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Congo : D’importantes mines d’or qui aiguisent les convoitises étrangères

Le Congo, le nouvel eldorado des chercheurs d’or ? On n'avait pas vu ça depuis plus de vingt ans. Une nouvelle ruée vers l'or. Un permis de recherche du précieux métal jaune à Mayéyé dans le département de la Lékoumou (sud) a été accordé par le gouvernement congolais la semaine dernière à la société Zhengwei technique Congo.

Créé le 2017-03-27 08:26:29

Afrique - Économie : Serait-ce bientôt la fin du Franc CFA ?

Le franc CFA, autrefois «franc des Colonies françaises d’Afrique », devenu aujourd’hui «franc de la Communauté financière africaine», est utilisé par 155 millions d'habitants repartis sur 15 pays. Plus de cinquante ans après les indépendances desdits pays, le Franc CFA ne fait plus l'unanimité auprès des économistes africains partagés quant à son efficacité pour le développement des pays qui l'ont comme monnaie.

Lors de la visite de son homologue ivoirien Alassane Ouattara en France le 15 mars dernier, le président François Hollande s'est dit «ouvert à toutes les propositions » concernant l'avenir du franc CFA.

Les partisans du franc CFA soulignent que le taux de change fixe lié à l’euro, ainsi que la garantie de la France, confèrent aux économies de la zone CFA une stabilité profitable. C’est par exemple l’avis de Lionel Zinsou: « Le franc CFA est une monnaie d’intégration » estime-t-il, jugeant cet atout « très important pour développer des grands marchés intérieurs ».

Les détracteurs de la monnaie franco-africaine dénoncent le coût exorbitant de cette tutelle qui exige un dépôt de garantie en France correspondant à 50% des réserves de change des 15 pays CFA. Ils déplorent également le fait que des pays africains soient contraints d’adopter la politique monétaire de l’euro, qui n’est pas toujours conforme à leurs intérêts.

À ce titre, le chef de l’État tchadien, Idriss Déby, déclarait pour les 55 ans de l’indépendance de son pays : « Cette monnaie, elle est africaine. Il faut maintenant que, réellement, dans les faits, cette monnaie soit la nôtre. (…) Il y a des clauses qui sont dépassées. Il faudra les revoir dans l’intérêt de l’Afrique et dans l’intérêt aussi de la France. Ces clauses tirent l’économie de l’Afrique vers le bas. ».

Le président français François Hollande s'est donc dit «ouvert à toutes les propositions» que les 15 pays africains qui ont en partage le franc CFA, pourraient formuler au sujet de cette monnaie créée en 1945, lors de leur prochaine réunion prévue le 14 avril.

Le ministre français de l’Économie, Michel Sapin, participera à cette réunion qui se tient deux fois par an, alternativement, en France et dans l’un des pays membres de la zone franc.

La zone Franc comprend 14 pays d'Afrique subsaharienne (Bénin, Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Guinée Bissau, Mali, Niger, Sénégal, Togo, Cameroun, Congo, Gabon, Guinée Équatoriale, Centrafrique et Tchad). Le quinzième membre est l'archipel des Comores.

Le franc CFA a une parité fixe avec l’euro et les pays de la zone franc ont l’obligation de déposer 50 % de leurs réserves de change auprès du Trésor public français. Ces pays disposaient en conséquence de quelque 14 milliards d’euros auprès du Trésor français en 2015.

Cet arrimage du franc CFA à l’euro était une garantie de stabilité monétaire dans la zone franc. Mais le système est aussi accusé par certains économistes de freiner le développement de l'Afrique.

En effet, les échanges intercommunautaires sont toujours faibles et la compétitivité est basse à cause de l'arrimage, pensent les opposants à ce système. Par ailleurs, les pays de la zone franc ne peuvent pas utiliser les 14 milliards d’euros confiés au titre de dépôt au Trésor public français, pour financer leur développement.

