOU

Créé le 2016-09-06 06:34:01

Congo – Action sociale : Le projet ''Lisungi'' s'étend à Pointe-Noire

Antoinette  Dinga Dzondo, ministre des Affaires sociales, de l’Action humanitaire et de la Solidarité a procédé au lancement du processus de ciblage des bénéficiaires des ménages éligibles au projet Lisungi dans l’arrondissement 4 Loandjili de Pointe-Noire

Après la phase pilote du projet lancée dans certaines localités du Congo, l’arrondissement 4 Loandjili a été choisie pour abriter la première zone d’extension du projet Lisungi avec trois nouvelles localités, à savoir Mfilou, Madibou, Djiri pour Brazzaville.

Cette phase d’extension a bénéficié de l’appui financier de l’Agence française de développement.

2717 ménages seront enregistrés dans le registre social unifié et 476 personnes âgées pour le compte de Loandjili dont 1087 ménages et 170 personnes âgées bénéficieront des transferts monétaires.

« Le programme Lisungi qui fait partie du Plan national d’action sociale (PNAS) vise à mettre en place les piliers essentiels d’un programme national de filets sociaux et un programme pilote de transferts monétaires pour améliorer l’accès aux services de santé et d’éducation des enfants des ménages les plus pauvres dans les départements participants.

Les potentiels bénéficiaires du projet seront identifiés par un comité local et seront enregistrés dans le système d’information qui alimentera le registre social du système de filets sociaux. Ensuite, les administrateurs du programme évalueront les caractéristiques socio-économiques des ménages enregistrés pour préparer la liste des bénéficiaires des transferts monétaires ». 

Pour la ministre Antoinette Dinga Dzondo, «Du bon ciblage des bénéficiaires dépendra la réussite dudit projet ».  

Arrielle KAMBISSY

Créé le 2016-09-06 06:26:28

Présidence de la République: Le chef de l’État réorganise son cabinet

Un décret du président Denis Sassou N'Guesso, publié, le 20 août dernier et rendu public, organise et définit les attributions du cabinet présidentiel.

Dans l’article premier de ce texte qui en comporte quarante-six au total, on note que : « Le cabinet du président de la République est un organe de conception, d’études, d’analyses, de supervision et d’impulsion de la vie de l’État et de la Nation dans les domaines politique, économique, social et culturel, conformément aux prérogatives constitutionnelles du chef de l’État ».

Si le directeur du cabinet du président de la République garde le titre de ministre d’État, le nouveau décret apporte des innovations dans l’ossature de celui-ci, avec notamment la disparition de la Maison militaire au profit de l’État-major particulier du président de la République.

Autres innovations, l’apparition des fonctions de ministres chargés de mission, des assistants principaux, de cellules permanentes.

On note aussi l'apparition du poste de Porte-parole de la présidence de la République, chargé de : " répondre aux médias en lieu et place du président de la République, sur des questions bien circonscrites, à l'intention de l'opinion nationale et internationale", ou encore de: "rendre compte des activités du président de la République et de son cabinet".

Sont reconduites, les fonctions habituelles comme le secrétariat général de la présidence de la République, le secrétariat général du gouvernement, le secrétariat général du Conseil national de sécurité, l’inspection générale d’État et aussi les conseillers spéciaux.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2016-09-06 06:13:48

France – Affaire Bygmalion: Le parquet demande le renvoi des mis en examen, dont Nicolas Sarkozy

Dans l'affaire dite Bygmalion, le parquet de Paris requiert le renvoi en correctionnelle des mis en examen. Parmi eux, Nicolas Sarkozy, pour le financement illégal de sa campagne en 2012.

"Le parquet demande le renvoi de tous les mis en examen" qui sont au nombre de quatorze dans cette affaire.

Dans ce dossier, plus connu comme l'affaire Bygmalion, Nicolas Sarkozy a été mis en examen en février pour financement illégal de sa campagne présidentielle de 2012.

