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Congo : L'activisme écologique de Michel Innocent Peya incommoderait-il certains ?

La vérité n’est plus une denrée précieuse pour ceux qui utilisent le mensonge comme moyen pour déstabiliser les autres et tenir le haut du pavé. À peine Denis Sassou N’Guesso est-il rentré de Madrid en Espagne où il a pris une part active à la COP 25, qu'un média français en l'occurrence de Libération, s'est perdu dans une diatribe contre le président congolais. Dans la foulée, un pamphlet véhiculé sur les réseaux sociaux voue quasiment à la vindicte Michel Innocent Peya. Dire que l'écologie devient un domaine de tous les dangers.

Créé le 2019-12-17 10:54:48

Environnement - COP 25 Madrid 2019 : Que l'Humanité soit Soulagée selon l'activiste-Écologiste Michel Innocent PEYA

Créé le 2019-12-16 22:45:34

Pont route-rail : Ce projet est rentable et contribuera à la relance de l’économie nationale (Jean-Jacques Bouya)

Le futur pont route-rail sera érigé sur le fleuve Congo qui sépare les deux capitales les plus proches du monde, Brazzaville et Kinshasa. L’étude table également sur le prolongement du chemin de fer Kinshasa-Ilebo en République démocratique du Congo. Pour le ministre congolais de l’Aménagement du territoire, Jean-Jacques Bouya, l’étude économique de ce projet a abouti à une faisabilité avec un taux de rentabilité interne de 18%. Selon lui, ce projet est rentable et contribuera à la relance de l’économie nationale.

Créé le 2019-12-16 09:58:18

Congo : Noël menacé à Brazzaville et dans la partie septentrionale

C’est parti pour durer... Alors que les populations des Plateaux (centre), la Cuvette et la Likouala (nord) gardent encore les pieds dans l’eau et dans la boue, l’échéance de Noël approche et la situation peine terriblement à se décanter. Les autorités gouvernementales estiment que les inondations causées par les pluies qui tombent sans répit ont déjà touché 150 000 personnes. Brazzaville la capitale n’est pas épargnée : la pluie qui est tombée dans la nuit de vendredi à samedi a renforcé les dégâts au quartier la Base, de l’autre côté de l’aéroport, où les populations affectées appellent les autorités à l’aide.

Créé le 2019-12-16 09:06:13

Congo : Les militants du nouveau parti politique d’opposition fédèrent leurs attaques contre le ministre Bouya

Il n’est pas enregistré au ministère de l’intérieur et n’a de siège dans aucune localité du pays. Pourtant, ce nouveau parti politique est adoubé par l’opposition congolaise et autres réfractaires au régime de Brazzaville qui surfent sur son élan dévastateur. Ce parti est devenu un tremplin dont se sert ladite plateforme politique, pour fustiger le gouvernement de Clément Mouamba avec en ligne de mire, le ministre de l'Aménagement, de l'Equipement du territoire et des grands travaux Jean Jacques Bouya.

De quel parti s’agit-il, vous dites-vous sans doute. Bien sûr, qu’il s’agit bien de ‘’LA PLUIE’’.

La pluie serait-elle devenue un parti politique à part entière ? C’est à tout le moins ce qu’il paraît, au regard de la récupération qu’en font l’opposition et surtout une certaine diaspora ayant pour cadre d’expression les réseaux sociaux. Ils se délectent des dégâts qu’elle occasionne, exploitant ainsi la détresse des populations sinistrées en rendant le gouvernement responsable desdites dégradations.

En cette saison de pluie, il ne se passe pas un jour sans que les eaux de ruissellement qui prennent de plus en plus de volume, ne charrient tous les matériaux se trouvant sur leur parcours. Routes crevassées ou coupées, collecteurs explosés, maisons emportées, biens matériels inondés, glissement de terrains, érosions, avec parfois des pertes en vies humaines.

Si sous d’autres cieux, ces destructions occasionnées par des phénomènes naturels et échappant à la volonté des humains suscitent un élan de solidarité qui fédère les énergies pour y apporter des solutions, au Congo, la disposition est toute autre. Pour certains thuriféraires de l’opposition qui instrumentalisent les peurs et les angoisses, quelle aubaine, que « de démontrer ainsi par la preuve », disent-ils, que « le gouvernement ne fait rien », ou que les travaux seraient mal réalisés.  Et le souffre douleur est devenu le ministre Jean Jacques Bouya.