Benoît BIKINDOU/Source Ecofin

Créé le 2017-03-27 07:57:27

Sénégal : Macky Sall a failli être lynché par ses opposants à Paris

Ils l'avaient dit, ils l'ont fait. Quelques irréductibles opposants sénégalais à Paris se sont soudain invités à une réunion à la résidence de l'Ambassade du Sénégal à Paris entre le président sénégalais Macky Sall et ses partisans venus de plusieurs pays européens.

Créé le 2017-03-25 08:46:55

Brazzaville, 8ème ville où il fait bon vivre en Afrique

Le cabinet de conseil américain Mercer a dévoilé son classement annuel des villes qui offrent la meilleure qualité de vie dans le monde.

Créé le 2017-03-25 08:14:34

Gabon : Des ministres gabonais coincés dans un hôtel parisien par des partisans de Jean Ping

Jamais un voyage officiel des membres du gouvernement gabonais n’a été autant perturbé loin des frontières nationales. Des manifestants proches de l’opposant Jean Ping se sont postés devant l’hôtel Raphaël à Paris où des ministres gabonais en visite de travail dans la capitale française ont pris leurs quartiers pour réclamer justice pour les personnes tuées lors des violences postélectorales d’août et septembre 2016.

Créé le 2017-03-25 08:03:33

Congo – Évocation : 25 mars 1977-25 mars 2017, Alphonse Massamba Debat, 40 ans déjà !

Le 25 mars 1977 au matin, dans un communiqué, les congolais apprenaient par la voix gutturale du porte-parole du Comité Militaire du Parti, l'exécution du président Alphonse Massamba Débat, « passé par les armes au petit matin » après sa condamnation expéditive par la cour martiale siégeant sur l'assassinat du président Marien Ngouabi.

Pourtant réhabilité par la conférence nationale, des trois illustres personnalités congolaises qui trouvèrent la mort en mars 1977, le président Alphonse Massamba Débat semble l'oublié de l'histoire.

Rarement une commémoration est organisée en sa mémoire, si ce n'est la débaptisation du Stade de la Révolution en Stade Alphonse Massamba Débat par le président Pascal Lissouba en 1993.

Dans ce stade où la stèle à l'entrée aurait pu être à l’effigie de celui dont il porte le nom, le président Massamba Debat lançait le 18 juillet 1965, les premiers jeux africains, haut moment de consolidation de l’unité africaine et d’affirmation des valeurs morales et sportives, dans l'enthousiasme populaire né de la jeune révolution congolaise :

« Le flambeau du sport africain ne s’éteindra pas. Bien au contraire, aujourd’hui, sa flamme est à la dimension de notre continent. C’est un grand privilège pour Brazzaville que d’avoir à le brandir à ce moment historique où l’Afrique tout entière qui à maintes occasions a renié son entité, va enfin l’affirmer, le célébrer.

Premiers Jeux africains ! Premiers Jeux d’une Afrique unie, libre, d’une Afrique qui dit-on danse. Mais la danse africaine est faite de transes, de foulées de bonds, d’acrobaties, de tout. L’Afrique dans sa vie de chaque jour ressemble à un immense champ olympique. Il lui manquait de rentrer en compétition avec elle-même pour se mesurer et se surpasser.

Oui, à Brazzaville, le fruit de cette saine compétition, de cette émulation des peuples amis et frères, forcera à coup sûr le monde entier à mettre l’Afrique sur le piédestal. Ses fils l’ont juré. Les lucioles luiront dans la nuit en guise de feux d’artifice et les tams-tams crépiteront partout pour fêter cette victoire».

Alphonse Massamba Débat est membre du PPC de Jean-Félix Tchicaya avant d'adhérer en 1956 à l'Union Démocratique de Défense des Intérêts Africains (UDDIA), le parti nouvellement créé par l'abbé Fulbert Youlou. En mai 1963, Massamba-Débat quitte le gouvernement à la suite de divergences de plus en plus prononcées avec le président Fulbert Youlou.

Le 15 août 1963, les chefs militaires Mountsaka et Mouzabakani appellent Alphonse Massamba-Débat au pouvoir. Il devient chef du gouvernement provisoire et constitue un cabinet réduit constitué de techniciens (Antoine Maboungou-Mbiba, Germain Bicoumat, Bernard Galiba, Pascal Lissouba, Paul Kaya, Charles David Ganao, Edouard Ebouka-Babakas et Jules Kounkound).

Le 19 décembre, il est candidat unique à l'élection présidentielle. Il est élu à 100 % des suffrages exprimés.

Le 24 décembre 1963, il publie son gouvernement, au sein duquel Pascal Lissouba devient Premier ministre.

En août 1964, le Mouvement National de la Révolution (MNR) est créé et institué parti unique. Massamba-Débat en est le secrétaire général et Ambroise Noumazalaye le Premier secrétaire politique.

L'idéologie du régime est de gauche et le Congo se rapproche des pays socialistes, notamment Cuba et la Chine, tout en s'éloignant des pays capitalistes. Les relations diplomatiques sont rompues avec les États-Unis. Les rapports se tendent avec le Congo démocratique voisin.

Sur le plan économique et social Massamba-Débat mène une gestion saine et rigoureuse. Sous sa présidence le Congo connaît un début d'industrialisation et le niveau de vie des Congolais s'améliore. Quelques grandes unités de productions à grande main d'œuvre sont construites : l'usine textile de Kinsoundi, les palmeraies d'Etoumbi, l'usine d'allumettes de Bétou, les chantiers de constructions navales de Yoro, etc.

Des centres de santé sont créés (deux à Brazzaville et un à Pointe-Noire) ainsi que des groupes scolaires (collèges et écoles primaires). Le taux de scolarisation du pays devient le plus élevé d'Afrique noire.

L'assise populaire de Massamba-Débat est incertaine dès le départ, car une partie des ressortissants de la région du Pool, dont sont originaires les deux premiers présidents du Congo, lui reproche d'avoir remplacé Fulbert Youlou à la tête du pays. La brutalité des milices rend le régime impopulaire. Massamba-Débat, devient de plus en plus isolé.

Les contradictions idéologiques (socialisme bantou contre socialisme scientifique) et les luttes de factions, principalement entre les pro-lissouba et les pro-noumazalaye; les tentatives de l'opposition de droite (Mouzabakani, Kolelas, Kinganga) et l'activisme des officiers progressistes, conduits par le capitaine Ngouabi, affaiblissent Massamba-Débat.

Le 26 avril 1966, il nomme un nouveau gouvernement. Ambroise Noumazalaye devient Premier ministre en remplacement de Pascal Lissouba. Une lutte sourde s'instaure entre le président et son Premier ministre sur les options idéologiques, la politique de nationalisation des entreprises et la diplomatie.

Le 12 janvier 1968, il démet Noumazalaye et décide d'assumer lui-même la fonction de Premier ministre.

En juillet 1968, devant la montée de la contestation, il fait arrêter le capitaine Ngouabi, dissout l'Assemblée nationale et le bureau politique du MNR et suspend la Constitution de 1963. Il en résulte un affrontement entre ses partisans au sein de la Défense civile et une partie de l'armée. Il est alors contraint d'amnistier tous les prisonniers politiques et composer avec ses opposants.

Massamba Debat, Marien Ngouabi et Alfred Raoul

Le 4 septembre 1968, Massamba Debat, dont les prérogatives de président de la République ont été rognées par le CNR, se résout officiellement de démissionner. La fonction de président de la République est provisoirement suspendue. Le capitaine Raoul assume l'intérim du chef de l'État.

Alphonse Massamba Debat est né à Nkolo dans le district de Boko. Il a été président de la république du Congo de 1963 à 1968.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-03-25 07:53:14

Gabon: La présidente de la Cour constitutionnelle visée par une enquête en France

La présidente de la Cour constitutionnelle gabonaise Marie-Madeleine Mborantsuo est sous le coup d’une enquête en France pour des mouvements de fonds suspects. Une affaire pour le moins embarrassante, rapporte RFI.

Créé le 2017-03-24 10:07:52

Mondial 2026 : Le Maroc va poser une candidature conjointe avec la Côte d’Ivoire et l’Espagne

Selon le quotidien marocain Assabah, l’on devra s’attendre à une candidature d’un trio euro-africain composé du Maroc, de la Côte d’Ivoire et de l’Espagne pour l’organisation de la Coupe de monde de football en 2026.

