Congo : Une campagne lâche et hideuse contre le ministre d'État Pierre Mabiala, mais à quelles fins ?

La vie est un combat de tous les instants, a-t-on coutume de dire. Mais, il est des agressions telles la calomnie et la médisance véhiculées par des esprits malintentionnés, qui ne valent pour riposte, que le mépris qu’impose la hauteur de vue et la grandeur d’âme des personnes attaquées. C’est à l’évidence la leçon qu’enseignent les attaques dont est victime le Ministre d’État Pierre Mabiala. « Le meilleur savoir-faire n’est pas de gagner cent victoires dans cent batailles, mais plutôt de vaincre l’ennemi sans combattre », a écrit Sun Tzu, dans L’Art de la Guerre.

Descendre dans l’arène pour affronter des adversaires dont la lâcheté des actions se dissimule sous le couvert anonyme des réseaux sociaux, en leur opposant une riposte quelle qu’elle soit, équivaudrait à faire honneur à des minables esprits qui à l’évidence, n’ont pas le courage de leurs opinions.

La campagne de calomnie dont est victime le Ministre d’État Pierre Mabiala et qui faute pour lui, d’y avoir répondu, et à l’évidence prêté le flanc, se révèle une basse œuvre en train de mourir de son propre venin, faisant comprendre à ses auteurs, que lorsque l’on engage un combat, il faut s’aviser à l’avance si on est en mesure de le remporter.

Même si la vague de mensonges savamment orchestrée contre le Ministre d’État Pierre Mabiala est allée crescendo en se donnant une sorte de logique de l’action, en insinuant l’empoisonnement du ministre, sa maladie, son évacuation sanitaire, son agonie puis son décès, en passant par des incendies mystiques à son domicile, ceux qui ont élaboré, concocté et distillé ces rumeurs avaient sans doute un but. Atteindre par tous les moyens, un homme avec lequel ils ne peuvent lutter en toute loyauté.

Bien-sûr qu’ils sont conscients qu’ils sont disqualifiés, de par leur manque de stature, cette capacité à affronter un adversaire dont on sait à l’avance qu’il vaut plus que soi-même et qu’on ne lui arrive pas à la cheville.

Alors, on fait comme le professe Machiavel : « quand on commence une guerre, ce n’est pas le droit qui compte, mais la victoire. Qu’importe si elle est une victoire à la Pyrrhus.

Le Ministre d’État Pierre Mabiala étant un Homme politique ; la politique, ce domaine de la perpétuelle confrontation des idées, est-ce à voir que c’est de ses adversaires politiques que viendraient ces menaces, véhiculées par ceux qui seraient leurs sous-fifres ?

Certains y ont établi une relation de cause à effet entre leurs rumeurs et l’affaire qui défraie la chronique, celle des terres congolaises, mises à la disposition des opérateurs économiques rwandais.

Sur cette question non plus, les pourfendeurs du Ministre d’État ont oublié que quoi qu’étant Ministre en charge des Affaires foncières et du domaine public, les actions qu’il entreprend, s’inscrivent dans une dynamique d’ensemble, celle du gouvernement dont il tient la feuille de route. Des actions qui engagent l’ensemble de l’exécutif, au premier rang duquel, son chef qui en garantit la cohésion.

Dire que sur toute la ligne, ceux qui ont véhiculé des rumeurs mensongères sur le Ministre d’État Pierre Mabiala, ruminent l’immensité de leur échec, tant, malgré la violence de celles-ci, l’Homme ciblé et visé, demeure serein, indifférent à ces plaisanteries de mauvais goût.

De tout temps, Pierre Mabiala a toujours tracé son chemin avec une force de conviction dont il assume les idées qu’il promeut et dont il ne se cache pas du reste. Nombreux de ceux qui se sont souvent mis en travers de son chemin, parce dépourvus de vision prospective et lents à l’assimilation des mécanismes politiques, s’en sont en fin de compte retrouvés confondus, toute honte bue.

Qui donc le Ministre Pierre Mabiala gênerait-il ou ferait-il de l’ombre, et pourquoi, au point de lui souhaiter la mort, en la mettant carrément en scène au moyen d’un communiqué nécrologique diffusé sur les réseaux sociaux, comme si ces apprentis-sorciers adressaient une prière au bon Dieu ?

Sans doute, ces pseudos adversaires ou plutôt ennemis du Ministre d’État Pierre Mabiala, conscients du charisme et de la notoriété qu’il dégage et persuadés du fait qu’un affrontement ouvert avec lui est d’avance voué à l’échec, se sont rabattus sur les méthodes de voyous, actant en désespoir de cause, qu’ainsi que le dit le proverbe arabe : « la main que tu ne peux briser, baise-là et prie Dieu de la briser pour toi ».

Il en résulte alors que cette action macabre menée contre le Ministre d’État Pierre Mabiala, est pour ses auteurs, et leurs commanditaires, l’aveu de leur infériorité qui se décline par un manque de courage, pour lequel faute de mieux, ils privilégient les arguments de la force vile, plutôt que la force des arguments.

Envers ces galopins qui pensaient qu’à la suite de toutes ces attaques, le Ministre d’État Pierre Mabiala prendrait la parole pour se défendre, la force de son silence a dû siffler dans leurs oreilles, au point de les désarçonner et les ramener à l’évidence de ce qu’ils sont réellement. Ceux envers lesquels on oppose le silence pour toute réponse.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville