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Kimongo : Entre l’antiquité et modernisme

Erigée en commune urbaine, Kimongo est l’une des localités du département du Niari qui ressemble à un grand village. La ville est dépourvue presque de toutes les commodités d’usages. Pas d’eau potable ni d’électricité. Son dénuement est favorisé par l’inexistence d’une route pratique à toutes saisons.

Créé le 2017-01-19 09:42:05

Gambie – Crise électorale : La CEDEAO recourt à la force pour chasser Yahya Jammeh

Les troupes de la CEDEAO massées à la frontière gambienne attendent la fin de l'ultimatum et l'ordre d'engagement.

Les opérations militaires ont démarré pour déloger le président Yahya Jammeh qui refuse de céder le pouvoir après sa défaite à la présidentielle du 1er Décembre dernier.

L'information qui a été donnée par la radio privée sénégalaise “La Rfm” a été confirmée par le Chef d’état major de la force en attente de la CEDEAO. “Nous sommes à la fin de la préparation, nous attendons les négociations politiques. Mais si d’ici minuit rien n’est fait, conformément à la décision des chefs d’États de la CEDEAO, nous engageons les hostilités… » a dit le colonel major Nigérien, Seydou Maiga Morro.

De source militaire, on avance que : « toutes les forces de la CEDEAO sont concernées mais principalement le Nigeria, le Sénégal, le Ghana, le Togo et le Mali…».

Mercredi, les députés gambiens ont adopté une résolution pour permettre à Yahya Jammeh de rester au pouvoir pendant trois mois de plus.

Une autre résolution prise par le parlement condamne l'ingérence « illégale » des organisations telles que la CEDEAO, le Conseil de paix et de sécurité de l'UA, le gouvernement du Sénégal et le représentant du Sénégal au Conseil de sécurité de l'ONU dans les affaires intérieures de la Gambie.

Benoît BIKINDOU

Créé le 2017-01-19 09:04:37

La réponse sur la levée ou non de l’immunité parlementaire d’Okombi Salissa sera donnée jeudi

La réponse sur la levée ou non de l’immunité parlementaire de André Okombi Salissa, candidat malheureux à la présidentielle du 20 mars 2016 sera donnée ce jeudi.

Créé le 2017-01-18 12:12:15

Afrique Centrale – CEEAC : Les échanges intra-régionaux restent faibles

Selon les experts de la communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC), le commerce intra-régional reste un potentiel sous exploité. Dans cette partie du continent qui compte pas moins de 160 millions d’habitants, répartis sur 6,6 millions km2, les transactions commerciales entre États représentent 1,5 milliard de dollars, soit 2% du total des échanges de la région.

D’après le rapport sur les défis et perspectives du commerce en Afrique centrale, «la région Afrique centrale devrait constituer un marché important pour les États membres dont les économies subissent de plus en plus les effets négatifs des chocs exogènes au point d’entraver leurs objectifs de développement».

À l’analyse, poursuit le rapport, «les échanges intra-communautaires sont non seulement marginaux mais aussi peu diversifiés».

En observant de près la situation, l’on se rend compte que deux pays affichent une dimension communautaire dans leurs transactions commerciales avec les autres États : le Cameroun et le Guinée équatoriale.

Pour le premier, dont l’économie est plus diversifiée, le taux d’échanges intra-communautaires s’élève à 30% ; tandis que pour le second, ses exportations ne reposent que sur les hydrocarbures et ne plafonnent qu’à 10%.

«Par ailleurs, entre le Congo, le Gabon et l’Angola se développe un important trafic autour des matériels de transport maritime et des plateformes pétrolières qu’on n’assimile pas toujours au véritable commerce. Ceci explique pourquoi ces pays réalisent les plus importantes importations : 25% pour le Congo, 25% pour l’Angola », relève le rapport.

Pour la CEEAC, «l’offre exportable de la sous-région reste encore dominée par des produits de rente. Les produits manufacturés qui font l’objet d’un commerce régional sont encore très peu compétitifs.