Dans sa parution du mercredi 22 mars, Assabah révèle, en effet, que le Maroc, qui entamera bientôt des négociations avec l’Espagne pour l’organisation conjointe de la coupe du monde 2026.

Quant au choix de la Côte d’Ivoire, le quotidien marocain assure qu’il intervient en remplacement du Portugal qui, sollicité un moment pour sa proximité avec le Maroc, au même titre que l’Espagne, semble ne pas être intéressé par la Coupe du monde du fait de la crise économique que traverse le pays.

Par ailleurs, selon certains observateurs, le choix de la Côte d’Ivoire résulte, d’une part, des liens forts d’amitié et de coopération qui unit les deux pays, et d’autre part, du fait que le pays tirera une expérience de l’organisation des jeux de la francophonie en 2018 et de la Coupe d’Afrique des nations de football en 2021.

La candidature conjointe de ce trio euro-africain aura en face d’elle un trio nord-américain non moins important composé notamment des États-Unis, du Mexique et du Canada.

À noter qu'il y a d'assez bonnes raisons d'espérer pour cette candidature. En effet, l’organisation de la Coupe du monde de football 2026 ne peut avoir lieu que sur les continents africain ou nord-américain. Cette situation s’explique par le fait qu’en 2014, elle s’est déroulée au Brésil, en Amérique du sud. La prochaine édition, c’est-à-dire celle de 2018 est prévue en Europe, à savoir en Russie. Quant à celle de 2022, elle échoit à l’Asie à travers le Qatar.

Si le choix venait donc à être porté sur la candidature Maroc – Côte d’Ivoire – Espagne, cela offrirait à l’Afrique la possibilité d’organiser la deuxième Coupe du monde de football de son histoire.

Bertrand BOUKAKA/Source Ecofin

Créé le 2017-03-24 09:44:40

La plus grande librairie de France ouvre ses portes aux écrivains congolais

«Livre Paris », le Salon du Livre de Paris, ouvre ses portes au grand public ce vendredi 24 mars, à la porte de Versailles dans le 15ème arrondissement de la capitale française. Ce rendez-vous majeur de la littérature française, accueille de nombreux écrivains étrangers dont ceux du Congo-Brazzaville.

Créé le 2017-03-24 09:36:53

«Bienvenue au Gondwana»: le premier long-métrage de Mamane

L’humoriste et chroniqueur nigérien de RFI, Mamane a réalisé son premier long-métrage intitulé « Bienvenue au Gondwana », une satire à l’humour noir qui peint un pays imaginaire du continent africain dans lequel un dictateur est bien décidé à demeurer au pouvoir en trichant.

Créé le 2017-03-24 08:51:50

Congo – Histoire : Le sergent Malamine et le Sénégal, grands oubliés du mémorial De Brazza ?

Ambassadeur du Sénégal au Congo, madame Batoura Kane Niang a exprimé il y a quelques jours à Brazzaville, le souhait de voir flotter le drapeau sénégalais aux cotés de ceux du Congo et de la France, au mémorial Pierre Savorgnan de Brazza, en reconnaissance de l'action menée par son compatriote, le sergent Malamine, dans l'histoire qui s'y raconte.

Malamine est ce sergent noir que De Brazza choisit parmi les noirs de son escorte, lorsqu'en 1880, il atteignait pour la première fois la rive droite du Congo au village de Mfoa, avec l'intention d'y prendre possession au nom de la France.

En l'absence de son maître De Brazza, Malamine était chargé de faire respecter le pavillon français sur le territoire du Congo, à partir de Mfoa.

Il est incontestable que Malamine défendait fidèlement les intérêts de la France. L'explorateur Stanley en savait quelque chose.

« C'était un sénégalais retors et fidèle jusqu'à la brutalité », disait de lui le Père Augouard, missionnaire français des Pères du Saint-Esprit.

De Chavanes, autre compagnon de De Brazza a écrit : « Brazza avait appris à connaître Malamine qu'il fit sergent pour la circonstance, et il savait en bonnes mains les consignes données ».

