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  • Congo – Médias : Peggy Hossié s’en est allée, une étoile a rejoint le firmament

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Congo – Éducation : La Fondation perspectives d’avenir offre des bourses d’études aux bacheliers de Dolisie

Ils sont dix premiers lauréats, des bacheliers issus des familles démunies ou des milieux défavorisés. Ils ont reçu du président de la Fondation perspectives d’avenir (FPA), Denis Christel Sassou N’Guesso, les passeports et attestations d’attribution de bourses étrangères.

Cette cérémonie qui s'est déroulée à Dolisie, chef-lieu du département du Niari, est la concrétisation de l’engagement que Denis Christel Sassou N’Guesso avait pris, le 21 novembre 2015, après son élévation à la dignité de citoyen d’honneur de la ville de Dolisie.

Ces lauréats, dont deux filles, les dix meilleurs bacheliers de l’année scolaire 2015-2016 à Dolisie, vont se joindre aux 65 nouveaux bénéficiaires et 20 anciens, à qui la fondation a octroyé la bourse. Ils vont suivre leurs études dans certaines écoles et universités africaines, notamment au Maroc, en Tunisie, à l’Ile Maurice, au Sénégal et au Burkina Faso.

Les domaines retenus sont: le management; le génie-biomédical; la kinésithérapie; l’aéronautique; le génie-civil; l’informatique et l’électronique.

Le président de la FPA a demandé aux bénéficiaires de profiter de toutes les expériences qui développeront en eux les compétences les plus variées pour faire d’eux de véritables agents d’un changement porteur de transformation dans le pays.

Denis Christel Sassou N’Guesso a en outre annoncé que plus de 75 jeunes congolais bénéficieront de bourses de la part de la fondation, cette année.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2016-10-17 06:51:23

La Turquie veut développer un projet d’école consulaire au Congo

La Turquie qui veut développer un projet d’école consulaire au Congo, a sollicité, à l’Etat congolais, une demande d’attribution de terrain pour ce faire.

Créé le 2016-10-15 09:12:44

Congo – Beauté : Soirée électorale miss Congo

La dix-neuvième édition de l’élection miss Congo, se tient ce samedi au Pefaco-hôtel de l’aéroport Maya-Maya à Brazzaville. Prélude à cet événement, la présidente du comité miss Congo, Pupuce Ibata Ngalla-Mouetoukouenda, a organisé une conférence de presse sur ce concours de beauté.

Elles sont 27 jeunes filles, venues des départements du pays, engagées pour ce concours qui sublime la beauté. Une d'elle sera sacrée reine de la beauté congolaise et arborera la prestigieuse couronne de miss-Congo.

L'édition 2016 sera cependant amputée des deux candidates du département de la Sangha. Elles n’ont pas effectué le déplacement de Brazzaville pour des raisons personnelles. Leurs parents ayant refusé qu'elles participent à l’événement.

Le thème retenu pour cette 19ème édition est : "Femme et développement".

Pourquoi Femme et développement ? « C'est parce que le Comico, 18 éditions après, a voulu donner l’opportunité aux candidates de s’exprimer, d’apporter leur pierre à l’édifice pour le développement du Congo. Chaque candidate à une idée bien précise en fonction de ce qu’elle fait à l’école ou de ce qu’elle pense .»  a expliqué Pupuce Ibata Ngalla-Mouetoukouenda.

La présidente du comité miss Congo a cependant regretté l'absence de subvention de l'État. « Dans la quasi-totalité des pays d’Afrique, cet événement est financé par l’État. C’est le cas par exemple du comité miss Guinée Équatoriale qui a bénéficié de la subvention de l’État à hauteur de 90 millions; du Gabon avec 50 millions, du Cameroun avec 50 millions. Il n’y a qu’au Congo où cette activité n’est pas subventionnée. »

« Chaque année, nous envoyons des courriers, mais nous n’avons toujours pas gain de cause. Nous ne baisserons pas les bras», a-t-elle dit.

