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Gabon : Le fils aîné d’Ali Bongo Ondimba prend le pouvoir

Nourredine Bongo Valentin, le fils aîné d’Ali Bongo Ondimba, est sur l’autoroute devant le mener tout droit à la succession de son père foudroyé par un accident vasculaire cérébral (AVC) qui a affecté sa mobilité et son élocution depuis le 24 octobre 2019. Le président gabonais qui avait succédé il y a dix ans à son père déjà au pouvoir depuis 42 ans nomme son fils aîné, pour l'épauler dans la gestion des affaires de la présidence.

Créé le 2019-12-06 11:14:15

Congo – Médias : L’adieu à Borgia Miguel Samba Bouesso

Les obsèques de Borgia Miguel Samba Bouesso directeur de l’information à la télévision congolaise auront lieu le samedi 7 décembre à Brazzaville.

Prélude à ce moment de séparation qui s’annonce si douloureux, après la levée de corps, la dernière veillée se tiendra vendredi, au Centre National de Radio et de Télévision, CNRTV, qui fut le cadre professionnel de Borgia Miguel Samba Bouesso.

Ainsi, professionnels des médias, personnalités politiques ou de la société civile, parents et autres anonymes rendront hommage, le temps d’une nuit, à travers les chansons, cantiques et témoignages à un homme qui avait su se faire une place de choix dans l’univers médiatique congolais.

Borgia Miguel Samba Bouesso avait su conquérir le cœur de nombreux téléspectateurs, tant il mettait un point d’honneur à l’excellence et au travail bien fait. Le verbe facile, l’expression raffinée, le directeur de l'information de la Télévision Nationale Congolaise avait tout pour s’inscrire dans la lignée des grands journalistes qui ont marqué la profession en lettres d’or.

Depuis sa mort, le 28 novembre 2019, les hommages et témoignages affluent de partout. Ses confrères ont dans la foulée, composé une chanson dans laquelle ils lui rendent hommage.

Après la levée de corps à la morgue municipale de Brazzaville vendredi, Le corps de Borgia sera exposé au CNRTV pour cette nuit d'hommage, cette veillée qui s'iscrit dans les us et coutumes de chez nous. L’adieu à Borgia Miguel Samba Bouesso se fera naturellement samedi en matinée, dans ce cadre du CNRTV au milieu de ceux en qui il s’identifiait et où il avait pu écrire les plus belles pages de sa vie professionnelle.

Puis viendra le moment où parents, amis et connaissances accompagneront Borgia au lieu de son repos éternel.

Adieu Borgia, adieu chèr confrère.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-12-06 11:05:51

Inondations : Brazzaville a les pieds dans l'eau… Et la situation tarde à s'arranger

Les pieds dans l’eau et dans la boue, le balai à la main, les regards se tournent parfois avec colère vers le ciel. La série d'orages qui a touché Brazzaville ces derniers jours a fait son lot de sinistrés dans plusieurs quartiers de la capitale congolaise. L'eau est une chose, les boues en sont une autre, beaucoup plus dévastatrices.

Créé le 2019-12-05 21:21:32

Congo : Un militaire en état d’ivresse sur la voie publique

« L’abus d’alcool nuit gravement à la santé ». Malheureusement cette phrase de plus en plus visible sur des bouteilles d’alcool ne décourage pas de nombreux disciples de Bacchus au Congo-Brazzaville. Un must pour ces hommes habillés de l’armée congolaise qui sont passés maître dans l’art d’allier emprise d’alcool et vie professionnelle.

Créé le 2019-12-04 21:16:06

Enseignement et Humanité : L’émouvante histoire de Teddy, ‘’élève crasseux du fond’’

Le métier d’enseignant ne devrait-il pas se vivre tel un sacerdoce en accomplissant autant son devoir qu’en y mettant du cœur ? L’histoire que nous avons choisi de vous raconter interpelle fort à propos sur les causes de certains échecs pour des élèves qui peut-être souffrent en silence. Il est souvent dit que « les douleurs les plus atroces sont muettes ».

Une institutrice en charge de la classe de CM1 s’est adressée en ces termes à ses élèves: "Je vous aime tous". Mais au fond d’elle-même, en son for intérieur, elle faisait exception pour un élève du nom de Teddy qui avait toujours des vêtements sales et en haillons et d'un niveau qui laissait à désirer. Le plus souvent, il était renfermé sur lui-même.

Son jugement était basé sur le fait que ce Teddy ne jouait point avec les autres enfants et ses vêtements étaient toujours sales; ce qui nécessitait tout le temps un bain. Il était triste et taciturne et elle éprouvait autant de plaisir à corriger ses copies en rouge et porter la mention : non admis.