Si la violence des orages en Espagne, des trombes d'eau en Italie, des rues dévastées en Grèce, des tempêtes et des inondations dans le sud de la France sont imputées à l'intensité des pluies qui a augmenté de 22% autour de la Méditerranée depuis cinquante ans, à cause du réchauffement climatique, disent les spécialistes, chez nous, un certain obscurantisme tue le réalisme qui est loin de faire l’unanimité. Il faut toujours chercher des bouc-émissaires.

Plutôt que de regarder le ciel et de s’interroger tous ensemble sur le ‘’que faire’’, ainsi que l’a suggéré dernièrement le premier ministre devant le Sénat en initiant une réflexion conséquente sur ces phénomènes d’une ampleur jamais connue, les réfractaires au gouvernement se défaussent sur un ministre.

Que dire donc de la France, l’Italie, la Grèce les États-Unis, l’Espagne, la Tunisie, le Gabon, la RDC, pour ne citer à titre d’exemple que ces quelques pays, où les mêmes phénomènes provoquent des dégâts qui parfois dépassent l’entendement. Jean Jacques Bouya y aurait-il également réalisé des travaux ?

Autant le gouvernement est sensible à la douleur des populations victimes des effets climatiques, autant il est parfois submergé comme partout ailleurs, par l’ampleur des phénomènes, surtout que les efforts entrepris pour y faire face sont le plus souvent annihilés par la destruction des prémices de solution qui y sont apportés. C’est le cas des ravins Casis, Mimi, Emeraude ou autres Kinsoundi, qui depuis 2008 sont traités à coût de milliards. Pendant que l’on en traite ici, il s’en déclare ailleurs et il faut agir. Mais avec quoi ?

Ailleurs, face à la violence des phénomènes, des mesures radicales ont parfois été prises, tel le délogement des populations, des zones déclarées à risques. Les congolais seraient-ils prêts à accepter pareille éventualité ?

Février 2010, la tempête Xynthia, qui frappe principalement l’ouest de la France (Loire-Atlantique, Vendée, Charente-Maritime et les Pyrénées), fait 53 morts. Associée à une grande marée, la tempête a brisé des digues et envahi des lotissements en zones inondables, notamment à La Faute-sur-Mer et l’Aiguillon-sur-Mer (Vendée). La catastrophe a provoqué plusieurs centaines de millions d’euros de dégâts. Un quartier de la ville, totalement immergé, sera déclaré non aedificandi.

Depuis, il y demeurent des maisons-fantômes où personne n’habite. Personne ne rendit le gouvernement responsable de la situation. C’est plutôt le retard dans la prise en charge des sinistrés qui fit élever les voix.

De nombreux travaux réalisés sous l’impulsion du président Denis Sassou N’Guesso depuis 2003, portent la griffe de Jean Jacques Bouya. Il est sur tous les fronts au lancement des travaux, à la construction et à l’inauguration des chefs-d’œuvre qui ont substantiellement transformé le quotidien de nombreux congolais, à travers une réelle valeur ajoutée, tant au plan économique que social.

Tant que les œuvres dont le ministre Bouya assure la réalisation confortent positivement le quotidien des congolais, personne n’ose dire quoi que ce soit, ni même reconnaitre que des hommes et des femmes œuvrèrent pour leur aboutissement. Cependant, ils sont vent debout, dès que survient la moindre dégradation, en imputant la cause au ministre, à travers de quelconques malfaçons. Une attitude qui relève simplement de l’ingratitude.

Ses contemporains le savent et l’histoire le relèvera sans doute un jour, après que nous ayons peut-être tous disparu, que Jean Jacques Bouya est l’un des rares ministres, sinon le seul qui a, depuis l’indépendance, conduit la réalisation d’autant de chantiers de développement.

Hélas, au Congo, cette reconnaissance s’exprime toujours à travers une oraison funèbre.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-12-16 08:16:34

Congo – Finances : Signature de l’accord de prêt accordé par la Banque Africaine de Développement

Dimanche 15 décembre 2019, à Brazzaville, le gouvernement congolais a procédé à la signature de l’accord de prêt de la Banque Africaine de Développement (BAD) Il y avait, coté congolais, Ingrid Olga Ghislaine Ebouka-Babackas, ministre du Plan, de la statistique et de l’intégration régionale, d’une part et Antoine Tioye, représentant résidant de cette institution financière au Congo et économiste pays, d’autre part.