La présidente du Comico a ainsi précisé que c’est pour des raisons économiques que le comité miss Congo n’a pas pu organiser la 19e édition en juillet dernier. Par contre, la vingtième  édition aura bel et bien lieu au mois de juillet 2017. Comme quoi, la miss Congo 2016 ne régnera que pendant 9 mois.

La miss Congo doit être de nationalité congolaise, âgée entre 18 et 25 ans, mesurant entre 1,68m et 1,75m, célibataire et ne pas avoir d’enfants, être belle et charmante, surtout disposer d’une beauté intellectuelle.

Pour cette année, parmi les 27 candidates, il y a quinze  étudiantes. Une grande joie pour le Comico d’avoir des étudiantes comme candidates, alors que par le passé, elles ne se présentaient pas, minimisant ce concours de beauté. 

Arrielle KAMBISSY

Créé le 2016-10-15 08:57:21

Sassou Nguesso veut renforcer l'Etat de droit en construisant des centres pénitentiaires

Le président congolais, Denis Sassou Nguesso, déterminé à maintenir la paix dans son pays, a rappelé jeudi au gouvernement la nécessité pour le renforcement de l'Etat de droit et de procéder dans les meilleurs délais à la construction de centres pénitentiaires.

Créé le 2016-10-15 08:46:31

Congo : Un projet de décret portant organisation et fonctionnement du Comité National du Dialogue social

Le ministre congolais du Travail et de la Sécurité Sociale, Emile Ouosso a soumis à l’examen du Conseil des Ministres de jeudi dernier, un projet de décret portant organisation et fonctionnement du Comité National du Dialogue social.

Créé le 2016-10-15 08:11:32

Un bébé mis en vente 5000 euros sur ebay

Un bébé, âgé de 40 jours, a été mis en vente sur ebay pour la somme de 5000 euros.

Créé le 2016-10-14 12:35:55

Nigeria - Terrorisme : 21 lycéennes de Chibok libérées par Boko Haram

Vingt-et-une lycéennes de Chibok, enlevées par le groupe jihadiste nigérian, Boko Haram, il y a plus de deux ans, ont été libérées par leurs ravisseurs jeudi. Les jeunes filles ont été "échangées contre 4 prisonniers de Boko Haram.

Après l'échange coordonné par le CICR, les jeunes filles ont été emmenées à Maiduguri, capitale du Borno, par hélicoptère, avant de rallier par route la capitale administrative Abuja.

Garba Shehu, porte-parole de la présidence, a confirmé la libération, "facilitée par le CICR et le gouvernement suisse" dans un communiqué, sans toutefois évoquer un quelconque échange de prisonniers.

"Le président Muhammadu Buhari se félicite de la libération des filles, mais rappelle aux Nigérians que plus de 30.000 citoyens ont été tués par le terrorisme" de Boko Haram, ajoute le communiqué, précisant que les noms des jeunes filles libérées seraient bientôt dévoilés.

Le mouvement Bring Back Our Girls - qui lutte pour la libération de plus de 200 jeunes filles de Chibok kidnappées en avril 2014 alors qu'elles passaient leur examen -, a déclaré attendre la confirmation de leurs identités.

Parmi les 276 lycéennes enlevées, 57 avaient réussi à s'échapper juste après le rapt, et l'une d'elles a été retrouvée par l'armée au mois de mai.

Relayé par les médias du monde entier, ce kidnapping de masse a provoqué une vague d'indignations mondiale, jusqu'à la Maison Blanche à Washington, où Michelle Obama avait brandi une pancarte avec le hashtage #Bring back our girls ("ramenez-nous nos filles"), relayé sur Twitter.

Arrielle KAMBISSY

Créé le 2016-10-14 07:59:57

Congo – Santé : La menace de grève désamorcée au CHU de Brazzaville

La menace de grève qui couvait au CHU a été levée. La collaboration entre la direction générale et les syndicats a permis de dissiper les malentendus.

Le 12 octobre, la directrice générale du CHU, Gisèle Ambiero, a rencontré les délégués du personnel et le collège syndical (le Synamec, la CSTC et la CSC). Les pistes de solutions aux revendications et réclamations de ceux-ci étaient au menu des échanges.