La démarche de l'ambassadrice Batoura Kane Niang, si elle est approuvée, contribuera à corriger sans doute une omission, non des moindres pour ce mémorial qui raconte une histoire qui sans Malamine aurait peut-être été écrite différemment.

Le sergent Malamine repose à Gorée au Sénégal, où il mourut en 1886. Il avait choisi de retourner sur les terres du Sénégal où il était né vers 1850.

Bertrand BOUKAKA  

Créé le 2017-03-24 08:39:17

Congo : Les fonctionnaires fantômes dans la ligne de mire de Sassou Nguesso

Le président a parlé de rupture. Et pour cette année, Denis Sassou Nguesso veut en finir définitivement avec le phénomène des fonctionnaires fantômes en instruisant le gouvernement, et particulièrement les ministres des Finances et de la Fonction publique, de la nécessité que les premières mesures d’assainissement du fichier soient prises dans les meilleurs délais, afin que les cas les plus flagrants de fraude, d’absentéisme ou de dysfonctionnement manifeste soient traités dans le cadre de la liquidation des plus prochaines paies de la solde des fonctionnaires.

Créé le 2017-03-24 07:59:50

Congo – Industrie minière : Renaissance de la production de potasse

Fleuron de l'industrie minière extractive dans les années 70, la production de potasse reprend à nouveau le pas dans des proportions considérables en République du Congo.

Un nouveau gisement de potasse entrera bientôt en production au Congo. Il s'agit du «permis Dougou», situé dans le département du Kouilou. Ses ressources sont évaluées à 1,07 milliard de tonnes pour une production annuelle estimée à 5 millions de tonnes de potasse. 

Réuni le 22 mars dernier en Conseil des ministres, le gouvernement congolais a approuvé l’octroi à la société Sintoukola Potash S.A. d’un permis d’exploitation du site de «Dougou» dont la profondeur du gisement est estimée à 600m.

Sintoukola Potash est la filiale congolaise de la compagnie australienne Elemental Minerals Limited qui avait obtenu en 2009 du gouvernement congolais, un permis de recherches sur les sels de potasse et les sels connexes dans le Nord de la plaine du Kouilou. Elle a bénéficié en 2013 d’un premier permis d’exploitation de ce gisement dans la perspective d’une production de 2 millions de tonnes de potasse par an.

Le site de « Dougou », présente une importante minéralisation de carnallite et de sylvinite mises en évidence. L’exploitation du site du «permis Dougou » mobilisera un investissement prévisionnel de 4 milliards de dollars américains, soit environ plus de 2000 milliards de francs CFA sur une période de 20 ans.

La production du site du permis «Dougou», une fois réalisée, hissera le Congo au  rang de premier producteur africain de potasse, avec un volume de production estimé à 6% du marché mondial, à en croire le porte parole du gouvernement congolais, Thierry Moungalla.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-03-24 07:38:25

Faux médicaments, une activité criminelle à la mode en Afrique

En Afrique, un médicament sur trois est un faux. Et chaque année, officiellement 800 000 vies africaines sont fauchées en silence par les faux médicaments. Les « pharmacies par terre » n'en finissent pas de tuer dans une indifférence presque générale. Un trafic mondial encore plus juteux que celui de la drogue.

Créé le 2017-03-23 16:16:15

Congo – Éducation Nationale : Les besoins du pays en table-bancs se chiffrent à 21 milliards de francs cfa

Les besoins de l'école congolaise en table-bancs sont estimés à plus de 30.000 pièces. Le coût global de cette demande recommandée le 21 mars à Brazzaville par le ministre Anatole Collinet Makosso est estimé à 21 milliards de francs cfa.

Les conditions d'amélioration du système éducatif congolais passent aussi par la qualité des infrastructures et les dispositions de dispensation des enseignements.

Lors de la séance plénière relative à l'examen et à l'adoption du projet de loi autorisant la ratification de l'accord de financement entre la république du Congo et l'Association Internationale du Développement AID au projet d'appui à l'amélioration du système éducatif, le ministère de l'enseignement primaire, secondaire et de l'alphabétisation a émis cet état de besoins en table-bancs.