Un beau jour, l’administration de l’école a demandé aux enseignants de revoir les anciens livrets scolaires des élèves. Comme elle faisait cette révision, l'enseignante est tombée sur une des observations faites par un maître de la classe de CP1 sur Teddy : « Teddy est un élève intelligent, doué de talent et il fait ses devoirs de manière assidue et organisée ».

Une autre observation de la part de l’enseignant de CP2 notait : "Teddy est un élève éveillé et aimable avec ses camarades; mais il est angoissé par le cancer qui a touché sa maman".

Pour l’enseignant du CE1, ce fut : « La mort de sa maman a eu un impact négatif sur lui. Il a tout fait pour remonter la pente mais son père ne s’intéressait point à lui et la vie à la maison pouvait entraîner son échec si des mesures urgentes n'étaient pas prises ».

Celui du CE2 avait écrit : "Teddy est renfermé sur lui-même. Il ne manifeste aucun désir d’apprendre. Il n’a pas d’amis et il dort souvent en classe ».

L’enseignante était émue par ce qu’elle avait lu, et comprit les causes du problème de Teddy. Elle se sentait confuse, honteuse et toute petite.

Sa confusion est devenue encore plus grande quand les élèves lui ont ramené des cadeaux enveloppés dans de belles boites et fermées par des fils de soie. Sauf Teddy qui lui avait ramené son cadeau dans un simple sac d’emballage de chez l’épicier.

Alors que les autres élèves riaient de Teddy, l’enseignante avait encore souffert intérieurement en ouvrant le sac de Teddy pour y découvrir un collier dont quelques perles manquaient et un flacon de parfum rempli au quart de sa capacité. Mais tous s’arrêtèrent de rire quand elle prit la parole pour remercier chaleureusement Teddy tout en fixant le collier à son cou et en mettant de son parfum sur ses vêtements.

Ce jour-là, Teddy n’est pas rentré directement à la maison mais il a attendu la sortie de sa maîtresse pour lui dire : «Mme Thompson, aujourd'hui, vous avez senti pareil comme ma mère le faisait.» L’enseignante a éclaté en sanglots parce qu’elle a compris que Teddy lui avait ramené le flacon de parfum que sa maman avait utilisé et qu’il avait senti sur elle le parfum de sa défunte mère.

Depuis ce jour, l’enseignante a accordé à Teddy une attention particulière et ainsi, il a commencé petit à petit, à rattraper le retard dans ses études pour finir le meilleur en fin d’année.

À la fin de l'année, l’enseignante a trouvé devant sa porte une carte sur laquelle Teddy avait écrit : «Vous êtes la meilleure enseignante que j’ai eue». Et pour laquelle elle lui répondit : «Vous êtes celui qui m’a appris à devenir une bonne enseignante».

Quelques années plus tard, elle a été encore plus surprise en recevant une invitation de la faculté de médecine pour assister à une réception de fin d’année signée : « votre fils Teddy ! ».

Elle a assisté à la réception en portant le collier et en mettant le parfum qu’il lui avait offert quand il était gosse.

Depuis, Teddy a grandi. Teddy Stoddard est l’un des meilleurs médecins au monde. Il est propriétaire d’un centre anti-cancer qui porte son nom.

Combien d’élèves ont-ils échoué dans leurs études par le mauvais comportement de certains enseignants? Combien de personnalités détruites?

Cette histoire est offerte à tous les enseignants et encadreurs d'élèves pour qu’ils fassent preuve d'un peu plus d’amour dans le travail et plus d’abnégation parce qu’ils sont les premiers responsables de destins souvent brisés par l’indifférence ou le manque d’attention.

En chaque enfant dort sans doute un génie peut-être refréné par une douleur qui sommeille en lui. Et si l'enseignant était parmi les thérapeutes qui l'en guérirait?

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-12-04 14:42:35

Congo – Police : Des escrocs usurpant la qualité et la voix de ministres interpelés

Ils pensaient détenir ‘’d’incroyables talents’’ d’imitateurs, es qualité de ministres, quatre présumés escrocs qui agissaient au téléphone pour appâter leurs victimes, ont été interpelés par la police. Au nombre des personnalités dont ils imitaient la voix, il y a le ministre du Commerce et des approvisionnements, Claude Alphonse Silou.

De présumés escrocs se faisant passer au téléphone pour le ministre d'État Silou et autres personnalités gouvernementales ont été interpellés par la police.

Ces quatre hommes, tous de nationalité congolaise, agissaient via le téléphone, en se faisant passer pour des ministres dont ils imitaient la voix.

