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Des dizaines de Tunisiens et d’étudiants Subsahariens se sont réunis à Tunis pour dénoncer une « multiplication des agressions racistes », après la violente agression samedi de trois personnes d’origine congolaise.
Créé le 2016-12-27 10:16:10
Les yeux de plusieurs orphelins de Brazzaville ont pétillé. L’épouse du conseiller spécial du président de la République, Georgette Okemba déterminée comme jamais a remis des jouets et vêtements à plusieurs orphelinats de la capitale congolaise.
Créé le 2016-12-27 09:45:31
Une fête de Noël sous une pluie de balles. Le 25 décembre, une milice de l'ethnie Nande a attaqué la localité de Nyanzalé, à une centaine de kilomètres de la capitale du Nord-Kivu, Goma. Treize civils Hutus sont décédés dans l'attaque, alors que trois des miliciens ont été tués un peu plus tard, lors de l'intervention des FARDC, l'armée congolaise.
Créé le 2016-12-27 08:46:35
Le ministre congolais de la Communication, Thierry Moungala a déclaré sur les antennes de Rfi que la rencontre entre le président congolais, Denis Sassou Nguesso et le nouveau président américain, Donald Trump n’est pas un événement.
Créé le 2016-12-27 08:28:44
Ce mardi 27 décembre 2016, Denis Sassou Nguesso sera le premier président africain francophone à être reçu par le nouveau président américain, Donal Trump pour débattre de la crise libyenne, selon un communiqué de la présidence congolaise.
Créé le 2016-12-26 21:21:45
La ministre de la Jeunesse et de l’Education civique, Destinée Hermela Doukaga, a offert le 25 décembre, des jouets et un repas de noël à plus de cinq cents enfants venant de tous les orphelinats de Brazzaville, la capitale congolaise.
Créé le 2016-12-26 20:38:32
Barthélémy Ngatsono est le nouveau sélectionneur des Diables rouges. Il remplace le Français Pierre Lechantre, qui a été limogé il y a un mois.
Créé le 2016-12-26 17:09:14
Attention, l’exercice est évidemment fictif, mais, si les chefs d’État africains devaient voter pour la primaire citoyenne des 22 et 29 janvier 2017, le président congolais, Denis Sassou Nguesso voterait pour l’ex premier ministre français, Manuel Valls.
Créé le 2016-12-26 12:12:47
Le sommet extraordinaire des chefs d'Etat de la Cémac qui s'est tenu le 23 décembre 2016, à l'invitation du chef de l'Etat camerounais Paul Biya, a débouché sur l'adoption 21 résolutions censées sortir la sous-région du marasme économique actuel.
Créé le 2016-12-26 11:27:56
La fête de Noël devait être belle à Brazzaville, mais Dame Météo en a décidé autrement, une pluie diluvienne est venue perturber les festivités juste au début des hostilités.
Créé le 2016-12-26 09:54:34
Le pape François a prononcé ce dimanche 25 décembre son traditionnel appel à la paix pour Noël, du haut du balcon de la basilique Saint-Pierre. Devant fidèles et curieux, il a donné la bénédiction « urbi et orbi », à la ville et au monde.
Créé le 2016-12-25 17:32:05
Dans son ouvrage «Démocratie à l’Africaine, Osambe ou Kinzonzi, la vie ou la mort des Etats», Michel-Innocent Peya, chercheur et Ecrivain africaniste, qui, depuis quelques années nourrit la littérature à plusieurs thématiques, avait développé l’idée de la démocratie de partage et d’inclusion totale dans la gestion des affaires publiques.

En effet, de la page 232 à la page 265, au chapitre sixième de son ouvrage, le chercheur du Congo-Brazzaville, démontrait comment la participation de toutes les couches sociales à la gestion des affaires publiques constitue un facteur déterminant à l’apaisement des conflits, des tensions et des crises. L’inspirant de ses écrits, de sa pensée entant qu’auteur ; lampe torche qui éclaire la marche de la société, nous saisissons de l’opportunité que nous offre son engagement, pour lancer un appel à la classe politique de notre pays en particulier et à celle de l’Afrique en général qu’il faut éviter la démocratie de l’exclusion. Cette démocratie, selon Michel-Innocent Peya, est un suicide de nos sociétés et de nos populations.