Dans un tel contexte, souligne le rapport, il existe très peu de complémentarités en termes d’offre pouvant générer un flux important de commerce».

Au-delà de la faiblesse de la base exportable, la CEEAC doit relever les défis de l’opacité et de l’accès irrégulier à l’information commerciale, la non application des dispositions communautaires, des surcoûts importants sur les transactions commerciales ou encore la faible productivité des entreprises de la région.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-01-18 09:06:49

Côte d'Ivoire – Mutinerie : Alassane Ouattara a donné la main, les militaires veulent à présent le bras

Un nouveau soulèvement militaire parti de Yamoussoukro secoue la Côte d’Ivoire depuis mardi matin, au lendemain du règlement d’une partie des primes réclamées la semaine dernière par des mutins issus des forces armées. Un mort est à déplorer.

Le mouvement de protestation armé qui s’est déclenché mardi 17 janvier au matin a pour épicentre Yamoussoukro. Il a d’abord pris forme au centre d’instruction et de formation militaire de Zambakro, situé à moins d’une dizaine de kilomètres de la capitale. Un mort à Yamoussoukro, des négociations sont en cours.

Les mutins ont attaqué l’armurerie du camp et en ont emporté les armes.

Des habitants d’Abidjan, la capitale économique ivoirienne, ont entendu des tirs en provenance du camp commando et du camp de l’escadron de la gendarmerie à Abobo, dans le nord-est de la ville. "Des tirs nourris proviennaient de ces deux camps situés dans une commune plutôt favorable au président Alassane Ouattara".

Avant 1h du matin mercredi, heure locale, ces tirs avaient cessé. Il s’agit d’un groupe différent de celui des militaires mutins révoltés depuis 10 jours.

Le nouveau groupe exige à son tour d’être payé comme les mutins dont certains ont perçu cinq millions CFA, retombées des négociations qui ont suivi la mutinerie. 

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-01-18 08:39:36

RDC – Transition politique : La messe n'est toujours pas dite

C'est ce mercredi, que les négociations devraient reprendre sur l'arrangement particulier en RDC. En attendant, les discussions informelles se poursuivent entre les parties pour bâtir un consensus autour de deux volets clefs de la mise en œuvre de l'accord signé le 31 décembre : le partage effectif du pouvoir et le chronogramme de mise en application de l'accord. Certaines mesures devaient entrer en application dès la signature, d'autres, quinze jours après, mais les délais ont expiré et rien ou presque ne s'est passé.

Sur les mesures de décrispation, il n’y a pas de calendrier précis sur les libérations et retours d'exil. Mais l'accord avait entériné la libération de l'opposant Moïse Moni Della qui est toujours en prison et l'arrêt des poursuites contre trois exilés politiques. À ce jour, seul Roger Lumbala est rentré. « Rien n'empêche les deux autres de faire de même », assure un officiel.

Quelques libérations depuis la signature de l'accord sur plusieurs centaines de cas avancés, ce que dénoncent les organisations de défense des droits de l'homme.

De même, aucun média n’a été rétabli dans ses droits sur la quinzaine répertoriés, c'était pourtant prévu dans les 15 jours.

Le porte-parole du gouvernement avait lui-même rappelé ce délai après la signature. De même, aucun membre du Conseil supérieur de l'audiovisuel congolais n'a démissionné alors qu’ils auraient dû être remplacés dans les 14 jours.

Pas de démission non plus du côté de la Commission électorale. L'UDPS et le MLC l'ont tous deux demandé à leur représentant, comme l'accord les y autorise. Les lettres ont bien été reçues, mais la démission est volontaire.

« Pendant ce temps, on travaille », rétorque-t-on du côté de la Céni.

Arrielle KAMBISSY

Créé le 2017-01-18 08:11:58

Gambie – Crise politique : Yahya Jammeh décrète l'état d'urgence, alors que des soutiens l'abandonnent

Estimant que la situation actuelle dans le pays est marquée par une certaine « interférence étrangère », Yahya Jammeh a décrété mardi l'état d'urgence, alors que dans le même temps, trois ministres ont choisi de quitter le gouvernement.

