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À l'occasion de la célébration du 58ème anniversaire de l'indépendance du Congo, le président Denis Sassou N'Guesso a adressé ce mardi soir, un message à ses compatriotes. En dépit de la crise économique qui mine le pays, le génie congolais reste à son entendement une force pour le sursaut national.
Douze minutes, c'est le temps qu'a duré le message du président de la République. Axé sur les fondements même de la République autour des valeurs qui traduisent la devise : Unité Travail Progrès, le chef de l'État a traduit en cet anniversaire, un haut moment d'hommage aux pères de l'indépendance et des martyrs de la République.
Par delà les difficultés économiques actuelles, Denis Sassou N 'Guesso a salué le peuple congolais pour sa patience et sa maturité.
De même, il a salué le retour de la paix dans le département du Pool (sud), la paix sans laquelle, rien de durable ne peut se réaliser, car l'avenir n'est nullement dans la violence. Aussi met-il l'accent sur les processus de désarment démobilisation et réinsertion.
Par delà les difficultés que connaît le pays, l'espoir est permis. Les avancées actuelles invitant à plus d'optimisme et de sérénité. Au prix d'efforts persévérants et opiniâtres, le Congo va se relever.
S'inscrivant dans la logique de son adresse du 30 décembre 2017, le président de la République a réaffirmé que sans complaisance, les dispositions en vigueur s'appliqueront dans la lutte contre les antivaleurs et il y veillera personnellement.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-08-14 21:06:58
L’équipe des Diables noirs a battu, mardi au stade Massamba Débat de Brazzaville, l’AS Otoyo par cinq (5) tirs au but contre trois (3), en match comptant pour la finale de l’édition 2018 de la Coupe du Congo.
Créé le 2018-08-14 20:54:23
À l'occasion de la célébration du 58ème anniversaire de l'indépendance de la République du Congo, le président de l'UNIRR, Roger Ndokolo a délivré un message dont voici la teneur.
« Quand arrive cette date du 15 août, notre vœu le plus ardent pour l’Union pour la refondation républicaine (l’UNIRR), est de célébrer l’union et la réconciliation de tout le peuple congolais, un symbole fort de la paix retrouvée.
En adéquation avec la déclaration officielle du chef de l’Etat à la nation, Denis Sassou N’Guesso, l’UNIRR adhère au discours d’ajustement face à la crise économique qui frappe notre pays depuis la chute du cours du pétrole. Nous demandons à tous les Congolais d’être unis derrière les directives étatiques avec des institutions convenablement agencées.
Les enjeux industriels, financiers et politiques sont étroitement liés et doivent être placés sous le contrôle de la démocratie et des citoyens pour éviter toute dérive préjudiciable à la collectivité.
Nous devons, à tous les niveaux, opter pour un train de vie en rapport avec la vertu. Cela passe par la réduction du train de vie de l’Etat, ses frais de missions, ses dépenses de biens et services, ses achats de véhicules, en faisant des efforts de modération et de rationalisation dans la fonction publique.
Bonne fête à tous ! ».
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-08-14 18:12:29
Deux écrivains congolais, Emmanuel Dongala et Gabriel Okoundji interpellent le président Denis Sassou Nguesso, à quelques heures de son message à la nation congolaise ce soir à 20 heures, à l'occasion de la fête nationale du pays demain.
Créé le 2018-08-14 17:47:01
Alors que le message du président de la République à la Nation est attendu pour ce mardi 14 août à 20 heures, celui-ci fait déjà l'objet de commentaires sur les réseaux sociaux. Parmi les quelques personnes, pourtant bien ciblées, qui ont assisté à son enregistrement lundi, certains n'ont pu tenir leur langue.
« Nul passage d'une amnistie des prisonniers politiques », peut-on lire sur les réseaux sociaux, s'agissant du message du président de la République, à l'occasion de la fête de l'indépendance.
Le message n'a certes pas encore été diffusé, et encore, « seul le prononcé, fait foi », pourtant, les commentaires vont bon train sur ce que « Denis Sassou N'Guesso qui aurait sursit les poursuites de Ntumi et autres ninjas ayant du sang sur les mains manque de gracier des prisonniers politiques, moins coupables que Ntumi et compagnie qui ont endeuillé des familles ».