Ce prêt financier est un appui budgétaire à la République du Congo qui a retrouvé la confiance des institutions financières internationales, à la suite de la conclusion du programme de Facilité élargie de Crédits (FEC) avec le Fonds Monétaire International (FMI), multiplie les stratégies pour retrouver les équilibres macroéconomiques. Et l’accord paraphé, ce jour, intègre cette dynamique.

Les voix autorisées ont soutenu avant cette signature, que l’accord de prêt de la Banque Africaine de Développement (BAD) pour le financement de l’appui budgétaire, autrement dit Programme d’Appui aux Réformes Economiques et financières (PAREF) est l’aboutissement heureux d’une longue procédure jalonnée par des efforts fournis par le gouvernement durant deux ans.

« Après une requête, adressée en date du 10 juillet 2017, pour solliciter ce financement en complément de la facilité élargie de crédit sous-tendant le programme négocié parallèlement avec le Fonds monétaire international (FMI), afin de retrouver la stabilité financière de notre économie et amorcer sa relance. » a dit Ingrid Olga Ghislaine Ebouka-Babackas, ministre du plan, de la statistique et de l’intégration régionale, avant d’ajouter « Le Gouvernement s’est attelé à identifier avec la Banque Africaine de Développement, en contrepartie de cette aide budgétaire, les réformes structurelles essentielles à mettre en œuvre, avant et pendant le programme. »

Autant dire que l’octroi de cet appui budgétaire était conditionné par la signature de l’accord avec le FMI et la réalisation de certaines réformes préalables.

Le représentant de la BAD, Antoine Tioye a, avant de parapher ce document, fait savoir que le Congo est parvenu à satisfaire à toutes les onze mesures qui conditionnaient la signature de cet accord. Deux conditions se sont avérées fondamentales, à savoir l’accord avec le FMI et la réalisation des réformes. Ce que la ministre du plan a su bien dire en ces termes : « Encouragé par le président de la République, le gouvernement congolais n’a eu de cesse d’œuvrer avec détermination pour satisfaire à ces deux conditions et permettre, ainsi au conseil d’administration de la BAD d’approuver ce vendredi 13 décembre 2019, cet appui budgétaire qui s’élève à 187 millions d’euros, soit un peu plus de 122 milliards de Francs CFA. »

La ministre du plan, de la statistique et de l’intégration régionale, a remercié le conseil d’administration de la BAD pour avoir su apprécier à leur juste valeur, les efforts poursuivis par le gouvernement et de reconnaitre l’engagement profond du président de la BAD et de toute son équipe d’accompagner le Congo dans sa dynamique soutenue de sortie de la crise économique, qui montre des signes probants d’un retour de la croissance.

Ce montant vient atténuer significativement le cap de trésorerie affiché dans le budget exercice 2019, comme pour confirmer la pertinence de la stratégie de mobilisation de ressources et financière extérieure.

De quoi s’en réjouir ! La représentante du gouvernement n’a pas manqué de préciser que dans un contexte de rigueur budgétaire où les assurances de financement des bailleurs de fonds sont des facteurs déterminants de l’équilibre du budget, il faut admettre, pour s’en réjouir que leur concrétisation par un tel accord, est un signal manifeste d’encouragement de l’action de l’exécutif.

Cet appui financier pourra permettre à la République du Congo de trouver des solutions aux questions sociales et permettre à l’économie de décoller, a fait savoir le Représentant résident de la BAD au Congo et économiste pays, Antoine Tioye.

Les deux parties contractantes ont déclaré à la presse que ce prêt de la BAD au Congo obéit à conditions préférentielles, autrement appelé « concessionnel ». Il est donc, un prêt dont le taux d’intérêt est inférieur aux taux du marché. « Le Congo émarge au guichet BAD, qui est un guichet de prêt souverain. » a laissé entendre Antoine Tioye,, tout en signifiant que « les délais de remboursement de ce prêt sont de l’ordre de 25 ans, avec 5 ans de différé. » Et le taux de remboursements, obéissant aux calculs à faire en la matière est de 2%. C’est la contribution BAD pour combler le gap financier observé dans le budget de l’Etat, exercice 2019.

Au sujet du suivi et évaluation Antoine Tioye a martelé qu’il y existe déjà une matrice des mesures qui couvre la période du programme, avec des mécanismes à mettre en place pour faire le suivi et évaluation de cet accord de prêt.