Président ou ex président, Yahya Jammeh semble désormais engagé dans l'épreuve de force pour se maintenir au pouvoir, en dépit de sa défaite à la présientielle, un temps reconnue puis récusée.

Alors que la pression internationale monte avec notamment sa non reconnaissance par l'Union africaine à la date du 19 janvier, Yahya Jammeh gagne du temps et joue au pourrissement.

Conforté par l'allégeance d'une partie de l'armée qui lui reste fidèle, l'homme a décrété l'état d'urgence et concentre désormais tous les pouvoirs. Cet état d'exception peut durer jusqu'à 90 jours selon la constitution gambienne, si le parlement venait à le prolonger.

Malgré le soutien de l'armée, l'exécutif quant à lui, se lézarde. Trois ministres ont rendu leur tablier, celle des Affaires étrangères, le ministre des Finances et celui du Commerce. Pour ne pas laisser les postes des démissionnaires vacants, Yahya Jammeh a procédé aussitôt à leur remplacement. 

D'autre part, le maire de Banjul, Abdoulie Bah, qui avait reconnu en décembre dernier la victoire du président élu Adama Barrow a abandonné son poste pour se réfugier au Sénégal. 

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-01-18 07:51:45

Congo – Parlement : Ouverture de la 7ème session extraordinaire de l'assemblée nationale

La 7ème session extraordinaire de l'assemblée nationale consacrée à l'examen de la levée de l'immunité parlementaire de André Okombi Salissa s'est ouverte ce mardi à Brazzaville.

Dans son mot introductif, le deuxième questeur de l'assemblée, Joseph Kignoumbi-Kia-Mboungou a rappelé que la présente session qui se tient à la demande du président de la république comporte une seule affaire ; l'examen de la levée de l'immunité parlementaire du député André Okombi Salissa.

Dans son propos liminaire, le président de l'assemblée nationale Justin Koumba a évoqué les dispositions de l'article 130 et rappelé toutes les possibilités qui relèvent de l'immunité parlementaire qui protège le député au cours de son mandat et après son mandat, des opinions émises pendant qu'il exerçait.

En date du 19 décembre 2016 a t-il précisé, l'assemblée nationale avait été saisie par une lettre du procureur de la république qui, dans l'affaire ministère publique et l'État congolais contre madame Okombi, Ngambou Roland et autres, présentait un réquisitoire supplétif demandant la levée de l'immunité parlementaire de André Okombi Salissa.

Justin Koumba a demandé aux députés d'examiner cette affaire dans la plus grande sérénité.

Après la suspension de séance, les députés vont se retrouver en séance plénière pour leurs travaux.

Il est à noter l'absence au cours de cette session, du ministre délégué auprès du premier ministre, chargé des relations avec le parlement, Digne Elvis Tsalissan Okombi s'est fait représenter par son collègue ministre délégué auprès du ministre de l'intérieur, de la décentralisation et du développement local, chargé de la décentralisation et du développement local, Charles Ngamfoumou.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-01-17 11:02:17

Gambie : Dans l'attente de son investiture, Adama Barrow endeuillé par la mort de son fils

Le Président élu de la Gambie, Adama Barrow est en deuil. Il a perdu son garçon de 8 ans. 

L’information, a été confirmée par des proches de la famille. Les sources précisent que l'enfant a été mordu par un chien. 

Désormais, il se pose la question de savoir si ce drame provoquera le retour anticipé du président élu, Adama Barrow en Gambie.

Dans un message adressé depuis Dakar au peuple gambien, Adama Barrow rassure qu'il prêtera serment le 19 janvier sur le sol gambien. Il a avertit Yahya Jammeh qu’il est au courant des arrestations injustes d’officiers et de hauts gradés de l’armée gambienne et le met en garde de ce qu'il devra répondre de tous ces actes.