Les deux parties ont résolu de travailler main dans la main, de façon responsable, pour résoudre les problèmes auxquels le personnel du Centre Hospitalier et Universitaire (CHU) est confronté.

Les retards du paiement des salaires, la dette sociale, la vérification des diplômes des employés du CHU, les relations entre l’administration et les partenaires, l’harmonisation des allocations familiales, la révision du règlement intérieur ont figuré parmi les points à l’ordre du jour de ces débats dirigés par le directeur départemental du travail, Gabriel Monka.

Sur le retard du paiement des salaires, Gisèle Ambiero a expliqué aux délégués du personnel les contours qui alourdissent le processus avant de préciser que la direction générale, à l’œuvre depuis janvier dernier, a déjà entamé les procédures pour résoudre le problème.

À propos de la dette sociale (indemnités de fin de carrière, capitaux de décès), la directrice générale a déjà mis en place une commission qui est à pied d’œuvre. Les travaux de cette commission qui ont été suspendues reprendront d'ici peu.

Lors de cette réunion, les délégués du personnel et le collège syndical ont fait des propositions qui ont été prises en compte par la direction générale.

Pour Gisèle Ambiero, le CHU ne peut pas cesser de fonctionner. Tout doit être fait en toute responsabilité, tant par les délégués du personnel, le collège syndical et la direction générale pour que cet établissement hospitalier réussisse à relever les défis qui se présentent à lui à savoir,« L’amélioration de l’offre des soins de santé, la meilleure prise en charge des malades pour l’intérêt des Congolais ».

Arrielle KAMBISSY

Créé le 2016-10-14 07:11:25

Congo – Parlement : Un député est porté-disparu, le bureau de l'assemblée reste muet

Député de Lékana, ancien ministre, président du CADD, André Okombi Salissa n'est ni visible, ni entendu depuis quelques mois déjà. Dire que l'homme se serait subitement volatilisé, au point d'en déduire qu'il est porté disparu.

« Okombi ? Mais, tu ne connais pas la nouvelle ! Il est désormais loin. C'est là, au pont du Djoué, qu'il était passé, au nez et à la barbe des militaires, à bord d'une ''moto Djakarta'', casquette vissée sur la tête ».

Tels sont parmi tant d'autres, les ragots que l'on entend à travers les rues de Brazzaville où depuis bientôt six mois, « Okombi-tout-bouge » a cessé de bouger.

Mais où est donc passé André Okombi Salissa ? Alors que son mandat s’achève en principe le 15 juillet 2017, le député de la circonscription unique de Lekana, ne siège plus depuis lors à la chambre basse du parlement. Officiellement, nulle correspondance d'excuse, justifiant son indisponibilité ou son empêchement n'aurait été reçue par le bureau de l'assemblée.

Cette absence, comme celles d'autres députés dans la même situation ou régulièrement absents, semble bénéficier d'un vide juridique qui conforte tout le monde, au cas où...

Rumeur ou réalité, le suppléant d'André Okombi Salissa siégerait dorénavant à sa place. Le bureau de l'assemblée n'a ni confirmé ou infirmé officiellement cette rumeur.

Alors, dans les conditions d'une indisponibilité constatée, à quand l'élection partielle dans cette circonscription de Lekana devenue sans député ?

Le député de Lekana pointe désormais aux abonnés absents

Entre-temps, les actions de police se suivent chez Okombi Salissa et auprès de ses proches. Perquisition de domiciles par ici, arrestation de proches par là,  ou encore des « saisies d'armes et de munitions chez l'une de ses épouses », ainsi que l'on rapporté certains journaux de la place. Lesquels journaux ont même affirmé que désarmés naguère, le pasteur Ntoumi et les ninjas se seraient réarmés grâce à l'approvisionnement en armes et munitions d'André Okombi Salissa.

Difficile de démêler le vrai du faux car, même le pouvoir judiciaire semble inhibé. Il n'a à ce jour pas demandé la levée de son immunité parlementaire, même si André Okombi Salissa est devenue un député « fantôme ».

