Congo-FECOFOOT : Mise au point de la Commission ad’hoc par rapport à un titre publié : '' La Commission ad'hoc aux abois'' et sur la prétendue arrestation de M. Batoumoueni Louis Basile alias Bath

Par rapport à ce titre publié dans les réseaux sociaux « La Commission ad'hoc aux abois ». Aguichant, ce post publié sur les réseaux sociaux, est une constellation d'insinuations extravagantes qui appelle de la part de la commission ad'hoc une mise au point sur la prétendue arrestation de Monsieur Batoumoueni Louis Basile " Bath". En voici l’extrait :

« Il en ressort que "lors du match aller des éliminatoires du CHAN, la CAF a découvert l'irrégularité de faux documents liés à un ancien compte de M. Ntadissi Ernest (un personnage déjà radié de la fecofoot pour usage de faux) entraînant le blocage de ce compte.

" M. Ntadissi a tenté de détourner l'attention en accusant M. Batoumoueni, ancien gestionnaire de ce compte, pourtant écarté depuis 3 mois..."

De quoi s'agit-il exactement ?

A la diligence de la commission ad'hoc, M. Batoumoueni a été interpellé (et non pas arrêté) par la force publique, pour soupçon de sabotage de match consécutivement au blocage du compte SMS utilisé pour la qualification des joueurs.

Incontestablement, le soupçon porté sur M. Batoumoueni se justifie en ce que, naguère encore, le compte dont il s'agit a permis à la commission ad'hoc d'accomplir les diligences y relatives.

Le blocage du compte dont se glose le comité exécutif révoqué - via des médias qu'il entretient - est, à n'en point douter, l'œuvre de M. Bath, qui a agi sous la dictée de son chef hiérarchique (l'ancien SG), pour s'entendre obtenir l'impossibilité d'enregistrer les joueurs dans le système SMS de la CAF. Ce qui serait synonyme, à charge de la commission ad'hoc, de match perdu par forfait.

Qui peut le moins peut le plus

La présomption de culpabilité de M. Bath est indéniable, puisque, au sujet du compte SMS, même quand il s'est mis en réserve de la fecofoot, celui-ci n'a pas hésité, il y a près d'une semaine, d'assurer, sans avoir le pouvoir, le transfert vers le Gabon des joueurs.

Au reste, l'interpellation de M. Bath valait son pesant d'or, puisque, de la présomption de culpabilité qui pèse sur lui, engagement a été pris par lui d'accéder à la demande, dans les meilleurs délais.

Comme quoi, l'annonce selon laquelle " la commission ad'hoc est aux abois" est une vue de l'esprit du comité exécutif révoqué qui a placé le football congolais dans les profondeurs abyssales. Les mêmes membres du comité exécutif révoqué qui ont longtemps jubilé sur la suspension à venir du Congo de la FIFA et de la CAF, trouvent désormais un palliatif que constituerait le blocage du compte SMS. Ce qui, en réalité, est une hérésie ».

                                                                     La Commission ad'hoc