Quels que soient les commentaires qui peuvent découler du message du chef de l'État, ce qui choque, c'est que l'on disserte sur un sujet non encore officiellement dévoilé. Pour reprendre le jargon des examens d'État, il y a manifestement fuite en matière communicationnelle. Mais par qui, et dans quel intérêt ?
Sans être corporatiste, le service de communication du président de la République est composé d'hommes et de femmes outillés qui ont le sens du professionnalisme, de l'éthique et de la déontologie. De leurs enregistrements, ils déposent régulièrement des « PAD », autrement dit des prêts à diffuser, toilettés et montés, bien souvent juste à l'heure de la diffusion pour éviter les fuites émanant des personnes non assermentées.
Comment donc comprendre qu'un message destiné à la diffusion à une heure donnée, soit déjà l'objet de commentaires avant sa publication. On passe de la faute professionnelle à la traîtrise, ou bien plus, à l'atteinte à la sûreté de l'État.
Certes, pour ceux qui l'auraient lu et qui s'en font les gorges chaudes, le message de Denis Sassou N'Guesso ne ferait nullement mention d'amnistie de prisonniers. Mais, ils oublient que l'amnistie ou la remise de peine se fait par décrets présidentiels qui bien souvent, dans le cas d'espèce, sont lus après le message du président qui énonce à l'évidence les axes directeurs de la politique à venir. De quoi dire, attendons de voir, avant de juger sur pièce, car tout ce qui précède n'est que politique-fiction, n'en déplaise aux « Sassou-incompatibles ».
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-08-14 16:08:04
Le chef de l’opposition congolaise, Pascal Tsaty Mabiala a affirmé qu’au-delà de la crise économique et financière qui sévit dans le pays, le Congo est plus victime de la mal gouvernance due à la corruption à grande échelle qui, selon lui, a atteint déjà le niveau «d’un cancer en métastase ».
Créé le 2018-08-14 10:55:42
Le préfet du Niari (sud), André Ovu a demandé à tous les sous-préfets du département d’organiser respectivement dans leurs circonscriptions administratives, malgré les difficultés financières, le défilé marquant le 58ème anniversaire de l’indépendance du pays.
Créé le 2018-08-14 09:45:25
Le Congo va célébrer le 15 août 2018, le cinquante-huitième anniversaire de son accession à la souveraineté internationale. Cet anniversaire qui marquera les 58 ans du Congo en tant que pays indépendant, libre de ses choix économiques, politiques, sociaux et culturels, sera fêté dans la sobriété.
Créé le 2018-08-14 09:08:34
Le Président congolais, Denis Sassou Nguesso s’est envolé, ce mardi matin, pour Luanda en Angola.
Créé le 2018-08-14 08:25:26
Au total, cent malades souffrant de maladies des yeux seront opérés par les médecins israéliens dans le cadre d’une campagne chirurgicale gratuite en ophtalmologie, organisée par la mission médicale israélienne, au Centre Hospitalier et Universitaire (CHU) de Brazzaville. Un véritable ouf de soulagement pour les congolais qui dépensent des sommes faramineuses pour aller se faire soigner à l’étranger.
Créé le 2018-08-14 07:56:38
L'attitude du chef d'entreprise bien connu à Pointe-Noire, la capitale économique du Congo, semble surprenante. Son attirance particulière à l'égard de sa secrétaire attitrée semble avoir dépassé très largement son pouvoir hiérarchique. Il avait mis au point un stratagème : son poste informatique, relié à une « webcam », diffusait en direct des images interdites d'un endroit bien intime, les toilettes du bureau, utilisées par la secrétaire, a-t-on appris auprès d’une source policière.
Créé le 2018-08-14 07:20:51
La situation économique de la CEMAC était au centre des discussions entre le président de la Commission, Daniel Ona Ondo et le directeur exécutif de la Banque mondiale pour l'Afrique, Seydou Bouda, jeudi dernier, à Malabo.