Le gouvernement non plus, ne communique pas et n'anticipe pas. Il en sera ainsi jusqu'au jour où il se sentira accusé, d'une façon ou d'une autre dans cette affaire. Alors, le gouvernement livrera comme à son habitude, son démenti officiel, méconnaissant même le principe « qu'un démenti ne suffit pas à effacer tout le mal que peut causer une nouvelle erronée ».

Entre-temps les ragots vont bon-train. Il faut bien que la rue trouve réponse à des questionnements complexes, surtout en ces temps où tous les yeux et les oreilles sont orientés vers la situation du Pool, on se délecte des ''scoops'', d'où qu'ils viennent.

Pendant que certains affirment mordicus qu'André Okombi Salissa qui serait passé au pont du Djoué à bord d'une moto Djakarta, aurait rallié Boko-Songo puis atteint Kimongo, à quelques encablures du Cabinda, où un hélicoptère affrété par le président Do Santos l'aurait récupéré, car une de ses sœurs serait la maîtresse de Do Santos, d'autres affirment, pince-sans-rire, que trois généraux influents l'auraient exfiltré de Brazzaville à bord d'un taxi, vers Impfondo, puis, hors du Congo, d'autres encore le confirment être présent aux États-Unis.

Entre-temps, lui fait le mort. Mais, où est-il ?

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2016-10-14 06:13:19

«Brazza», la série policière tournée au Congo par le britannique Idris Elba

L'acteur britannique d'origine ghanéenne et sierra-léonaise, Idris Elba a décidé de produire « Brazza », une série policière et se dit « fier » de camper l'intrigue au Congo-Brazzaville, où seront tournés les épisodes.

Créé le 2016-10-14 05:40:59

La dernière journée du championnat national débute ce samedi au stade Alphonse-Massamba-Débat

La dernière journée du championnat national débute ce samedi 15 octobre au stade Alphonse-Massamba-Débat de Brazzaville. Au menu : Interclub-Etoile du Congo et la Jeunesse sportive de Talangaï (JST)-Patronage Sainte-Anne.

Créé le 2016-10-14 05:20:00

Thaïlande - Décès : Le roi Bhumibol Adulyadej est mort !

Le roi de Thaïlande Bhumibol Adulyadej est décédé jeudi, après 70 ans d'un règne ayant fait de lui le plus vieux monarque en exercice.

La Thaïlande plonge dans une ère de grande incertitude après le décès du roi Bhumibol Adulyadej, est en raison de son statut de père de la Nation.

"Il est mort paisiblement à l'hôpital Siriraj", a annoncé un communiqué du palais royal.

Un peu plus tard, toutes les chaînes de télévision se sont interrompues, présentant un écran gris et dans l'enceinte de l'hôpital où il était soigné des centaines de gens s'écroulaient en pleurs.

Le chef de la junte a annoncé un an de deuil suite au décès du monarque.

Agé de 88 ans, le roi était considéré comme le seul ciment d'une nation très divisée politiquement. Il était monté sur le trône en 1946, après la mort inexpliquée de son frère et beaucoup de Thaïlandais n'ont jamais connu d'autres souverains.

Bhumibol Adulyadej, hospitalisé depuis deux années, quasiment en continu, notamment pour des infections pulmonaires et de l'hydrocéphalie, n'était pas apparu en public depuis près d'un an.

Son fils, le prince Maha Vajiralongkorn, âgé de 64 ans, doit lui succéder sur le trône. Bien moins connu et vénéré par les Thaïlandais que son père, il vivait jusqu'ici la plupart du temps en Allemagne.

Le prince, de formation militaire, notamment à l'Académie de Duntroon, en Australie, a un grade honorifique de général au sein de l'armée. Ces dernières années, il a souvent remplacé son père lors de cérémonies officielles mais ses prises de parole restent rarissimes.