Au bout de la ligne, entre angoisse de ne pouvoir être à la hauteur de la demande du ministre et cet heureux privilège naïf d’être contacté par une autorité de la république, la personne appelée ‘’buvaient’’ les paroles comme du petit lait puis s’exécutait en toute soumission. Sans doute, à ceux qui parlaient peu plus fort autour d’elle, elle devait dire l’air hautain : ‘’taisez-vous, c’est le ministre au téléphone’’.

Quel ‘’honneur’’ pour un commerçant, que de garnir en ‘’unités’’ le téléphone d’un ministre, qui de surcroît décroche lui-même son appareil pour vous appeler, presque en ami, preuve que vous comptez pour lui. Au final, les escrocs extorquaient des sommes allant de 150.000 à 300.000 Francs cfa que les victimes transféraient à leurs complices via airtel ou mobile money. De sommes assez dérisoires, pour finalement être déboursées mais qui tout compte fait présentaient un bon pactole pour les escrocs.

Pour rassurer les plus méfiants, les pseudos ministres promettaient à leurs victimes une réception à leur cabinet juste après la transaction. Mais une fois l'opération réalisée, leurs téléphones étaient éteints pour un bon moment. Plusieurs commerçants ont été ainsi roulés, ces escros s'étant beaucoup fait passer pour le ministre d'État Silou, mais aussi pour le ministre des Transports, Fidèle Dimou.

Ainsi, la police met en garde la population contre ces escrocs d'un genre nouveau, car beaucoup sont encore en ‘’divagations’’, et continuent d'opérer.

Autant l'attitude de ces escrocs est répréhensible, autant convient-il de relever que celle-ci est à l'évidence favorisée par la prédisposition de certains commerçants et hommes d'affaires, aux exonérations de toutes sortes obtenues au moyen de bakchichs, afin de se garantir des marges bénéficiaires considérables.

Quoi de plus confortable alors pour le commerçant, si entre autres agents des Douanes ou du Commerce que l’on ‘’gère’’, on a dans son escarcelle, un gros bonnet du genre ministre, qui plus est, à qui on rend des petit services. C’est une ‘’assurance tous risques’’, qui fait dire à certains : ‘’tu sais quelles sont mes relations ?’’

Les escrocs qui ont très bien étudié la combine, ont bondi sur ce ''filon porteur'', car eux aussi savent que nombre de commerçants, recherchent un confort relationnel pour leurs affaires car ils préfèrent soudoyer les douaniers et autres agents de recouvrement des taxes, plutôt que de s'acquitter desdites taxes en bonne et due forme.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-12-04 12:26:56

Congo – COP 25 : Denis Sassou-N’Guesso présente le Fonds bleu aux bailleurs de fonds

« Tous les investisseurs privés sont […] concernés par les projets du Fonds bleu [pour le bassin du Congo]. Il en est de même des acteurs privés et de tout philanthrope au service de la lutte contre les changements climatiques, pour le bien de l’humanité toute entière ». Ces mots sont de Denis Sassou-N’Guesso, lors de la présentation du Fonds bleu pour le bassin du Congo aux bailleurs de fonds et aux partenaires technique et financiers, le 3 décembre 2019, à Madrid, en marge des travaux de la COP25.

Denis Sassou-N’Guesso est également président de la Commission Climat du Bassin du Congo. C’est à ce titre qu’il a porté la voix de l’Afrique centrale à la COP25.

En marge de ce rendez-vous international consacré à la recherche des solutions aux effets néfastes des changements climatiques, le chef de l’Etat congolais a rencontré, le 03 décembre 2019 à Madrid, les bailleurs de fonds et les partenaires techniques et financiers pour leur parler du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, qui est le bras financier de la Commission des forêts du Bassin du Congo.

C’est un vrai plaidoyer que Denis Sassou N’Guesso a mené auprès des bailleurs de fonds, des partenaires techniques et financiers. Le président Denis Sassou-N’Guesso a, dans un langage direct, présenté le Fonds bleu comme un espoir pour la survie de la planète. Il constitue, a-t-il précisé, un instrument de financement des projets structurants pour l’économie bleue et verte, ainsi que de l’intégration régionale africaine.

Et, le président de la Commission climat du Bassin du Congo de solliciter des institutions financières une oreille attentive. « Pour financer le Fonds Bleu, nous entendons impliquer tous les bailleurs de fonds publics, bilatéraux et multilatéraux, déjà mobilisés dans le domaine du développement et du changement climatique », a-t-il précisé.