En définitive, on peut retenir que l’accord de prêt de la Banque Africaine de Développement (BAD) pour le financement de l’appui budgétaire au bénéfice du Congo a été conclu sous le regard du FMI. Il est donc véritablement la bienvenue après celui du FMI, estimé à près de 225 milliards sur 3 ans et de la France, d’environ 80 milliards de francs CFA.

Cet accord de financement sera soumis, conformément aux dispositions de la constitution du 25 octobre 2019, à l’autorisation de ratification ordonnée par le chef de l’Etat par le parlement congolais.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-12-15 19:08:22

Congo bashing : Le journal Libération publie un melting-pot anti Sassou-N’Guesso

Le 13 décembre 2019, le journal français, Libération a mis en ligne un article qui affiche sa nature climato-sceptique. Ce texte d’environ 1500 signes, un vrai melting-pot contre le porte-parole de la commission climat du bassin du Congo à la COP25, Denis Sassou-N’Guesso, embrasse tout. On comprend que ce journal était à l’affut d’une occasion pour dire ou redire toute sa haine contre Denis Sassou-N’Guesso. Ce travail de propagandiste de mauvais goût est de la plume de Maria Malagardis.

Aux yeux de Maria Malagardis, auteur dudit article fourre-tout et de sa rédaction, le chef de l’Etat congolais aurait commis de pêché, en allant parler écologie à la COP25, à Madrid. Et cela se lit dès la première ligne de l’article : « Seul chef d’Etat africain invité à Madrid », écrit-elle, « le président de la République du Congo ne manque pas une occasion de s’afficher en héros de l’écologie ».

Là, personne n’a besoin de réfléchir longtemps pour comprendre combien Libération voit d’un mauvais œil l’activisme de Denis Sassou-N’Guesso à Madrid. A la COP25, le chef de l’Etat congolais a porté haut la voix de ses pairs de l’Afrique Centrale dans un domaine où il n’a point besoin de s’afficher, au sens de Libération. Ce que ce journal ignore, c’est que Denis Sassou-N’Guesso s’est lancé dans la lutte pour la préservation des écosystèmes naturels bien avant que la préservation de l’environnement ne devienne une exigence mondiale du développement.

A l’attention de Libération …

A Libération et à tous ceux qui ont fait de la lutte contre les changements climatiques une mode, il convient de signaler que le président Denis Sassou-N’Guesso a institué en 1984, une journée nationale consacrée au planting d’arbres. Dans un pays dont le territoire est couvert de plus 60% de forêts, cette décision avant-gardiste n’obéissait pas à un effet de mode, comme le fait Libération, mais à une conviction. Il a été créé au Congo, depuis plus de 30 ans, une société nationale de reboisement (SNR). Depuis moins de 10 ans, le besoin de renforcer la lutte contre le réchauffement de la planète a conduit le président congolais a créé le programme national d’afforestation et de reboisement (PRONAR). Et, cela est un fait ! D’ailleurs, la COP25 n’est pas le premier rendez-vous climatique où le chef de l’Etat congolais est le porte-parole de ses paires. Il a même été porte-parole de toute l’Afrique à Rio+20 en juin 2012, au Brésil.

Donc, à Madrid, Denis Sassoou-N’Guesso ne « s’affiche » pas, il s’active en faveur de la préservation de l’environnement, parce que pour lui, ce combat pour l’humanité n’est pas un leurre. Les changements climatiques sont une réalité avec des effets néfastes, palpables dans son pays. Libération qui n’y croit pas, écrit « … De retour dans son pays, il [Denis Sassou-N’Guesso] aura pu constater les effets dévastateurs des pires inondations qu’ait connues le Congo depuis vingt ans. Le résultat du réchauffement climatique ? Peut-être ». Qui dirait mieux que ce doute pour faire comprendre que le journal français ne croit pas aux effets des changements climatiques ?

L’article de Libération permet également de comprendre la volonté haineuse de ce journal et son désir affiché de noyer l’action positive de Denis Sassou-N’Guesso à la COP25. Peine perdue !

Un disque rayé, trop recyclé

Les médias français, dont Libération est une figure de proue pour cet épisode, ont une stratégie de communication bien connue contre le Congo. En effet, chaque fois qu’il y a une action positive sur ce pays, ils exhument avec aise des vieux sujets, faux ou vrais, sur le président de la République. Mais, aux oreilles des Congolais et des observateurs avertis, ces chansons fredonnées en chœur ont un air de disque rayé. C’est pour cela qu’au Congo, ils ne sont pas nombreux qui s’étonneraient de la hargne des médias français dont Libération contre le Congo et son président.