Bhumibol Adulyadej avait un statut de demi-dieu en Thaïlande, héritage de décennies de culte de la personnalité. Chez les particuliers, dans les administrations, dans les écoles, ses portraits sont omniprésents à travers le pays et le culte de la personnalité a encore été renforcé depuis le coup d’État militaire du 22 mai 2014.

Benoît BIKINDOU

 

Créé le 2016-10-13 16:49:20

Centrafrique – Climat de tension : Nouvelles flambées de violences meurtrières dans le centre du pays

Des sources communautaires et sécuritaires font état d’au moins treize morts dans les violences de mercredi et signalent le déplacement de plusieurs centaines de personnes à Kaga-Bandoro, dans le centre du pays.

À l’origine de cette flambée de violences, une tentative de braquage dans la nuit de mardi à mercredi.

Deux éléments de l'ex-Seleka, ont tenté de voler le groupe électrogène appartenant à une radio communautaire et gardé chez un habitant dans le quartier « TP ».

L'un des voleurs a été abattu d'une flèche, le second, grièvement blessé a réussi à s’enfuir.

Habitués des méthodes musclées, les combattants ex-Seleka présentés comme appartenant au MPC (Mouvement patriotique pour la Centrafrique) du général Mahamat al-Khatim auraient organisé des représailles. Ils s'en sont pris aux déplacés installés à l'évêché de Kaga-Bandoro, pillé l’évêché et la résidence de l’évêque. Ils ont aussi incendié les cases des riverains et tué plus d’une dizaine de personnes. Treize personnes tuées, seraient brûlées vives.

La riposte de la Minusca les a mis en déroute. On évoque le déplacement d’au moins 5000 personnes vers la base de la mission en RCA et 250 autour de l’Unicef.

Le climat est tendu. Les habitants restent sous le choc.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2016-10-13 08:17:30

Les passagers voyagent trois heures à côté d'un cadavre

La scène s'est produite la semaine dernière durant un vol reliant Antalya à Moscou. L'avion avait décollé depuis 45 minutes lorsqu'une passagère, qui souffre de diabète, a fait un malaise.

Créé le 2016-10-13 07:29:00

France – Politique : Primaire à droite, jour ''J'' pour le grand oral

Ils sont sept candidats pour ce débat, prêts à en découdre, des attaques quotidiennes, des sondages inquiétants pour les uns, enthousiasmants pour les autres.

Le premier débat télévisé de la primaire à droite de ce jeudi 13 octobre, sur TF1 à 21 heures, en partenariat avec RTL et Le Figaro, aura lieu dans un contexte extrêmement tendu.

Avant ce grand oral, les principaux prétendants ont donné le ton en s’invectivant sur leurs démêlés judiciaires.

Alors que les sarkozystes tentent d’affaiblir Alain Juppé en rappelant qu’il a été condamné en 2004 dans l’affaire des emplois fictifs de la Mairie de Paris, le maire de Bordeaux a riposté lourdement, lundi soir: « En matière judiciaire, il vaut mieux avoir un passé qu’un avenir. » Une pierre dans le jardin de Nicolas Sarkozy, mis en examen dans l’affaire Bygmalion pour financement illégal de sa campagne présidentielle de 2012 et sous la menace d’un procès.

Nicolas Sarkozy avait lancé, le 5 octobre, sur Radio Classique : « Je fais de la politique depuis trente-cinq ans, je n’ai jamais été une seule fois condamné. »

Pour se démarquer, Bruno Le Maire et François Fillon ont, eux, fait valoir qu’ils n’avaient jamais été concernés par une procédure judiciaire.

De son côté, Jean-François Copé multiplie les accusations contre l’ex-chef de l’État sur le dossier Bygmalion.

Dans ce climat houleux, les sept candidats vont se retrouver pour la première fois depuis le début de la campagne sur le même plateau. L’enjeu est important. D’abord parce que ces joutes télévisées sont souvent très suivies.

En 2011, le premier débat de la primaire du Parti socialiste (PS) avait réuni 4,9 millions de téléspectateurs.

L’image dégagée par les candidats de la droite sera cruciale devant des millions de téléspectateurs. Les organisateurs veulent éviter deux écueils : un débat lénifiant ou une foire d’empoigne incompréhensible.