« Les financements privés sont les bienvenus pour la mise en œuvre des projets », a poursuivi le président Sassou N’Guesso, qui entend poursuivre dans la capitale espagnole des consultations avec les représentants de bailleurs de fonds et d’autres hauts responsables, en vue d’obtenir leur adhésion et financement au Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

En définitive, le Fonds Bleu est indispensable, eu égard aux missions qui lui sont assignées, notamment la transformation, en profondeur des modèles économiques, sociaux et environnementaux en s’alignant sur l’agenda 2063 de l’Union Africaine et 2030 des Nations Unies, sur l’atteinte des 17 Objectifs pour Développement Durable (ODD).

Le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo est un fonds international de développement qui vise à permettre aux Etats de la sous-région du Bassin du Congo de passer d'une économie liée à l'exploitation des forêts à une économie basée sur les ressources issues de la gestion des eaux. L'accord portant création de ce fonds a été signé par les 16 Etats concernés, le 9 mars 2017, à Oyo, dans la Cuvette, en République Congo.

Synthèse de Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-12-04 10:50:22

Denis Sassou N’Guesso visite le stade mythique du Real Madrid

En séjour de travail en Espagne, le président congolais, Denis Sassou N’Guesso a visité le stade mythique du Real Madrid : el Estadio Santiago Bernabéu, Inauguré en 1947 après 3 ans de construction.

Créé le 2019-12-03 22:00:38

Gestion scabreuse du CHU de Brazzaville : l’intersyndicale s’oppose à l’octroi du prêt de 12 milliards de FCFA demandé à la BDEAC

Au regard du climat social qui prévaut au Centre Hospitalier et Universitaire (CHU) de Brazzaville, l’intersyndicale a exprimé vivement son opposition ferme à l’octroi d’un prêt de 12 milliards de FCFA demandé par le CHU-B à la BDEAC tant que sa gestion reste dans les griffes de l’Unité de Santé Internationale du Canada.

Créé le 2019-12-03 11:39:28

Lionel Messi est devenu le premier footballeur à remporter six Ballon d'Or France Football

Lionel Messi est devenu à 32 ans le premier footballeur à remporter six fois le Ballon d'Or France Football ce lundi 2 décembre 2019.

Créé le 2019-12-02 21:36:22

Congo – Cop 25 : Denis Sassou-N’Guesso appelle ‘’aux engagements concrets dans la lutte contre les changements climatiques

Le président Denis Sassou N’Guesso a pris la parole lundi, à l’ouverture de la COP 25 à Madrid. Dans une déclaration emprunte de réalisme et d’engagement, le président congolais a dressé un plaidoyer pour le fond bleu et appelé ’aux engagements concrets dans la lutte contre les changements climatiques.

L’allocution du président congolais était attendue. Et pour cause, Denis Sassou N’Guesso a su tracer un cap et définir les stratégies, dans la lutte contre les changements climatiques. Dans ce combat qui bien souvent prend des allures d’auto flagellation pour des pays dont les économies sont aussi tributaires des ressources forestières, il était plus qu’impérieux pour le chef de l’État congolais, qui portait la voix de l’Afrique centrale, de pointer le curseur sur les efforts consentis dans le bassin du Congo, deuxième poumon de la planète.

Aussi, le Congo a-t-il traduit par sa voix, ‘’son engagement à préserver durablement ses écosystèmes forestiers y compris les tourbières et les mangroves.’’

Voici l’intégralité du discours du président de la République à la COP 25.

« Mesdames, Messieurs,

Après les accords de Paris, du 12 décembre 2015, les dangers sont de plus en plus grands dans le monde, du fait des changements climatiques. Les populations vivent ces menaces au quotidien à travers, entre autres, des cyclones, des inondations, des glissements de terrain, etc.

Je reste, plus que jamais, fidèle à ma signature de l’Accord de Paris et j’ai décidé d’aller encore plus loin dans notre engagement concret contre la déforestation, en dépassant les discours incantatoires.

Je ne reste pas spectateur de la destruction des forets de l’Amazonie, mais acteur pour faire que le monde entier profite de ce deuxième poumon de l’humanité que sont les forets du Bassin du Congo. Dois-je le rappeler ! Les forets du Bassin du Congo c’est 220 millions d’hectares des forets.

La 25ème Conférence des Parties à la Convention Cadre des Nations-Unies pour sur le Changement Climatique (CCNUCC) ne doit plus être un sommet des vœux pieux, mais celui des engagements concrets au bénéfice de la lutte contre les changements climatiques.

De la sorte, le Congo traduit, une fois de plus, son engagement à préserver durablement les écosystèmes forestiers y compris les tourbières et les mangroves pour la survie de l’humanité. C’est dans ce sens que mon pays, la République du Congo, a signé, en septembre dernier, une lettre d’intention avec l’Initiative des forets d’Afrique centrale, CAFI, en sigle.