N’en déplaise au journal Libération, le Congo bashing est une réalité à laquelle les médias français ont habitué les Congolais. L’article en cause ne prouve pas le contraire. Sinon comment comprendre que ce journal réputé ‘’grand’’ – on suppose, ‘’sérieux’’ – expliquerait-il la relation qu’il s’est forcé d’établir entre la COP25 et les fameux biens mal acquis ? Que viennent faire les élections de 2016, le référendum constitutionnel de 2015 au Congo ou encore les vieilles accusations dubitatives de Global Witness sur les fils Sassou, dans un article qui est sensé parler de Denis Sassou-N’Guesso à la COP25 ?

Directeur de consciences

Les Congolais savent que Libération et ses confrères français caressent le rêve de voir le Congo brûler comme ils ont contribué à la disparition de l’Etat libyen. En tout cas, l’arbre vert que brandi le Président Denis Sassou-N’Guesso ne cache rien d’autre que son engagement à protéger la forêt de l’Afrique centrale. Jouant maladroitement, comme à son habitude au directeur de consciences, Libération veut faire croire que tout est rose dans son pays et il n’y a de « forêts de frustrations » sociales qu’au Congo.

Aryelle KAMBISSY/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-12-15 18:15:28

Congo – Finances : La Banque Africaine de Développement accorde un important prêt au Congo

À l’annonce du non traitement du dossier du Congo par le FMI en sa session de décembre et de facto, le non versement de la deuxième tranche de 48 millions de dollars qu’attendait le Congo pour janvier, les pourfendeurs du gouvernement congolais ont sonné cymbales et trompettes. Sans doute devront-ils les ranger, toute honte bue, car le Congo est et reste un pays crédible vis-à-vis des bailleurs de fonds, à l’instar du Groupe Banque africaine de développement qui vient de lui octroyer un prêt de 187 millions d’euros, soit un peu plus de 121 milliards 550 millions de Francs CFA. Voici le communiqué publié à cet effet par l’institution financière, le 13 décembre à Abidjan.

 

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-12-13 22:08:55

Congo – Report du versement du FMI : On va tout de même « bien manger les fêtes »

« Comment allons-nous manger les fêtes ? » autrement dit, « comment allons-nous passer les fêtes ». La question est sur toutes les lèvres à travers le pays, depuis qu’une radio internationale s’est faite « des choux gras » du report du traitement du dossier du Congo en décembre 2019 par le Fonds monétaire international (FMI) et partant, le non décaissement de la tranche de 48 millions de dollars initialement prévus pour janvier 2020.

Même si elles espéraient une issue plus favorable, les autorités congolaises s’attendaient presque à cette conclusion de la part du FMI, quant au décaissement de la seconde tranche. Des réserves conséquentes avaient été émises, lors de sa mission de novembre. À l’issue de cette mission, le FMI avait tiré la sonnette d'alarme, demandant au Congo de mettre les bouchées doubles pour respecter les engagements pris lors de la signature de l'accord en juillet. Il s’agissait en priorité, d’achever la restructuration de la dette commerciale extérieure et de mener les réformes attendues en matière de lutte contre la corruption, le tout avant la fin de cette année, des dossiers sur lesquels le gouvernement ne cesse de travailler.

Quoi qu’il en soit, le dossier du Congo-Brazzaville est pour l’heure écarté de l’ordre du jour du conseil d’administration du FMI, de décembre. Ce report signifie naturellement que le versement des 48 millions de dollars attendus en janvier par Brazzaville est reporté.

La nouvelle n’est pas certes reluisante, cependant, elle n’impacte pas l’exercice budgétaire en cours, tels que certains le font croire, au point que les congolais se sont soudain mis à désespérer, affichant clairement angoisses et incertitudes pour les fêtes de fin d’année et du nouvel an, des moments qui pour eux ont un sens si particulier, par delà leur aspect festif.

Le FMI n’a nullement fermé la porte au Congo, comme le clament ces pourfendeurs du Congo, qui se pâment d’aise de voir le pays courir vers des difficultés de trésorerie. Il s’agit d’un report dont l’issue dépendra des capacités du Congo à rentrer dans les clous, notamment en ce qui est de l’achèvement de la restructuration de la dette commerciale extérieure.