Arrielle KAMBISSY

Créé le 2017-01-17 09:45:55

Le pasteur Ntumi n’est pas congolais (Bonaventure Mizidy)

Le président du Mouvement pour les intérêts congolais et le salut (MIS), Bonaventure Mizidy a déclaré hier, lors d’un point de presse à Brazzaville, que Ntumi, à l’origine de la situation d’insécurité dans le Pool, "ne peut produire une pièce d’état civil originale et authentique pouvant justifier de sa nationalité congolaise".

Créé le 2017-01-17 09:43:23

Congo : Plus de 20. 000 étudiants boursiers en 2016

Environ 20. 454 étudiants ont perçu la bourse au titre de l’année civile 2016 à l’Université Marien-Ngouabi et à l’étranger, selon le rapport bilan présenté récemment à Brazzaville par le directeur général des affaires sociales et des œuvres universitaires (Degasou), Jean Grégoire Ossebi, au cours d’une réunion de cabinet élargie aux entités sous tutelle du Ministère congolais de l’Enseignement supérieur.

Créé le 2017-01-17 09:22:19

Un ancien ministre congolais au chevet des pêcheurs de Zanaga

L’ancien ministre congolais des Sports et du Redéploiement de la jeunesse, Marcel Mbani a offert, en sa qualité du fils de terroir, des intrants aux jeunes pêcheurs de la ville de Zanaga dans le département de la Lékoumou.

Créé le 2017-01-17 09:05:07

Afrique Centrale : Le gouverneur Luc Abaga quitte la tête de la BEAC le bilan en demi-teinte

L’Équato-Guinéen avait pris la tête d’une banque centrale en pleine déroute. Il la quitte sept ans plus tard, les comptes certes à l'équilibre, mais dans un contexte de crise économique généralisée.

Il avait pris ses fonctions de gouverneur en 2010, en pleine tourmente. À l’époque, un scandale de détournement de fonds au bureau parisien de la Banque des États de l’Afrique centrale (Beac), ébranlait l’institution. Lucas Abaga Nchama avait alors pour objectif de réorganiser celle-ci et d’y rétablir la transparence et la confiance, le tout sous la supervision du FMI.

Sept ans plus tard, l'homme affirme que c’est chose faite. « Notre Banque centrale a retrouvé sa crédibilité », assure-t-il.

Alors qu’il s’apprête à quitter son poste à la fin du mois de janvier, à 55 ans, c’est une autre crise, provoquée par la baisse durable des cours du pétrole, qui affecte très sérieusement les six pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac).

La Cemac dont cinq États membres sont exportateurs d’or noir, ne devrait réaliser qu’une croissance économique de 1 %, et de nombreux pays sont d'ores et déjà confrontés à de graves problèmes budgétaires.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-01-17 08:55:27

Transfert : Prince Oniangué prêté à Bastia

Le SC Bastia a officialisé lundi l'arrivée de Prince Oniangué, prêté jusqu'à la fin de la saison par Wolverhampton (Championship).

Créé le 2017-01-17 08:36:00

RDC – Accord de gestion de la transition : Le MLC de Jean-Pierre Bemba a signé !

Une nouvelle avancée sur l’accord de cogestion de la transition en RDC. Le Mouvement de libération du Congo (MLC) de Jean-Pierre Bemba a approuvé, à son tour, l'accord du 31 décembre conclu sous la houlette de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO).

Depuis sa prison à la Cour pénale internationale aux Pays-Bas, Jean-Pierre Bemba a demandé à ses troupes de signer l'accord.

Ève Bazaiba, secrétaire générale du MLC et coordonnatrice de la plateforme Front pour le respect de la Constitution a finalement apposé sa signature au bas de l'accord conclu le 31 décembre, dans les négociations directes, sous l'égide de l’Église catholique.

La cérémonie a été présidée par le numéro un de la CENCO, monseigneur Marcel Utembi et rehaussée de la présence du nonce apostolique. Pour Eve Bazaiba, c'est un geste de haute portée patriotique.