Personne ne peut l’ignorer, nous sommes 16 États mobilisés autour du Bassin du Congo et nous nous sommes dotés d’un instrument financier, le Fonds bleu en faveur de la préservation de l’environnement et de la lutte contre les changements climatiques.

Nous vous attendons pour amplifier notre action pour faire face aux drames humanitaires liés aux conséquences de la déforestation. Le Fonds bleu pour le Bassin du Congo a besoin aussi de vous, des fonds privés et publics. C’est un appel à la société mondiale que je lance solennellement aujourd’hui dans l’esprit de l’Accord de Paris.

Je vous remercie. »

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-12-02 14:39:48

Congo – Agriculture : Pierre Mabiala bien investi dans la filière anacarde

Le 19 novembre dernier, le président Denis Sassou N’Guesso a, dans son allocution de circonstance, à l’occasion du Forum des parlementaires d’Afrique centrale sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle, invité les parlementaires à devenir «…des acteurs pragmatiques de première ligne sur le terrain» pour contribuer efficacement au développement de l’agriculture. Si de nombreux parlementaires partiront de zéro, pour accomplir ce dessein, d’autres par contre, à l’instar de Pierre Mabiala, se voient confortés dans leur choix. Le ministre des Affaires foncières et du Domaine public, chargé des relations avec le Parlement, également élu de Makabana a lancé sur les terres où il est né, et où il est le député, de vastes plantations d’anacarde. La production de noix de cajou est saluée dans la contrée et partant le département, comme l’espoir d’un renouveau économique après la Comilog.

Les anciens le nomment affectueusement ‘’mwa’na ba mvûmbi’’, autrement dit ‘’l’enfant des aïeux’’, tant le ministre Pierre Mabiala a choisi de fédérer autour de lui, tous les ‘’enfants de la contrée’’, sans s’attarder sur les marqueurs politiques, à l’instar des tribuns, aujourd’hui disparus. D’ailleurs, c’est en triomphe que l’enfant du pays est accueilli à chaque descente dans sa circonscription électorale, non seulement par ses mandants, mais par l’ensemble des populations qui désormais voient en lui un tribun soucieux de l’avenir et du devenir des populations. La charge de tribun, ‘’Mwa’na ba mvûmbi’’ qu’il ne peut récuser.

Dans cette zone géographique dont Makabana est un curseur chargé d’histoire et de symboles tous aussi fastes, ceux de la Comilog, désormais lointains et emprunts de mélancolie, Pierre Mabiala, avec sa main verte, a su relever tant soi peu, le défi de la relance économique, avec comme substrat essentiel, l’agriculture et l'arboriculture, dont jeunes et moins jeunes ruraux, attendent des promoteurs pleinement investis.

Le lancement de la filière anacarde par Pierre Mabiala à Makabana, participe de cette volonté affichée, de développer sur ses terres si fertiles, une activité agricole porteuse et à même de donner du travail aux hommes et femmes, mais aussi de créer de la valeur ajoutée pour le pays. Et l'étendue de ses plantations suscite beaucoup d'espoir.

Désormais, outre ses fonctions de ministre, tous voient en Pierre Mabiala, ce tribun adoubé autant par les vivants que les morts, tant l’éclat de ses actions agricoles illumine de la Nyanga à la Louéssé, et même au delà. Une véritable contribution à l’autosuffisance alimentaire.

Le choix du ministre Pierre Mabiala d’investir dans l’anacarde, n’est pas fortuit. Véritable alternative à l’arachide, le fruit de l’anacardier, la « noix de cajou » fait aussi partie des plantes médicinales, de premier ordre et est très demandé en pharmacopée. Sa qualité thérapeutique hypocholestérolémiant (0% de cholestérol) est bénéfique dans la prévention des maladies cardiovasculaires. La noix de cajou serait d’une grande aide pour les personnes diabétiques et pour les calculs biliaires. Les différentes parties de l’anacardier sont vermifuges, ils éliminent les vers et les parasites et sont aussi énergétiques, (pas besoin de dessin pour les hommes, pour comprendre). La noix de cajou est légèrement laxative, et une infime quantité de son huile, permet de traiter les verrues et les teignes.

Dans nombre de pays où elle est produite, notamment en Côte d’Ivoire, l’essentiel de la production est destinée à l’exportation. Ce qui en fait une entrée de devises. Quoi de mieux pour s’inscrire dans la dynamique du président Denis Sassou N’Guesso, sur la diversification de l’économie.