Le juge lui reproche d'avoir engagé des dépenses supplémentaires alors qu'il ne pouvait ignorer que le plafond légal allait être dépassé, ce qu'il conteste.

L'enquête n'a pas démontré qu'il connaissait le système de fausses factures destiné à masquer ce dépassement, pour lequel treize autres personnes sont mises en examen.

L'instruction est close depuis le 6 juin et le parquet de Paris devait en théorie prendre ses réquisitions après un délai de trois mois, c'est désormais chose faite.

Il appartient maintenant aux juges d'instruction de suivre ou non ces réquisitions.

Benoît BIKINDOU

Créé le 2016-09-05 09:10:21

Nice : Elle invente un viol pour cacher son adultère

Une femme, âgée de 35 ans, s'était rendue en août dernier dans un commissariat de Nice, dans les Alpes-Maritimes, et avait porté plainte pour viol. 

Elle avait expliqué qu'elle avait été abusée sexuellement lors d'un entretien d'embauche. 

Les forces de l'ordre ont enquêté durant quinze jours. Finalement, la trentenaire a révélé que tout était faux.  

Elle ne savait pas comment justifier devant son compagnon une aventure sexuelle avec le recruteur. 

La jeune femme a été placée en garde à vue vendredi pour "dénonciation de crime imaginaire" et a été déférée au parquet. 

Arielle KAMBISSY

Créé le 2016-09-05 08:22:46

RDC – Préservation de la faune : Les grands gorilles menacés d'extinction

Les grands primates se trouveraient à "un pas de la disparition". Selon l'Union internationale pour la conservation de la nature, il ne reste plus que 5.000 gorilles de l'Est.

Ce majestueux primate fait désormais partie de la triste catégorie des espèces en "danger critique".

Les ''gorilla beringei'', appelés aussi les gorilles de l'Est ne sont plus que 5.000 dans les forêts orientales de la République démocratique du Congo, entre la rivière Lualaba et la frontière avec le Burundi, le Rwanda et l'Ouganda.

Pouvant atteindre 1,83 m pour un poids de 225 kg, ce gorille est le plus grand primate actuel.

Les raisons de son déclin rapide sont la guerre et le braconnage, ainsi que la perte d'une partie de son habitat. Sa population a été réduite de plus de 70% en vingt ans. Mais il n'y a pas que cette espèce de gorilles qui risque de disparaître dans les prochaines années.

Trois autres types de grands singes sont désormais classés "en danger critique" d'extinction dans la liste rouge : le gorille de l'Ouest, l'orang-outan de Bornéo et l'orang-outan de Sumatra.

Les chimpanzés et les bonobos sont eux classés "en danger" et également menacés de disparition.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2016-09-05 07:46:48

Congo – Culture : Kouka Célio ''repose de l'autre coté de la prairie''

Décédé le 20 août dernier, au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Brazzaville, l’artiste-musicien Kouka Célestin Alias « Ya Célio » a été inhumé le samedi 3 septembre au cimetière « Ma Campagne » de Brazzaville.

Après la levée de corps à la morgue du CHU, la dépouille de l'artiste a été exposée au Palais des congrès où s’est déroulée la cérémonie funéraire.

Cette cérémonie d'hommage  a connu la participation du ministre d’État Henri Djombo représentant le Premier ministre, chef du gouvernement, des membres du gouvernement, de Simone Loubienga, administrateur-maire de Bacongo, arrondissement de résidence de Célio, de Cyrille Mbuwa Moungele, représentant du ministre de la Culture de la RD Congo et d’une délégation de musiciens kinois, conduite par Verkys Kiamuangana Mateta.

Prononçant l’oraison funèbre, le ministre de la Culture, Léonidas Motton Mamoni, a décrit combien le talent de l’illustre disparu a traversé une belle parenthèse de l’histoire musicale du Congo à travers les époques et sa musique, les générations.