Mais sur ce terrain, le Congo négocie avec ses créanciers, et ne peut imposer sa volonté. Or, il est un fait constant et bien connu des économistes et surtout des financiers, les conditions de remboursement d’un prêt sont le plus souvent édictées en fonction des capacités potentielles de l’emprunteur à payer. Et en la matière, le Congo est un pays potentiellement riche, au point que ses prêteurs ont presque une attitude d’usuriers, car sentant poindre pour le pays des perspectives économiques meilleures. Reste pour le Congo, de trouver le juste milieu, afin non plus, de ne pas sacrifier l’avenir au présent. Et cela peut bien prendre du temps.

Il y a aussi les questions d’audit intérieur ainsi que de la lutte contre la corruption. Sur ces points, le président de la République avait ouvert le chantier en décembre dernier, appelant les institutions habilitées à sévir, ce sans préjugés, avec toute la rectitude de la loi.

Si au niveau des services de police, notamment la DGST, les investigations avancent, les dossiers s’amoncèlent par contre du coté de la Justice où on semble trainer le pas, comme si des pesanteurs inavouées refrénaient les ardeurs des juges.

Ainsi donc, avec cette décision venue du FMI, pour de nombreux congolais sceptiques et surtout les pourfendeurs du régime, 2020 n’augure pas une bonne année. Osons croire que ceux-ci se trompent car rien n’est définitif dans l’attitude du FMI, qui est plutôt vue comme un encouragement pour le Congo à se surpasser. De même, ce n’est pas la première fois que le Congo devra attendre, presque la mort dans l’âme, l’aboutissement d’un accord avec le FMI. Deux ans durant, il a déjà attendu, avant de déboucher sur la signature du programme en juillet dernier. Ce n’est pas pour autant que le pays se soit arrêté de tourner entretemps, même si la situation était difficile.

Des défis majeurs attendent les congolais pour 2020. Et le président de la République ne manquera pas de les égrener mardi prochain, dans son message sur l’état de la Nation. Ces défis interpellent tous les congolais, qui à l’unisson, doivent se surpasser, pour les relever. Bien souvent, c’est lorsqu’il est dos au mur, que le Congo exprime son génie et se sort de l’impasse, comme puisant dans cet instinct de survie qui uni et fédère.

L’informatisation et la traçabilité des opérations au niveau des régies financières laissent présager une amélioration dans le recouvrement des recettes qui naguère échappaient aux caisses de l’État et garnissaient les poches de certains fonctionnaires véreux. Ce manque à gagner désormais recouvré représente un indice non négligeable pour les finances publiques.

Reste qu’il y a encore des niches qui échappent aux caisses de l’État. Au niveau de la circulation routière par exemple, en dépit du fait qu’ils sont floqués d’un ‘’gros’’ numéro matricule dans le dos, les policiers qui s’en mettent encore plein les poches, sont loin de justifier leur apport aux finances publiques, à travers les amendes et autres taxes récoltées. De ce coté, l’usage d’un quittancier sécurisé voir le payement des amendes par des moyens électroniques seraient un début de solution. C’est à tous les niveaux que le combat contre les antivaleurs doit se mener.

Et les fêtes alors, bien sûr que nous allons « bien les manger », même si dans quelques jours, la question ce sera : « On va manger les fêtes, il paye quand ? »

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-12-13 11:33:56

Congo – Église catholique : Le Père Daniel Nzika nommé évêque d'Impfondo par le Saint-Père

Le pape François a accepté la renonciation au gouvernement pastoral du Diocèse d’Impfondo, présentée par Monseigneur Jean Gardin. Dans le même temps, le Saint-Père a nommé Évêque de ce même diocèse, le Père Daniel Nzika du clergé de Ouesso, jusqu’ici Vicaire général.

C’est un fils du terroir qui succède à Monseigneur Jean Gardin. Le père Daniel Nzika est né à Ouesso, le 16 février 1971. Il a fréquenté le Petit séminaire de Makoua (1992-1995).

Le Père Daniel Nzika a étudié la philosophie et la théologie à l’Université catholique de Toulouse (1995-2000).