Créé le 2018-08-14 06:28:59
Ils ne sont "au cœur du système" que parce qu'on le veut bien. Il serait parfaitement possible de s'en débarrasser au lendemain de la célébration de la fête nationale. Mais a-t-on les moyens pour cela ?
Créé le 2018-08-13 17:39:22
Sur vingt-sept (27) spectateurs conduits au Centre hospitalier et universitaire de Brazzaville, dix-neuf (19) personnes ont eu de petites lésions et les huit (18) autres ont été plâtrées. Il n’y a pas eu de perte en vies humaines, selon le bilan dressé, le 12 août, par le Comité exécutif de la ligue départementale de basketball de Brazzaville.
Créé le 2018-08-13 13:29:37
La coalition dénommée « Faire gagner le Congo », composée essentiellement des parlementaires, maires, présidents des conseils municipaux et départementaux, associations et groupements d’associations ont dénoncé, le 11 août à Brazzaville, la campagne de dénigrement en cours à l’endroit du président de Perspectives d’avenir, Denis Christel Sassou Nguesso orchestrée par le chef de l'opposition congolaise, Pascal Tsaty Mabiala.
Créé le 2018-08-13 12:57:32
C’est parti pour les festivités des 58 ans d’Indépendance de la République du Congo. Le coup d’envoi a été donné à Brazzaville, ce lundi 13 août 2018, à 10 heures, par le président congolais Denis Sassou Nguesso avec le semi-marathon à travers les artères de la capitale sur 21km100.
Créé le 2018-08-13 11:51:52
Le dernier voyage du premier ministre congolais Clément Mouamba en Chine avait entre autres buts, celui d'obtenir des partenaires chinois, des facilités de remboursement de la dette congolaise, dont la Chine est le principal créancier, afin de rendre celle-ci « soutenable », et lever ainsi le verrou bloquant, pour la mise en place du programme avec le FMI. C'était pour Clément Mouamba, sans compter qu'en Chine, l'idéologie socialiste orne désormais les manuels d'histoire et que dans sa relation avec l'Afrique, la Chine s'aiderait plus qu'elle n'aide réellement l'Afrique.
Pour la sixième fois consécutive, le Fonds monétaire international a ajourné sine die, le 3 août dernier, l'examen du dossier du Congo, en vue de la conclusion d'un programme de relance économique, avec entre autres actes, une injection d'argent frais pour permettre au Congo de se remettre à flot.
Si 60% de la dette congolaise sont détenues par la Chine et les traders, il va s'en dire qu'en allant en Chine, Clément Mouamba savait que c'est là qu'est le nœud du problème. Aussi, la lettre d'intention qu'il s'est empressé de signer à l'endroit du FMI, sur la base des promesses chinoises aura été vidée de toute sa substance, le « partenaire » chinois s'étant rebiffé au dernier moment.
Quel que soit l'angle par lequel on aborde le problème, il va s'en dire que la Chine est devenue depuis quelques années, le principal acteur étranger de l'économie congolaise. Et cette « chino-dépendance » devient un boulet.
Même dans les industries extractives où elle tenait naguère une place marginale, la Chine est en train de s'imposer, rachetant à tour de bras les parts congolaises, dans un business qui a désormais pris la face d'un capitalisme sauvage, celui qui n'a pas d'amis, sinon les intérêts et que dénonçait Karl Marx dans « Le Capital ». « Plus le profit est convenable, plus le capitaliste devient dangereux », y disait-il.
Plus de dix mille entreprises chinoises opèrent sur le continent africain et 90 % d’entre elles sont privées. De quoi briser certaines idées reçues. Leurs revenus générés en Afrique pourraient croître de 144 % et atteindre 440 milliards de dollars d’ici à 2025, selon certains économistes.