« C’est sans doute au nom de cette traversée générationnelle, en naviguant sur les souvenirs, récits et témoignages que je parlerais de Célestin Kouka », a-t-il confié.

Pour Dieudonné Loussakou, au nom de l’orchestre Bantou, Célio aurait encore pu continuer parmi ses mélomanes, si et seulement les moyens avaient été mis pour se préoccuper de sa santé. De son vivant, Célio a toujours donné le meilleur de lui-même, a-t-il souligné.

C’est à juste titre que les honneurs de la République lui ont été rendus jusqu’à l’élever au rang de commandeur dans  l’ordre du mérite congolais, a conclu le représentant de l’orchestre Bantou de la Capitale.

Après les allocutions, Henri Djombo a décoré, à titre posthume, le compositeur des célèbres chansons « Rosalie Diop » et « Kouka ba dia Ntseke ».

« Adieu l’Artiste, bon repos de l’autre côté de la prairie », tels sont les derniers mots de Léonidas Motton Mamoni, avant d’aller à la cérémonie religieuse en la paroisse  Notre Dame de Rosaire à Bacongo et ensuite au cimetière Ma Campagne pour l'inhumation.

Arrielle KAMBISSY

Créé le 2016-09-05 06:57:45

Gabon – Violences post-électorales : L’église exorcise les ''démons''

Suite aux violences qui secouent le pays depuis l'annonce des résultats de la présidentielle, l'archevêque de Libreville, Mgr Basile Mvé Engone, a appelé samedi la majorité et l'opposition gabonaises "à se ressaisir pour une sortie imminente de crise".

"Nous appelons toutes les forces vives de la nation, de la majorité comme de l'opposition, à se ressaisir pour une sortie imminente de crise", a déclaré Mgr Mvé Engone dans une déclaration à la presse à la cathédrale Sainte-Marie.

"Face aux positions antagonistes" des deux camps, "il est indispensable de faire intervenir un tiers pour la médiation", a estimé Mgr Mvé Engone. Il a appelé les organisations et institutions internationales "à jouer pleinement leur rôle" pour préserver la paix, remerciant l'Union européenne (UE) et l'Union africaine (UA) pour leur "forte implication" dans le processus électoral.

Les violences post-électorales ont fait au moins sept morts dont un policier et plusieurs blessés par balles.

"Nous enregistrons des pertes en vies humaines, des blessés graves, des destructions de biens publics et privés, des traumatismes de toutes sortes. Il n'est pas possible que nous restions insensibles et silencieux devant une telle situation", a-t-il ajouté.

Selon l'archevêque, "la situation post-électorale actuelle plonge une fois de plus le Gabon dans une crise aiguë et multiforme. Cette crise a un impact négatif immédiat sur la société, ses manifestations sont désastreuses, créant un malaise généralisé".

"Le manque de vérité dans le jeu démocratique et le non-respect des droits de l'Homme ont souvent servi de terreau aux crises politiques", a-t-il poursuivi avant de citer le pape Benoit XVI: "le non-respect de la Constitution nationale, de la loi ou du verdict des urnes là où les élections ont été libres, équitables et transparentes, manifesterait une défaillance grave dans la gouvernance et signifierait un manque de compétence dans la gestion de la chose publique".

Les résultats officiels provisoires annoncés mercredi par le ministre de l'Intérieur gabonais donnent Ali Bongo vainqueur avec des scores très serrés et aussitôt contestés par son principal rival Jean Ping.

Benoît BIKINDOU

Créé le 2016-09-05 06:39:30

Congo – RDC : Mission de bons offices pour Denis Sassou Nguesso à Kinshasa

Le président Denis Sassou Nguesso, a effectué vendredi une mission de bons offices à Kinshasa en vue de favoriser le dialogue politique voulu par son homologue de la République démocratique du Congo, Joseph Kabila.

