L’OMS Congo, en partenariat avec le Ministère de l’Energie et de l’Hydraulique ont organisé un atelier de validation, le 22 novembre 2024 au siège de l’OMS Congo à Brazzaville. La cérémonie a été présidé par le directeur de cabinet du ministre de l’Energie et de l’Hydraulique, M. Frédéric Manienze, en présence du Représentant par intérim de l’OMS Congo, Dr. Vincent Dossou Sodjinou et des experts du Ministère de l’Energie et de l’Hydraulique et ceux de l’Organisation Mondiale de la Santé. Il s’est agi de la : Présentation de l'approche GLAAS 2024 ; la présentation du Draft de rapport d'enquête. Ensuite de la Restitution des travaux de Groupe et Plénière : Groupe 1 (Gouvernance) ; Groupe 2 (Suivi) ; Groupe 3 (Ressources Humaines) ; Groupe 4 (Finances).
L’OMS Congo, en partenariat avec le Ministère de l’Energie et de l’Hydraulique ont organisé un atelier de validation, le 22 novembre 2024 au siège de l’OMS Congo à Brazzaville. La cérémonie a été présidé par le directeur de cabinet du ministre de l’Energie et de l’Hydraulique, M. Frédéric Manienze, en présence du Représentant par intérim de l’OMS Congo, Dr. Vincent Dossou Sodjinou et des experts du Ministère de l’Energie et de l’Hydraulique et ceux de l’Organisation Mondiale de la Santé. Il s’est agi de la : Présentation de l'approche GLAAS 2024 ; la présentation du Draft de rapport d'enquête. Ensuite de la Restitution des travaux de Groupe et Plénière : Groupe 1 (Gouvernance) ; Groupe 2 (Suivi) ; Groupe 3 (Ressources Humaines) ; Groupe 4 (Finances).
L’atelier national de restitution et de validation du rapport de la collecte des données relatives au cycle d’enquêtes nationales 2024-2025 des Nations-Unies 2024-2025 des Nations-Unies-Eau sur l’analyse et l’évaluation mondiale de l’assainissement et l’eau potable (GLASS).
« Les organisations des Nations-Unies ont un programme pour le développement de nos pays africains, nous suivons ce programme avec l’OMS, l’OMS travaille sur les questions de l’eau et assainissement. Il y a des points que nous sommes censés valider pour l’année 2024 et 2025afin que nous ayons un plan commun, sur les questions d’eau et assainissement, l’amélioration des conditions de vie de nos populations. L’intérêt de cet atelier, c’est déjà, l’amélioration des conditions de vie de nos populations sur les questions d’eau et d’assainissement. Vous savez que, quand l’eau est polluée, quand l’eau n’est pas de bonne qualité, c’est la population qui empatit, et tout de suite, ce sont des maladies liées à ce fléau et ça fait beaucoup d’épidémie. L’intérêt justement, c’est de pouvoir améliorer les questions liées à l’eau et à l’assainissement », a affirmé Yvon Kaba, directeur central et expert en assainissement au Ministère de l’Energie et de l’Hydraulique.
« C’est la question d’assainissement en eau. Vous savez que dans nos villes, principalement au Congo, ce sont des questions très pendantes, et ce genre d’atelier, ça aspire la confiance, parce que ça tend à résoudre la problématique de l’heure », a-t-il ajouté.
« Déjà, il faut savoir que notre pays n’avait pas un plan national d’assainissement. Nous avions pu mettre en place, avec le Ministère de l’Energie et de l’Hydraulique, le plan national d’assainissement, c’est un canevas, et de ce canevas, nos différentes villes vont s’en approprier et pour suivre les lignes directrices pour l’assainissement. L’OMS a des fonds pour financer ces questions d’eau et d’assainissement et doivent suivre un schéma directeur. Donc, c’est pour lier l’utile, qui est la stratégie qui a été mise en place par le Ministère de l’Energie et l’Hydraulique par sa nouvelle direction de l’assainissement et l’agréable, l’OMS, qui a les fonds pour financer pour ça », a dit Yvon Kaba, expert en assainissement au Ministère de l’Energie et de l’Hydraulique.