Ces économistes relèvent surtout les profondes inégalités de la relation Chine-Afrique. Pour eux, « Les investisseurs chinois restent d’abord motivés par la quête des matières premières. Depuis des années, on parle de diversification des économies africaines, mais la réalité, c’est que nous en sommes encore très loin. C’est intéressant de voir que seuls les pays relativement pauvres en matières premières comme l’Éthiopie ont une relation plus équilibrée avec la Chine. Pour les autres, nous dressons un constat de forte dépendance autour du pétrole, des matières premières brutes minérales et des métaux. Ils représentent 90 % du total des exportations africaines vers la Chine.»
L’Afrique est ainsi le continent le plus dépendant de la Chine. En 2016, l’Afrique subsaharienne affichait un coefficient de dépendance (sur une échelle allant de 0 à 1) aux exportations bien plus élevé que les autres pays émergents : 0,24, contre 0,16 par exemple pour l’Asie du Sud-Est et 0,19 pour le trio Russie, Brésil, Inde. Le différentiel est encore plus important avec l’Union européenne (0,07) et les États-Unis (0,12).
La forte volatilité des cours des matières premières et la baisse de près de moitié en quelques mois des exportations vers la Chine, fragilise considérablement les économies africaines. Le Soudan, l’Angola, le Congo-Brazzaville et la Mauritanie sont les plus dépendants de la Chine, et donc les plus fragiles.
Ainsi qu'on le voit, sauf erreur d'appréciation, le Congo-Brazzaville qui semblait inscrire sa coopération multiforme avec la Chine sur un registre naguère nommé « internationalisme prolétarien », a tôt fait de déchanter car la Chine s'est outrancièrement capitalisée, même si les apparences restent « rouges ».
Ainsi, pour la Chine, accéder à la demande du Congo, dans un contexte de morosité économique internationale, sur fond de relocalisation de nombreuses entreprises européennes, équivaudrait à fragiliser sa propre économie. Accéder aux facilités souhaitées par le Congo, équivaudrait à lui prêter deux fois. Et, l'économiste Clément Mouamba n'a pas oublié ce sacro-saint principe de la haute finance : « on ne prête qu'aux riches ». Ce que le Congo est loin d'être à l'heure actuelle, même vis à vis de la chine.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-08-11 19:11:26
Les travaux de réhabilitation du lycée de la Réconciliation dans le septième arrondissement Mfilou qui ont été lancés dès la fermeture des classes pourront s'achever avant la fin de la rentrée scolaire prochaine.
Créé le 2018-08-10 08:13:07
La rumeur de la libération de André Okombi Salissa a couru jeudi, au point de faire affluer nombre de militants de la CADD au Palais de justice de Brazzaville où l'opposant était entendu par le juge d'instruction. Ceux-ci ont attendu longtemps, avant de se raviser : « Ils ne l'ont pas libéré ».

André Okombi Salissa avait rendez-vous avec le juge d'instruction, une deuxième fois de suite. Selon ses avocats qui ont toujours soutenu que le dossier est vide et qu'en l’occurrence, leur client devrait de toute évidence, retrouver la liberté, cette audition se présentait comme celle de la constatation de la nullité des charges, avec à la clé une liberté provisoire, au pire des cas.
Ainsi, en ce jeudi 9 juillet, c'était la fête au domicile de André Okombi Salissa, alors que lui même était entendu dans le bureau du juge. Cortège et autres calicots étaient déjà prêts, pour un défilé en forme de bras d'honneur aux autorités.
Quand André Okombi Salissa est ressorti du tribunal, aussi encadré par la police, que comme à son arrivée, pour reprendre la direction de la DGST où il est détenu, certains ont cru qu'il allait simplement y récupérer ses affaires, avant de rentrer chez lui.
C'est bien plus tard, que l'on s'est ravisé que l'homme restait en détention, en attendant la décision du juge qui n'a pas encore rendu ses conclusions sur l'audition du jeudi.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
Créé le 2018-08-10 08:12:58
Martin Mberi, homme-lige de notre actualité depuis 1965, ministre d’Etat sous Pascal Lissouba et ministre aussi sous Denis Sassou Nguesso, a été nommé, par décret n° 2018-306 du 09 août 2018, secrétaire permanent du Conseil national du dialogue.
Créé le 2018-08-10 07:29:58