L’histoire politique de la République Démocratique du Congo, est révélatrice à cet effet. Pendant la deuxième République, pour être candidat à la présidence de la République, le critère principal était qu’il fallait être un Président Fondateur du MPR, alors qu’il n’y en avait qu’un seul sur l’ensemble du territoire national. L’élection se passait à bulletin unique «VOTEZ VERT». C’est cette démocratie de l’exclusion, d’un vote à candidat unique qui a été à l’origine de la création des partis d’opposition, des guerres civiles et des rebellions.
Pendant cette même période, la concentration du pouvoir dans les mains d’une bourgeoisie d’Etat et la mise à l’écart de certaines Communautés de la gestion des affaires publiques avait donné prétexte aux populations congolaises d’expression Rwandophone de gonfler les rangs de l’AFDL pour renverser le Marechal Mobutu. A la fin de la transition 1+4, la mise à l’écart de l’UDPS et de son président, Etienne Tshisekedi au processus de la gestion publique et de l’élection de 2006, a eu un impact réel sur le degré de légitimité des institutions et donné l’impression à tout un peuple d’un rêve trahi.
La RDC n’est pas le seul cas d’une démocratie de l’exclusion, la Côte-d’Ivoire sous Laurent Bagbo, avec le critère d’ivoirité pour accéder à certains postes en a payé un lourd prix. Actuellement encore, la non participation aux affaires publiques, des partisans de l’ancien président Bagbo avec 300.000 personnes en exil, est une bombe à retardement. Dans le même ordre d’idées, le génocide du Rwanda et toutes différentes tueries ethniques au Burundi sont entre autres, les résultats de la démocratie de l’exclusion en Afrique. Les revendications indépendantistes des touarègues au Mali, des Negro-Mauritaniens, des Soudanais du Darfour, des peuples de l’enclave du Cabinda en Angola et de bien d’autres est une conséquence directe ou indirecte de l’application, dans une certaine mesure, de cette démocratie de l’exclusion.
De ce qui précède, Michel-Innocent Peya exhorte les dirigeants africains, les classes politiques africaines à penser, tant qu’ils le peuvent à faire participer toutes les couches sociales, chacune selon son poids démographique et politique à la gestion des affaires publiques. Les jeunes, les femmes, la diaspora, les chefs coutumiers, les anciens gestionnaires publics ayant fait preuve de gouvernance exemplaire, les personnes vivant avec handicap, les églises, les ONG/D et les associations des droits humains ; bref la société civile…ont le droit de participer à la gestion publique pour prévenir ou apaiser les tensions, crises et conflits qui déchirent nos sociétés. C’est ça la démocratie de partage que prône Michel-Innocent Peya. Nous espérons que les délégués et les chefs de fils de chaque camp impliqué dans la recherche des solutions à la crise actuelle en RDC puiseront dans cet ouvrage qui est au rendez-vous de l’histoire de grands événements de l’Afrique.
Pour Michel-Innocent Peya, la paix et la stabilité en Afrique, passe par la mise en œuvre de la démocratie de la non exclusion et du partage, celle qui consiste à ce que chacun ne gagne pas tout et que personne ne perde pas tout. C’est cette démocratie qui est conforme aux coutumes, aux mœurs et aux valeurs africaines. Car en Afrique, Martèle l’écrivain Peya, ceux qui sont exclus au repas ne parleront jamais le même langage que ceux qui mangent. C’est ce qui fait que les guerres civiles, les rebellions, les instabilités ne sont que les guerres de positionnement et que les conséquences de l’exclusion et de la mise à l’écart de la gestion de la chose publique des certains couches sociales. La démocratie de l’exclusion est un couteau à double tranchant. Ceux qui ont contesté le dialogue et le compromis hier, ce sont eux qui le réclamer aujourd’hui. Et finalement, ceux qui le réclament aujourd’hui haut et fort, demain vont le contester à corps et à cri. On dirait on se retrouve dans un cercle infernale de manipulateur, manipulé qui manipule.