Par ailleurs, Monsieur Armel Alouna, directeur général de l’Hydraulique au Ministère de l’Energie et de l’Hydraulique a souligné que « le Congo est un pays qui s’engage sur beaucoup de plan, nous sommes dans le processus d’évaluation des ODD, ou nous devrons atteindre lesdits objectifs d’ici 2030. Là, nous sommes sur l’objectif 6, qui consiste à garantir l’accès à l’eau et au service d’hygiène de qualité. Le Congo s’est donc engagé, vis-à-vis des Nations-Unies sur cet engagement bien sûr parmi tant d’autres, et là, nous sommes en train de faire un bilan à mi-parcours, sur les indicateurs ont donné, comme données de base, a-t-il déclaré.
Cependant, « prélude à cet atelier, nous sommes constitués en groupes, nous avons eu à explorer 4 sections, qui constituent l’ossature de cette évaluation : la première section, c’est la gouvernance, ce que nous appelons, eau-hygiène et assainissement ; 2e section sur le suivi, ce que nous réalisons dans le secteur rouge ; la 3e section, c’est les Finances, y compris l’appui des partenaires techniques et financiers, sans oublier les ONG ; la 4e, les Ressources Humaines. Est-ce que nous avons la capacité, sinon les compétences pour bien animer ce secteur. Nous avons enseigné en tenant compte des indicateurs qui sont logés dans notre Plan National de Développement, PND 2022-2023, nous avons également exploité tous les documents normatifs, les textes qui régissent notre pays, en commençant par la Constitution de 2015, en exploitant aussi le code de l’eau, le projet du code d’assainissement qui est en cour d’approbation par le Parlement de la République. Nous avons aussi modifié la loi portant le code de l’eau, qui date de 2003, nous l’avons actualisé en tenant compte des enjeux du changement climatique », a-t-il affirmé.
De son côté, Mme Zita Monjoa a défini le cadre de cette atelier de validation : « Nous sommes là pour l’atelier de validation du rapport de l’ONU-Eau, c’est le cycle de 2024-2025 (GLASS) et nous avons les Institutions, les Ministères autour de la table aujourd’hui pour valider les collectes des données qui ont eu lieu précédemment, au mois d’octobre. Nous sommes là pour voir si les données sont fiables et pour avoir l’approbation du pays, afin de diffuser les données qui ont été pris. L’évaluation et l’analyse du rapport GLASS nous aide à porter les débats politiques sur l’eau, l’assainissement dans le pays. Nous avons aussi le Ministère de l’énergie et de l’hydraulique, qui est le Ministère en charge de l’accord GLASS et nous voulons avoir des précisions de complément sur les données qui ont été pris autour des dernières semaines avec les autres institutions ».
A noter que le rapport GLASS que le Congo a établi, va être validé et diffusé dans le portail GLASS. Ces données vont aider à contribuer dans les débats politiques. L’apport de l’OMS dans le processus GLASS est d’apporter un appui technique et financier. Appui financier complété par le pays et un appui technique, parce que, il y a des questions qui sont liées à l’eau, l’assainissement et l’hygiène. Cela pour aider le pays à comprendre les lacunes dans le secteur de l’eau, le secteur d’assainissement et celui de l’hygiène. Cela aide le pays à faire face aux problèmes du secteur eau-assainissement. Il y a aussi les changements climatiques qui sont impliquée sur l’eau et sur l’assainissement.
Le processus GLASS couvre les trois sens : dans les écoles ; dans les communautés (les marchés, les lieux publics) et dans les formations sanitaires.
VALDA SAINT-VAL / Les Echos du Congo Brazzaville