« Un parlementaire un champ », pour Pierre Mabiala, ce sera l’extension des plantations. Qui donc à t-il dit que ''celui qui arrive en premier à la source, ne boit pas de l’eau trouble''. Cela conforte bien les choix de fils de paysan qu'est Pierre Mabiala, qui, partant de ces valeurs héritées de ses parents, a, tel l'enseigne La Fontaine, creusé, fouillé, bêché, ne laissant nulle place où la main ne passe et repasse. Et finalement, se mettre en phase avec la volonté du président de la République.

Sans doute, être ‘’Mwa’na ba mwûmbi’’, c’est aussi de savoir lire dans la volonté du chef. En cela, Pierre Mabiala s’identifie bien en tribun, dans son département. Cela n’est nullement affaire d’âge, mais du choix des Esprits des Aïeux, qui vous adoubent, de par vos pratiques fédératrices, en bon père de famille, le ''papa'' de tous.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-12-02 10:01:44

Niari : Les commerçants crient au racket du directeur départemental par intérim de la Police et du chef de service des renseignements généraux

La colère des commerçants des villes de Mayoko, Mbinda et Moungoundou-Nord est montée d’un cran et samedi matin. Et pour cause, le directeur départemental par intérim de la Police, le colonel Samuel Pana-Okoulouphouo et le chef du service des renseignements généraux du Niari (sud), le lieutenant-colonel Biahou Batsimba, censés être les gardiens de la paix, et défendre le crédo du président de la République, seraient dans la dynamique de la violence et de l’intimidation à travers leur comportement peu orthodoxe et indésirable, à en croire les commerçants  qui se disent êtres de véritables victimes.

Créé le 2019-11-30 16:29:14

Congo – COP 25 : Denis Sassou N’Guesso portera la voix de l’Afrique centrale

Le président Denis Sassou a quitté Brazzaville samedi pour Madrid, ou il prendra part au coté de ses pairs à la COP, qui s’ouvrira le 2 décembre dans la capitale espagnole. De plus en plus, l’action du Congo et de son président en matière d’écologie apparait d’un apport salvateur pour la planète.

Il y a 30 ans, le président Denis Sassou N’Guesso tirait la sonnette d’alarme sur les conséquences climatiques désastreuses qui risquent de détruire notre planète ou désarticuler les rapports mondiaux en général et en Afrique en particulier si l’on ne prend pas garde.

Passant de la parole aux actes, il instituait dans son pays une journée nationale de l’arbre pour le 6 mars de chaque année. Afin de conformer ladite journée à l’apport des pluies pour permettre aux plants de mieux lever, la date du 6 novembre fut choisie par la suite. Depuis, l’action suit son cours et se révèle chaque jour impérieuse, au regard justement des conséquences climatiques de plus en plus catastrophiques, induites par un déséquilibre écologique.

À Madrid, le président congolais sera une fois de plus dans un élément dont il porte non seulement la vision, mais aussi l’action. Quoi de plus normal, que de convier à la mutualisation des efforts, pour une cause qui se veut commune, en annonçant l’opérationnalisation du Fonds bleu, destiné à préserver le Bassin du Congo, deuxième réservoir de carbone du monde.

À l’évidence l’action de Denis Sassou N’Guesso est loin d’être une opération de charme. Elle s’inscrit simplement dans ce que, depuis le sommet de la Terre de Rio en 1992, le Congo a toujours œuvré pour la préservation du triptyque eau-forêt-biodiversité, entendu que le bassin du Congo est l’un des poumons de la planète. La préservation de ce grand massif repose sur un besoin urgent de financements responsables et durables. Un plaidoyer auquel Denis Sassou N’Guesso va se livrer en toute modestie, pour le bien de tous.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-11-30 14:41:55

Congo – Violences urbaines : Et si on ''réhabilitait'' la ''Milice populaire''?

Depuis quelques années, la violence urbaine est devenue quasi endémique, avec des délinquants de plus en plus jeunes. Si dans la recherche des solutions au problème, l’action des parents, de l’école, la police, la justice ou autres psychologues est évoquée, il va s’en dire qu’un problème de sécurité ne peut avant tout se régler qu’avec des moyens sécuritaires. Et si donc, on revisitait le passé ?

Lorsqu’en 1991, lors de la conférence nationale, les congolais affirmèrent leur volonté du renouveau démocratique, certains conférenciers crurent s’inscrire dans le véritable changement, en faisant table-rase du passé. Le changement ne fut ni plus ni moins qu’une réhabilitation des anciennes structures, à défaut d’un ''détricotage'' de toutes les structures mises en place par le système monopartiste.

Dans cette œuvre de changement, la jeunesse fut complètement dépouillée de ce qui faisait sa base idéologique et sécuritaire. Il fallait ''tuer'' l’UJSC et la Milice populaire, que l’on ''rendait responsables du délitement de la jeunesse'', aux dires de certains conférenciers. Autrement, il fallait en découdre avec Gabriel Oba Apounou et Michel Ngakala.