Par hélicoptère, Denis Sassou Nguesso a traversé le fleuve Congo, qui sépare Brazzaville et Kinshasa, pour discuter avec Joseph Kabila et plusieurs dirigeants de l'opposition réfractaires au "dialogue national" en vue d'"élections apaisées" qui s'est ouvert jeudi à Kinshasa sous les auspices de l'Union africaine (UA).

Outre les entretiens avec son homologue, le président du Congo Brazzaville a notamment rencontré l'opposant historique Étienne Tshisekedi autour duquel s'est formé en juin un "Rassemblement" qui conditionne sa participation au forum à la libération d'opposants politiques et à l'arrêt des poursuites judiciaires contre Moïse Katumbi.

Alors que la tenue de cette élection apparaît impossible dans les temps, le "dialogue national" est censé permettre à la RDC de sortir de la crise politique qui la ronge.

La communauté internationale appelle à ce que ces assises soient "inclusives" afin de permettre un consensus large sur les options qui seront retenues, alors que le président Kabila, au pouvoir depuis 2001, n'a pas le droit de se représenter mais ne donne aucun signe de vouloir quitter le pouvoir à la fin de son mandat, le 20 décembre.

L’aile de l’opposition qui est sous la coupe d’Etienne Tshisekedi a déclaré à l’issue de la rencontre avec le président Denis Sassou Nguesso, son refus de participer au dialogue conduit par Edem Kodjo, le facilitateur désigné par l’Union africaine.

"Nous avons réitéré ce que nous avons déjà dit : nous ne participeront pas au dialogue convoqué par Edem Kodjo…" a indiqué Martin Fayulu, membre de la délégation d’opposants qui a accompagné Etienne Tshisekedi à cette rencontre.

" Nous avons remis un mémo au président Sassou. Il n'y a pas de concession. Nous voulons un dialogue selon la résolution 2277 du Conseil de sécurité des Nations unies", a précisé Martin Fayulu appuyé par Félix Tshisekedi, un des responsables de l’Udps.

Le président Sassou Nguesso s'est déjà impliqué fortement au cours des derniers mois pour la réussite du dialogue national en RDC.

Edem Kodjo, le facilitateur, avait suspendu les travaux du dialogue démarrés la veille et sollicité la médiation du président Sassou, des chefs religieux et d’autres opposants pour tenter de convaincre l’aile de l’opposition qui boycotte ces assises.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2016-09-05 06:18:28

Congo : Des éléphants dévastent les plantations à Bambama

Les paysans du district de Bambama dans le département de la Lékoumou exigent du gouvernement la réparation du préjudice causé par des éléphants, espèces animalières protégées, suite à la dévastation de leurs plantations.

Créé le 2016-09-03 09:41:24

Des hommes d’affaires namibiens vont investir au Congo

L’ambassadeur de la Namibie au Congo, Vilio Hifindaka, a annoncé au ministre congolais en charge de l’Agriculture, de l’élevage et de la pêche, Henri Djombo, que vingt hommes d’affaires namibiens sont prêts à développer les activités économiques au Congo dans les domaines de l’agriculture et de la pêche.

Créé le 2016-09-03 09:05:55

France : François Hollande demande la transparence sur les résultats du scrutin au Gabon

Pour que la situation s’apaise au Gabon, le président français, François Hollande a demandé la transparence sur les résultats du scrutin, car il y a un doute sur leur sincérité, a estimé le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault.

Créé le 2016-09-03 08:33:08

Gabon : Ali Bongo négociait son départ dimanche, selon Robert Bourgi

Selon l’avocat français, un des rouages essentiels de la Françafrique, le président gabonais, Ali Bongo Ondimba cherchait une porte de sortie dimanche, parce qu’il sait qu’il avait perdu la présidentielle de la veille.

Créé le 2016-09-02 13:34:35

France : l’un des fils du président Sassou se fait dérober des montres de luxe

Tedi Sassou Nguesso, l’un des fils du président de la république du Congo, a été victime d’un vol, à son domicile de Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), mercredi. Le butin serait estimé à près de 63 000 euros.

Créé le 2016-09-02 08:48:53

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