Il a été ordonné Prêtre le 9 décembre 2000.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-12-12 21:52:41

Fêtes de fin d’année au Congo : pas d’engouement dans les marchés

Il y a quelques années, l’arrivée des fêtes de Noël et de fin d’année se sentait partout à travers le pays, les marchés étaient bruyants, les jeux de lumière et guirlandes illuminaient les espaces publics. Cependant, cette atmosphère semble disparaître. Dans certains marchés, les tenanciers de boutiques et les vendeurs de jouets se plaignent, écoulant difficilement leurs marchandises.

Créé le 2019-12-12 21:01:31

Congo - Médias : Le ministre de la Communication procède à des nominations à la télévision nationale congolaise

Un réaménagement a été opéré dans deux directions de la télévision nationale congolaise. De nouveaux responsables y ont été nommés par de notes de services publiées en date du 12 décembre à Brazzaville, par le ministre de la Communication et des médias, Thierry Moungalla.

Aline France Etokabeka est nommée en qualité de directrice de l’information, alors que Nevy Chrisnelle Moundelé-Ngolo assurera désormais les fonctions de directrice de la production, en remplacement de Lazare Bourangon, appelé à d’autres fonctions.

D’autre part Bruno Mienahata est nommé chef de service de la rédaction française, Antoine Ambenza, chef de service du journal télévisé et Brice Aristide Benza, chef de la coordination des actualités.

Bibiane Itoua assurera quant à elle les fonctions de chef de service politique, alors que Naul Anoluch Ngobi Lendzo est promu chef du service administratif et financier à la direction interdépartementale de Pointe-Noire.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-12-12 20:05:51

Vers une liaison aérienne directe entre Brazzaville et Pékin

Pour attirer le maximum de touristes chinois vers le Congo, le vice-président du comité permanent de l’Assemblée nationale populaire de Chine, Ji Bingxuan a pris l’engagement, ce jeudi à Brazzaville, de faire un plaidoyer auprès du gouvernement chinois afin qu’il étudie l’opportunité de mettre en place des stratégies adéquates pour l’ouverture d’une ligne aérienne directe entre Brazzaville et Pékin en vue de contribuer à l’embellie économique du pays et d’y apporter une valeur ajoutée dans le produit intérieur brut.

Créé le 2019-12-12 18:57:57

Congo : Questions d'actualité au gouvernement au Sénat ce vendredi

Une séance de questions orales aux membres du gouvernement congolais au Sénat aura lieu ce vendredi 13 décembre 2019 à partir de 14h au palais du parlement à Brazzaville.

Créé le 2019-12-12 15:03:39

Congo : Déchets à la pelle au marché de Mossendjo

Depuis plusieurs mois, le marché de Mossendjo dans le Niari (sud), croule sous les ordures. Excédés par l’inaction de la municipalité, les marchands et riverains s’organisent pour nettoyer les lieux, et s’interrogent sur l’absence de solution.

Créé le 2019-12-12 12:28:34

Congo – Présidence : Denis Sassou N’Guesso s’adressera à la Nation mardi prochain

Le Président Denis Sassou N’Guesso prononcera son message sur l’état de la Nation devant le Parlement réuni en Congrès le Mardi 17 décembre 2019 à partir de 10h au Palais du Parlement.

Devant les parlementaires et partant le peuple tout entier qui suivra le message en direct à la radio et à la télévision, le chef de l’État dressera à l’évidence le bilan de l’année qui s’achève et déclinera les perspectives pour l’année à venir.

Au regard du cap fixé pour 2019, qu’est ce qui a été fait, qu’est ce qui reste à faire, quels sont les attentes du peuple, quels sont les engagements vis-à-vis des partenaires internationaux ou bilatéraux, quelles sont les marges de manœuvre, quels efforts et sacrifices sont attendus de tous, quels espoirs dessinent les perspectives d’avenir, autant des questions et bien d’autres dont les congolais attendent réponse de la bouche du chef de l’État.

Le volet économique du message du chef de l’État sera entre autres aspects, très attendu, car Denis Sassou N’Guesso y apportera à l’évidence une clarification sur les engagements que le Congo a pris avec les institutions financières internationales, notamment le FMI, avec lequel il est en programme.

L’économie influençant à coup sûr le social, le volet social aura également une place non négligeable, dans le message du président de la République, au moment où, outre la paye des salaires, le gouvernement s’emploi à solutionner le problème de pensions des retraités, de bourses des étudiants et à garantir aux populations les plus démunis, des ‘’filets sociaux’’ du genre « lisungui ».