Dans cette volonté du changement pour laquelle plus personne n’est en droit aujourd’hui d’assumer les conséquences de certains actes, on avait nullement pensé aux solutions de rechange, afin de ne pas laisser un vide qui régénérerait tous les vices tant soi peu longtemps refrénés.

Qu’il s’agisse de la discipline à l’école ou dans la société, la disparition de l’UJSC et de la Milice populaire fit apparaitre des comportements plus libertins, dans une espèce de ''tout permis où personne n’a le droit d’interdire''.

Dans les écoles, très vite, les surveillants dépourvus des ''brigades disciplinaires'' que composaient les activistes et postulants de l’UJSC, furent submergés et confrontés à toutes les incivilités.

Dans la société, les comportements antisociaux n’en prolifèrent pas moins et en l’absence de la Force d’appui que représentait la Milice populaire, la police fut rapidement confrontée à un problème d’effectifs et surtout de déploiement sur le terrain. Être partout à la fois, là où était signalé un danger, se révélât quasiment une mission impossible. Depuis, la situation est exponentielle face aux villes de plus en plus grandes et aux effectifs de police au ratio déséquilibré, par nombre d’habitants.

C’est justement ici que les créateurs de la Milice populaire étaient peut-être visionnaires. Qu’il s’agisse des entreprises ou les arrondissements, structures dans lesquelles elle était déployée, la Milice populaire était avant tout une Force de proximité. Elle était composée d’hommes et de femmes habitant le même quartier et disposant des renseignements de première main, quant aux points chauds qui seraient des repères de bandits et autres malfrats.

D’autre part, les patrouilles exclusivement pédestres, à travers les rues, pas ou mal éclairées, avaient un caractère dissuasif, étouffant la commission même du crime ou délit, car empêchant le déploiement des malfrats. Ceux qui osaient s’entêter, étaient bien souvent pris.

Elle avait certes des défauts, cette Milice populaire. Nulle structure humaine n’est à l’abri des brebis galeuses. Cependant, son action pour la paix et la quiétude des citoyens, se ressent depuis qu’elle n’existe plus.

Sans réduire les libertés individuelles, les comportements nocturnes des citoyens étaient plus responsables et la loi Portela, jamais abrogée, interdisait de vagabondage nocturne les moins de 18 ans non accompagnés d’une personne majeure.

La commission d’un crime ou délit est toujours favorisée par un environnement jugée propice pour le malfaiteur, car aussi téméraire soit-il, il n’aimerait nullement se retrouver dans les mains de la police, partant dans celles de la justice. Aussi, si l’environnement de la commission du crime ou du délit lui est défavorable, il s’avisera, dans l’attente d’un moment propice. Et si jamais, celui-ci ne vient pas, il commencera, face à la mouise, à envisager de lui-même une reconversion, dans des activités plus licites.

À défaut de ''ressusciter'' la Milice populaire dans son ancienne formule, face aux défis sécuritaires urbains qui imposent d’attaquer le mal à la racine, une Force de type ''Milice civique'' composée de volontaires et autres militaires retraités, encadrée par l’Armée, la Police ou la Gendarmerie, astreinte aux patrouilles pédestres, maillant coins et recoins des villes et campagnes, serait bien un début de solutions à un fléau qui a vite fait de gangrener toute la société.

Un problème sécuritaire ne peut avant tout se régler qu’avec des moyens sécuritaires, disions nous d’emblée. Une fois que ceux-ci seront déployés et auront défini un cadre applicable à tous, l’action des parents, de l’école, la police, la justice ou autres psychologues sera alors un accompagnement à la pérennisation de ce cadre de vie. Ce ne sera ni une privation de liberté, ni une réduction de liberté, mais une garantie de la vie de tous.

Reste au parlement d’en définir le cadre de la loi. Au moins, la réflexion est lancée et elle peut être approfondie, sans s’interdire de quoi que ce soit.

N’ayons pas honte de reconnaître qu’il y a 28 ans, on s’était peut-être trompé. ''Quand on s’est trompé de chemin, on repart à la croisée des chemins''. Peut-être la croisée des chemins, c’est de recourir à ce qui marchait assez bien avant, et de l’adapter au temps présent, en fonction des contingences à l’évidence incontournables.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-11-30 13:16:55

La Journée mondiale de lutte contre sida est placée cette année sous le thème « Les communautés font la différence »

Le 1er décembre, comme tous les ans à la même date, l'attention de tous est attirée sur les ravages du sida qui faut-il le rappeler, n'est pas un « Syndrome Imaginaire pour Décourager les Amoureux ». L'événement constitue l’occasion d’une mobilisation mondiale contre cette maladie, au cours duquel plusieurs actions d’information, de prévention et de sensibilisation sont menées.