« Par cet acte, c’est un sursaut patriotique, une responsabilité, un engagement pour faire avancer le pays. Notre non-signature, à l’époque, ce n’était pas un coup de tête ; c’était pour nous rassurer de l’effectivité de la bonne mise en œuvre de cet accord. En effet, signer un accord est une chose, sa mise en application en est une autre. Maintenant que nous avons entamé l’étape des arrangements particuliers et que nous avons trouvé des équilibres nécessaires qui nous donnent des garanties pour la mise en œuvre de cet accord, je vous dis que le Front pour le respect de la Constitution, devant dieu et la Nation, prend l’engagement de ne ménager aucun effort pour la mise en œuvre de cet accord. Nous ferons de notre mieux et c’est un devoir de Nation », a déclaré Ève Bazaiba.

Benoît BIKINDOU

Créé le 2017-01-17 08:20:28

Afrique Centrale : Les indicateurs macro-économiques présentent de probants signes d'inquiétude

En sa qualité de président du comité de pilotage des réformes économiques et financières de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC), le ministre de l'économie du Congo, Gilbert Ondongo, a souligné le 16 janvier à Brazzaville, la nécessité de réformer les économies de la zone afin de les prémunir des effets nocifs de la crise.

« Notre communauté économique et monétaire attire désormais l’attention de tous nos principaux partenaires, bilatéraux et multilatéraux. L’indicateur de mauvaise santé le plus en vue de la communauté est à ce jour le niveau anormalement bas de nos réserves de change », a-t-il indiqué, à l’ouverture de la première réunion dudit comité, avant d'ajouter : « Il nous est impérieux d’agir, d’agir vite et bien. Il en va de la vie de nos peuples ».

Pour le président de la Commission de la Cemac, Pierre Moussa, cette réunion devra trouver des solutions à la situation critique que traversent actuellement les pays de la Cemac. « Votre forte mobilisation est la mesure des défis qui nous attendent et témoigne de l’intérêt que nous accordons tous à la problématique du rétablissement des équilibres macro-économiques de nos États, durement frappés par une crise économique consécutive à l’effondrement du prix de nos matières premières ».

Le comité de pilotage des réformes économiques et financières de la Cémac a été mis en place par les chefs d’État de la communauté. Le chef de l’État congolais, Denis Sassou N’Guesso est le président dédié du Programme des réformes économiques et financières de la Cemac.

Le ministre Gilbert Ondongo a, en outre, indiqué que les partenaires bilatéraux et multilatéraux de la Cemac, notamment le Fonds monétaire international (FMI) et la France se préoccupaient de cette situation difficile dans laquelle se trouve la communauté.

Suite à la chute des cours des matières premières, les pays de la Cemac dont les économies sont essentiellement basées sur le pétrole subissent une dégradation des indicateurs macro-économiques.    

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-01-17 07:50:32

Congo-Guinée-Bissau : Le président José Mario Vaz s'enrichit de l'expérience du projet des zones économiques de Maloukou

En visite de travail au Congo, le président bissau-guinéen, José Mario Vaz a visité lundi en fin d’après-midi, les usines de Maloukou à 50 kilomètres de Brazzaville, accompagné du premier ministre congolais, Clément Mouamba. Le président Vaz s’est dit émerveillé par ce qu’il a vu et qui selon lui constitue le futur non pas que du Congo mais de l’Afrique.

C'est par hélicoptère que le président de Guinée-Bissau et premier ministre congolais sont arrivés dans l’enceinte du complexe industriel de Maloukou où ils ont été accueillis par les ministres Jean-Jacques Bouya de l’aménagement du territoire et de la délégation générale aux grands travaux et Alain Akouala Atipault des Zones économiques spéciales.

Un technicien de la Société Asperbras a sommairement présenté le complexe industriel qui compte 15 usines fonctionnelles indépendantes les unes des autres. 

Il s’agit entre autres de l’usine de fabrication des câbles électriques moyenne tension, celle de tuiles métalliques, et l’usine de fabrication de tuiles galvanisées. Le complexe produit aussi des tubes et tuyaux en PVC, des dalles en béton préfabriqué et des briques céramiques. À cette liste non exhaustive s’ajoute un atelier métallique et des chambres frigorifiques, ainsi que quatre magasins de stockage.  