C-News/RDC
Créé le 2016-12-24 19:07:46
Réunis le 23 décembre 2016 à Yaoundé (Cameroun) à l’occasion d’un Sommet extraordinaire de la Communauté économique et monétaire des Etats de l’Afrique centrale (Cemac), les chefs d’Etat de cette sous-région ont écarté l’idée d’une dévaluation du Francs CFA.
Créé le 2016-12-24 15:44:16
Une mère de famille, sous l'emprise d'alcool et de drogue, est tombée dans une colère folle, dans l'Indiana, aux Etats-Unis, quand elle a appris que ses enfants, âgés de 7 et 9 ans, avaient ouvert leurs cadeaux avant Noël.
Créé le 2016-12-24 15:21:06
Le président de Conseil supérieur de la liberté de Communication (CSLC), Philippe Mvouo, a exprimé jeudi 22 décembre à Brazzaville, les préoccupations de son institution qui se résument au manque de siège et de monitoring des médias.
Créé le 2016-12-24 14:32:33
L’installation du grand sapin de Noël donne le coup d'envoi des fêtes. Celui de 25 mètres installé place de la République, autrefois appelée rond-point Lumumba, pour raviver, comme chaque année, la magie des fêtes de fin d'année, attire des curieux qui se prennent en photo.
Créé le 2016-12-23 10:51:21
Un homme, âgé de 67 ans, a tué sa femme dans des conditions absolument atroces à son domicile de Malo-les-Bains. Le sexagénaire reprochait à son épouse, âgée de 57 ans, de ne plus rentrer le soir à la maison et surtout de dépenser trop d'argent.
Créé le 2016-12-23 10:11:15
Quatre agents du Conseil départemental de la Haute-Loire se trouvaient entre Beauzac et Retournac mercredi, lorsqu'ils ont découvert une valise et deux caisses au bord de la route. Ils ont ouvert la valise et il y avait deux sachets fermés, contenant 6000 et 4000 euros.
Créé le 2016-12-23 09:55:22
Cent cinquante jeunes du département du Niari ont été sélectionnés pour subir une formation accélérée de trois mois en hôtellerie, informatique, pâtisserie, électricité, agropastoral et bien d’autres.
Créé le 2016-12-23 09:40:59
Pouvoir et opposition en République démocratique du Congo se sont mis d'accord jeudi soir sur les grandes lignes d'un accord devant déboucher sur un régime de transition politique destiné à sortir de la crise provoquée par le maintien au pouvoir du président Joseph Kabila.
L'accord, dont une équipe de juristes des deux délégations devait régler les derniers détails sous l'égide des évêques catholiques de la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco), doit être adopté en séance plénière ce vendredi matin pour permettre une cérémonie officielle de signature dans l'après-midi.
Voici les principaux points de ce document de travail devant servir de base aux juristes.
Transition politique
L'accord doit permettre un régime de transition pendant lequel Joseph Kabila reste en fonctions jusqu'à la passation de pouvoirs avec un successeur élu.
L'opposition a lâché du lest sur ses exigences de voir Joseph Kabila, dont le mandat s'est achevé mardi, quitter le pouvoir immédiatement. En contrepartie, elle obtient la création d'un "Conseil national de transition" chargé de veiller à la bonne exécution de l'accord, particulièrement sur les questions électorales.
Élection présidentielle
Le scrutin qui aurait dû avoir lieu en 2016 sera tenu "fin 2017". Cela répond à l'une des exigences principales de l'opposition alors que le pouvoir répétait qu'il n'était pas en mesure de pouvoir tenir cette élection avant avril 2018.
Respect de la Constitution
L'opposition, qui soupçonne Joseph Kabila de vouloir s'accrocher éternellement au pouvoir, voulait obtenir la garantie que le président ne chercherait pas à contourner d'une façon ou d'une autre l'interdiction constitutionnelle qui lui est faite de se représenter.
Ces garanties sont codifiées par deux phrases :
"Conformément à son adresse à la Nation à travers le Congrès, le président de la République qui a accompli deux mandats ne briguera pas un troisième" mandat.
Dans ce discours prononcé en novembre, Joseph Kabila a assuré que la Constitution ne serait pas violée.
"Les parties s'engagent à ne pas recourir au référendum ou tout autre moyen de modification ou de changement de la Constitution pendant la période de transition"
Benoît BIKINDOU
Créé le 2016-12-23 08:19:16