Créé le 2019-11-30 12:19:41

Brazzaville : après la pluie, le calvaire…

Quelques jours après les pluies torrentielles qui se sont abattues sur Brazzaville et ses environs, plusieurs quartiers sont assiégés par les détritus. Çà et là, des marées dormantes et des monticules de déchets provoquent des embouteillages monstres qui ralentissent la circulation. Une situation qui contraint automobilistes, piétons et motocyclistes à patienter pendant des heures ou à frayer leurs propres chemins.

Créé le 2019-11-30 11:47:16

Bloc opératoire du CHU de Brazzaville : on opèrerait les malades les portes ouvertes, faute de climatisation des salles

Les problèmes financiers et humains du Centre hospitalier et universitaire (CHU) de Brazzaville sont nombreux. La dégradation des soins sont préoccupants faute de plateau technique. Le service de réanimation n'a plus aucune machine permettant l'intubation des patients. Idem pour l'unité neurovasculaire où il manque des scopes et appareils à tension. Que dire du bloc opératoire ? Ici, l'on opère les malades les portes ouvertes, faute de climatisation des salles, a-t-on appris auprès des membres du syndicat du plus grand hôpital du Congo.

Créé le 2019-11-30 11:11:38

Congo – Circulation routière : Cinq citoyens maliens décèdent dans un accident de la route à Djiri

La communauté malienne du Congo-Brazzaville est en deuil. Cinq ressortissants maliens ont trouvé la mort jeudi matin 28 novembre, dans un accident de circulation survenu à Djiri.

Un véhicule de marque Toyota RAV-4 avec cinq personnes à bord, en provenance de Brazzaville, a terminé sa course dans la rivière Djiri, jeudi en matinée.

Entre excès de vitesse et mauvais état de la chaussée recouverte de sable après la pluie qui s’était abattue sur la zone dans la nuit, le chauffeur n’a pu tenir le véhicule qui a fait une sortie de route, entraîné par l’aquaplaning, au moment de franchir le pont. Le véhicule s’est retrouvé dans la rivière en crue et l’habitacle s’est aussitôt empli d’eau, noyant de facto les personnes à bord.

Sonnés par le choc de la collision du véhicule contre la paroi du pont, les occupants de la voiture n’ont pu s’en extraire. De la voiture à moitié immergée, les secouristes ont extrait les cadavres de Dramé Malick, Kanté Gaoussou, Hamet Diawara, Fofana Bakary et Siby Bamba, tous détenteurs d'un passeport malien.

Ce drame pose une fois de plus le problème des conducteurs qui adaptent rarement leur conduite en fonction de l’environnement notamment l’état de la chaussée, ou la visibilité et les éléments naturels auxquels ils sont confrontés, pluie ou vents violents. Ils sont à l’évidence imprudents et sont surpris du danger qui peut être évité avec une vitesse modérée.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-11-29 20:06:31

Congo – Présidence de la République : Gianni Infantino chez Denis Sassou N’Guesso

Le président Denis Sassou N’Guesso a reçu en audience le président de la FIFA, Gianni Infantino vendredi en fin d’après-midi, au Palais du Peuple.

Une visite de travail au pas de course certes, mais bien pleine, Gianni Infantino l’a effectuée comme promis, à Brazzaville, où il a pris patronné l’inauguration du nouveau siège de la Fédération congolaise de football (FECOFOOT), avant d’être reçu par le président Denis Sassou N’Guesso.

Entre Denis Sassou N'Guesso et ses hôtes, il s'est agit essentiellement de sport et de football notamment, à un moment où le Congo cherche à redorer son blason dans le domaine. Au président Denis Sassou N'Guesso, Giannin Infantino a dit sa satisfaction au regard des installations sportives visitées, aussi a t-il pris l'engagement d'implanter à Brazzaville une structure sous régionale de football. 

Outre les officiels de la FIFA, Gianni Infantino était accompagné de deux talentueux joueurs qui ont inscrits leurs noms dans les annales du football planétaire, le français Youri Djorkaeff champion du monde avec l’équipe de France en 1998 et le camerounais Samuel Eto’o considéré comme l'un des meilleurs footballeurs au monde de sa génération et l'un des meilleurs joueurs africains de tous les temps. Samuel Eto'o est aussi le seul africain a avoir remporté la Ligue des champions deux années de suite avec deux équipes différentes. Il est également le seul africain à l'avoir remportée à trois reprises. 

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

Créé le 2019-11-29 19:15:00

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