La visite de terrain du Président José Mario Vaz a concerné trois usines. L’industrie de rotomoulage qui emploie 75 personnes et produit 18 360 pièces par mois puis l’industrie de tubes et tuyaux en PVC. Le président bissau-guinéen a été informé de la production de cette usine qui emploie 99 personnes et produit mensuellement un peu plus d’un million de kilogrammes. Enfin, l’usine de tuiles galvanisées produit 510 tonnes par mois et emploie 94 personnes. 

Appréciant l’effort de développement accompli par le Congo à travers ce projet, le président de Guinée-Bissau s’est dit satisfait de sa visite. Pour lui, ce projet ne constitue pas seulement l’avenir du Congo, mais aussi ceux de la sous région et de tout le continent, parce qu’il tend à résoudre deux des difficultés majeures que rencontre l’Afrique dans sa marche vers le développement, notamment la croissance économique et l’emploi des jeunes. Il croit pouvoir expérimenter ce genre de projet dans son pays.

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-01-17 07:22:58

Congo - Parlement : Affaire Okombi, l'assemblée nationale convoquée en session extraordinaire

À la demande du président de la république, l'assemblée nationale est convoquée en session extraordinaire ce mardi 17 janvier, en vue de l'examen de la levée l'immunité parlementaire du député de Lékana, André Okombi Salissa.

Cette disposition parlementaire permettra au parquet de poursuivre en toute légalité l'instruction de l'affaire Okombi pour laquelle le procureur avait demandé la levée de l'immunité du député Okombi Salissa, fin décembre.

Le parquet reproche au député de Lékana, des chefs d'atteinte à la sûreté intérieure de l'État, détention illégale d'armes et munitions de guerre et complicité d'entreprise terroriste avec le pasteur Ntumi.

André Okombi Salissa a été arrêté par les services de sécurité aux premières heures de la matinée du mardi 10 janvier, dans la périphérie nord de Brazzaville et incarcéré dans les locaux de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST).

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-01-16 12:05:08

Jean de Dieu Kourissa a présenté son livre « Vivre Ensemble : Quelles perspectives au Congo ? »

Le président de l’Association désir d’unité (ADU), Jean de Dieu Kourissa, a présenté récemment à Brazzaville, son livre de 254 pages intitulé : « Vivre Ensemble : Quelles perspectives au Congo ? » paru aux Editions l’Harmattan.

Créé le 2017-01-16 09:10:49

Gambie – Crise post-éléctorale : Le président Adama Barow attend son investiture à Dakar

Le président Adama Barrow séjourne dans la capitale sénégalaise depuis dimanche. Le président Macky Sall a, de fait, accepté d’accueillir le président élu de la Gambie à Dakar jusqu’à son investiture attendue au plus tard le 19 janvier.

Après avoir pris part au sommet Afrique-France vendredi et samedi à Bamako au Mali, le Président Adama Barrow est dans la capitale sénégalaise depuis dimanche. Il est logé à l’hôtel King Fadh Palace. 

Le président de la République du Sénégal a répondu favorablement à la demande de son homologue du Liberia, Ellen Johnson Sirleaf, présidente en exercice de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO), formulée en marge du sommet France-Afrique”.

La Présidente du Liberia Ellen Johson Sirleaf qui a fait le déplacement dans la capitale malienne en compagnie du président élu de la Gambie a demandé au chef de l’État sénégalais d’accueillir Adama Barrow jusqu’à son investiture prochaine, ce qu’a accepté Macky Sall. 

Yahya Jammeh, au pouvoir depuis 22 ans, conteste les résultats de la présidentielle gambienne du 1er décembre dernier qu’il a perdu devant le candidat de l’opposition Adama Barrow .

Le Conseil de sécurité des Nations-unies, La CEDEAO et l’Union Africaine ne cessent de renouveler leurs demandes au président sortant Yahya Jammeh de respecter le choix souverain du peuple de Gambie et de transférer sans condition et sans délai le pouvoir au président élu, Adama Barrow . 

Bertrand BOUKAKA

Créé le 2017-01-16 08:53:13

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