« C’est la première grande vitrine de la primaire, observe Thierry Solère, président du comité d’organisation. Il faut éviter un pugilat comme aux États-Unis entre le candidat républicain Donald Trump et son adversaire démocrate Hillary Clinton mais avoir un vrai débat démocratique, pas aseptisé, où chacun défend ses propositions. »

Les deux grands thèmes abordés seront l’économie et le régalien. Le débat devrait porter sur le chômage, la sécurité et l’immigration.

Afin de dynamiser les échanges, chaque candidat ne pourra parler plus d’une minute et les concurrents auront le droit de s’interpeller et de répondre.

Benoît BIKINDOU

 

Créé le 2016-10-13 07:19:43

Première édition de l’élection Miss et Mister RDC international en décembre à Paris

Les préparatifs vont bon train pour la finale de la première édition de l’élection Miss et Mister RDC international qui aura lieu le 10 décembre prochain à Paris, la capitale française. Les candidats en lice ont choisi la Maison des Jeunes et de Culture Les Haut de BelleVille dans le 20ème arrondissement de Paris pour se préparer au challenge.

Créé le 2016-10-13 07:04:16

Gabon : Marche du 15 octobre en France pour s’opposer au pouvoir de Libreville

Des Gabonais, proches de l’opposition, vont organiser, dans toutes les grandes villes françaises, des marches afin de protester, selon les organisateurs « contre le coup d'Etat militaro-électoral qui a lieu au Gabon ».

Créé le 2016-10-13 06:38:51

Congo – Justice : Maître Maurice Massengo Tiassé sous le coup d'un mandat d'arrêt

Maître Maurice Massengo Tiassé, deuxième vice président de la commission nationale des droits de l'homme au Congo-Brazzaville a maille à partir avec la justice de son pays.

Le ministre de la Justice et des droits humains, Pierre Mabiala, a fait injonction le 12 octobre à Brazzaville au procureur général près la Cour d’appel de Brazzaville aux fins des poursuites judiciaires contre Maurice Massengo Tiassé.

Le ministre Pierre Mabiala a déclaré être en possession d'informations faisant état de détention illégale d’armes et de munitions de guerre, d’atteinte à la sécurité intérieure de l’État et d’association de malfaiteurs par Maurice Massengo Tiassé, avocat et premier vice-président de la Commission nationale des droits de l’Homme.

Toujours d'après le ministre de la Justice, le susnommé serait parmi les complices de Frédéric Bintsamou alias pasteur Ntoumi, chef des miliciens ninjas auteurs d'actes crapuleux, barbares et terroristes dans le département du Pool, à l'origine de la mort de plusieurs personnes et de la destruction de biens publics et privés.

« La République du Congo ayant ratifié les Conventions internationales en matière de droits de l’Homme et signé des accords de coopération judiciaire, nul ne peut, après commission d’une infraction pénale, prétendre échapper à la rigueur de la loi. Au Congo, les standards internationaux, dont le tout premier est la justice, sont désormais mis en exergue », a commenté Pierre Mabiala.

Ces poursuites judiciaires à l'endroit de Maître Maurice Massengo Tiassé sont taxées de ''non sens'' par l'intéressé qui a aussitôt réagi, dénonçant « une machination politique sans fondement visant à le faire taire, parce que détenant des preuves compromettantes sur la situation en cours au Congo ».

Un observateur de la vie politique congolaise ne s'est pas empêché de dire : « le ministre Mabiala serait comme un arbitre dépassé par les événements, couvrant son incapacité par la distribution de cartons rouges à tout va. Après Alain Mabangou, c'est Massengo Tiassé qu'il poursuit. À ce rythme, il enverra tout le monde en prison ».

Maître Massengo Tiassé qui se dit sans ambage "homme des réseaux internationnaux", raconte souvent à qui veut l’entendre qu’il se ballade avec, en permanence, des grenades dans sa veste. « Quiconque me veut du mal explose avec moi  ». Ces « grenades judiciaires  » comme il les nomme seraient cachées en des lieux sûrs. C’est-à-dire à l’étranger.