Anatole Collinet Makosso a précisé que le Congo compte 1 million 400 mille élèves au public, repartis ainsi qu'il suit : environ 700 mille à l'école primaire, 400 mille au collège et 200 mille au lycée.

Avec un ratio de 2 élèves par table-banc, il faudrait en disposer de 700 mille au moins, pour satisfaire la demande. D'autre part, pour désengorger les classes excessivement pléthoriques, il faut construire au moins 250 salles de classes à équiper.

Les table-bancs se dégradent avec l'usage mais ils sont aussi détournés. Aussi, pour le ministre, « une bonne citoyenneté s'impose pour que les riverains autour des établissements scolaires en respectent le mobilier ».

Bertrand BOUKAKA  

Créé le 2017-03-23 09:44:38

Congo – Médias : Des points d'accès wifi gratuits pour les brazzavillois, de la part de Congo-Télécom

Des points d'accès internet en mode wifi, gratuits, sont désormais installés dans certains endroits publics de Brazzaville par la société de Téléphonie Congo-Télécom. Ces endroits sont devenus de véritables points d'attraction pour les brazzavillois.

Le signal internet par wifi est disponible tout le long de la Corniche, du Viaduc à l'ex restaurant Mami-wata. Les nombreux visiteurs et promeneurs qui y affluent peuvent se connecter en accès libre.

Congo-Télécom a disposé gracieusement le même service au Square De Gaulle de Bacongo avec un signal couvrant l'ensemble du jardin et les environs immédiats, ainsi que sur l'esplanade de la Télévision nationale à Nkombo.

Fournie en haut débit, la qualité du signal est impeccable et la connexion de bonne qualité permet une navigation sur internet convenable, de l'avis des utilisateurs du service.

Les étudiants, élèves et autres férus du web trouvent dans ce service une opportunité formidable pour travailler sur diverses recherches, sans qu'il ne leur en coûte un seul sou.

Congo-Télécom envisage d'étendre ce service wifi gratuit à d'autres points tels l'aéroport international de Maya-Maya, les jardins de la préfecture de Brazzaville, le Mémorial Pierre Savorgnan De Brazza ou le Mausolée Marien Ngouabi.

Ce service pour l'instant gratuit en sa phase expérimentale sera payant dans les prochains jours, au prix de 400 francs le ticket, pour un accès illimité à internet de la journée, au dit endroit.

Grâce à l'opérationnalité de la fibre optique, ces prestations offertes par Congo-Télécom sont désormais possibles et de bonne qualité. Les brazzavillois, en grande majorité les jeunes, s'en réjouissent.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-03-23 09:02:40

Brazzaville accueille la 85e réunion de l’Association internationale des maires francophones (AIMF)

Brazzaville, la capitale congolaise va accueillir du 24 au 26 mars 2017, la 85e réunion de l’Association internationale des maires francophones (AIMF).

Créé le 2017-03-23 08:07:52

Jean-Marie Michel Mokoko se plaint de ses conditions de détention

Le candidat malheureux à la présidentielle du 20 mars 2016, le général Jean-Marie Michel Mokoko se plaint de ses conditions de détention. Un enfermement seul, 24h sur 24, sans pouvoir communiquer avec sa femme ni ses enfants.

Créé le 2017-03-22 18:40:22

Un amant surpris par l'arrivée du mari de sa maîtresse se cache sur les toits

Un jeune homme entièrement nu a été découvert sur les toits de Paris. L’individu, qui se trouvait à plusieurs dizaines de mètres du sol, semblait vouloir se cacher.

Créé le 2017-03-22 17:40:47

Congo : Deux journalistes italiens arrêtés à Pointe-Noire

Luca Chianca et Paolo Palermo, deux journalistes italiens de l’émission d’investigation Reports, diffusée sur la chaîne italienne RAI 3, ont été arrêtés mercredi 15 mars dernier par des forces de sécurité en civile, et détenus à la Direction de la surveillance du territoire. La raison invoquée ? L’absence d’un «visa journalistique ».

Créé le 2017-03-22 17:18:25

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