La touche environnementale ne manquera pas d’interpeller le président, au moment où les effets du climat, avec des précipitations de plus en plus abondantes et des chaleurs torrides appellent à une redéfinition du pacte homme-nature, surtout dans les centres urbains. Entre les érosions dévastatrices et les abondantes eaux de ruissellement qui défigurent les chaussées et dégradent des ouvrages d’art, on en attend pas moins que le président appelle au rassemblement, face à cette œuvre gigantesque de sauvegarde de notre espace vital. Une œuvre qui ne saurait laisser personne indifférent.

Autant dire que ce message de fin d’année du président de la République est comme les précédents d’ailleurs, très attendu à un moment où le peuple espère que du gouvernement, viendra un second souffle pour conduire la politique nationale.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-12-12 12:13:02

Inondations à Brazzaville : les populations les pieds dans la boue s’interrogent sur l’assistance des autorités

Les populations déboussolées après les pluies qui se sont abattues ces dernières semaines et qui ont causé des inondations, des glissements de terrain et des ensablements à Brazzaville s’interrogent sur l’assistance des autorités congolaises alors que leur situation risque de s’empirer.

Créé le 2019-12-10 15:21:21

Denis Sassou N’Guesso reste le meilleur candidat, le seul capable de faire gagner la majorité en 2021 (Brice Itoua)

Après avoir rêvé que le monde politique puisse à nouveau nous offrir une personnalité que l'on admire et qui nous permette de nous projeter sereinement dans l'avenir, Brice Itoua, jeune entrepreneur de la ville océane, militant de base du Parti congolais du travail (PCT, parti au pouvoir), voit le président Denis Sassou N’Guesso en tant que meilleur candidat de la majorité dans la perspective de l'élection présidentielle de 2021.

Créé le 2019-12-09 15:33:29

Congo – Présidence : Denis Sassou N’Guesso est rentré de Madrid

Le président Denis Sassou N’Guesso est rentré à Brazzaville jeudi, de retour de Madrid où il porté la voix de l'Afrique Centrale à la COP 25.

Heureux qui comme Denis Sassou N’Guesso, a fait un bon voyage. Et pour cause, à la tribune de la COP25, le président de la République du Congo, a rappelé aux dirigeants du monde, présents à Madrid, que le fonds bleu pour le Bassin du Congo a aussi besoin d’eux. Il a lancé cet appel, le 2 décembre 2019, à l’ouverture de la 25ème Conférence des Parties à la Convention Cadre des Nations-Unies pour sur le Changement Climatique.

C’est ainsi dire que le fonds bleu pour le Bassin du Congo a occupé une place de choix dans le séjour du président Denis Sassou N’Guesso à la COP 25.

Porte-parole de l’Afrique centrale à ce rendez-vous international sur le climat, Denis Sassou N’Guesso a fait un constat amer : « depuis l’accord de Paris du 12 décembre 2015, les dangers sont de plus en plus grands dans le monde, du fait des changements climatiques », a-t-il fait observer. Ce constat n’est pas sans conséquences pour la population : « les populations vivent ces menaces au quotidien avec, entre autres, les cyclones, les inondations, les glissements de terrain et autres, etc. », poursuivait le président congolais.

Mais, le président Denis Sassou-N’Guesso a, surtout, affirmé sa fidélité à l’accord de Paris avec la décision d’aller plus loin dans son engagement contre la déforestation. « Je ne reste pas spectateur de la destruction des forêts de l’Amazonie, mais acteur pour faire que le monde entier profite de ce 2ème poumon de l’humanité que sont les forêts du Bassin du Congo » qui représentent 220 millions d’hectares de forêts », soulignait-il.

Son pays, le Congo rappelait Denis Sassou N’Guesso, est demeuré toujours respectueux des engagements pris contre les changements climatiques.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-12-06 13:00:49

Gabon : Le fils aîné d’Ali Bongo Ondimba prend le pouvoir

Nourredine Bongo Valentin, le fils aîné d’Ali Bongo Ondimba, est sur l’autoroute devant le mener tout droit à la succession de son père foudroyé par un accident vasculaire cérébral (AVC) qui a affecté sa mobilité et son élocution depuis le 24 octobre 2019. Le président gabonais qui avait succédé il y a dix ans à son père déjà au pouvoir depuis 42 ans nomme son fils aîné, pour l'épauler dans la gestion des affaires de la présidence.

Créé le 2019-12-06 11:14:15

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