Très proche du président Denis Sassou Nguesso à la chute du président Pascal Lissouba, maître Massengo Tiassé s'est au fil des ans petit à petit éloigné du président de la république vis à vis de qui il a eu un discours des plus acerbes, relayée par la radio Forum, un média couplé à une télévision qu'il animait à Brazzaville.

Depuis la survenue des événements du Pool, après ceux du 4 avril, Maître Massengo Tiassé n'a cessé de donner de la voix pour présenter ce qui serait la vérité de la situation « occultée » selon lui par le gouvernement sou-tendue en cela par une interview réalisée au téléphone avec le pasteur Ntoumi, depuis sa cachette du Pool. À la fin de cette interview, il exhortait Ntoumi « à tenir bon ».

Le 13 septembre dernier, Maitre Massengo-Tiassé qui désormais fait feu de tout bois, a assisté à l'ouverture de la 33e session du Conseil des droits de l'homme de l'ONU à Genève. Il avait auparavant adressé auprès dudit Conseil à Genève le 11 août 2016, un rapport supervisé par lui, en sa qualité de deuxième vice-président de la Commission nationale des droits de l'homme du Congo-Brazzaville, sur la situation des prisonniers politiques au Congo Brazzaville, avec en annexe la liste de 90 noms desdits prisonniers.

Arrielle KAMBISSY

Créé le 2016-10-13 06:13:43

R D Congo – Sécurité : L'ONU met en garde contre les violences à grande échelle

La crise politique née de l'apparente volonté du président Joseph Kabila de rester à la tête de la République démocratique du Congo est susceptible de dégénérer en violences de masse dans le pays, a prévenu mardi l'envoyé spécial des Nations unies.

"La République démocratique du Congo est entrée dans une période extrêmement risquée pour sa stabilité", a déclaré Maman Sambo Sidikou devant le Conseil de sécurité, ajoutant qu'il n'y avait "pas de solution immédiate en vue" à la crise.

Toutes les parties semblent "de plus en plus vouloir recourir à la violence" et les perspectives de négociations politiques s'amenuisent.

 "Si l'on continue dans cette trajectoire je pense que des violences à grande échelle sont inévitables", a poursuivi Maman Sambo Sidikou.

Une série d'affrontements meurtriers s'est produite en septembre dans la capitale Kinshasa, quand des manifestations de l'opposition demandant la démission de Joseph Kabila ont été réprimées par la police.

La mission de l'ONU sur place avait noté l'implication de la garde présidentielle de Joseph Kabila dans ces violences, mais des "acteurs non étatiques" étaient aussi en cause.

Maman Sambo Sidikou qui est aussi à la tête de la mission de maintien de la paix en RDC (Monusco), qui compte 22.000 hommes, a prévenu que celle-ci serait dans l'impossibilité de garantir la protection des civils si le pays tombe dans le chaos.

De nouveaux rassemblements de l'opposition sont prévus le 19 octobre et Maman Sambo Sidikou a appelé les Nations unies et les acteurs régionaux à favoriser le dialogue.

L'ambassadeur de la RDC à l'ONU Ignace Gata Mavita a lui décrit devant le Conseil de sécurité les manifestations de septembre comme "une véritable insurrection", accusant les manifestants d'avoir violé et tué une fillette de 12 ans qui allait à l'école.

"Des conseils ou des suggestions sont les bienvenus", a-t-il lancé aux acteurs étrangers, "par contre aucune invective ni injonction de quelque nature que ce soit n'est acceptable".

Benoît BIKINDOU

Créé le 2016-10-12 09:02:53

Un chauffeur-routier fauche une maman et ses 3 enfants parce qu'il utilisait son iPhone

Un chauffeur routier changeait la musique de son iPhone lorsqu'il a perdu le contrôle de son poids-lourd et a quitté la route, avant de percuter plusieurs voitures sur l’autoroute de l’Oxfordshire, un comté au sud de l’Angleterre.

Créé le 2016-10-12 08:27:30

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