Œuvre de bienfaisance : Armand Moody fait don des médicaments au CSI de Mayoko

Le centre de santé intégré (CSI) de la ville de Mayoko dans le Niari (sud) et les populations des villages environnants, ont bénéficié, dernièrement, de la part du conseiller départemental du Niari, Armand Moody Mafoumbou, d'un important lot de médicaments. C'est son représentant, Aimé Mikoumou, qui s'est chargé de le remettre aux intéressés.

La joie se lisait, dernièrement, sur les visages des populations de Mayoko, à la suite de la réception de cartons de médicaments offerts par Armand Moody Mafoumbou, conseiller départemental du Niari.

 

Ce sont des dizaines de cartons de glucosé, d'antipaludiques, de sirop, seringues et autres produits de premiers soins, qui ont été remis au responsable du CSI de Mayoko pour soigner gracieusement et sans conditions les populations, selon les consignes et  recommandations du donateur.

 

«Votre fils Armand moody Mafoumbou, connaissant les difficultés que les populations qui fréquentent cet établissement sanitaire éprouvent, a voulu apporter une petite aide à ses compatriotes. Ces médicaments permettront un tant soit peu de vous prendre en charge gratuitement, en cas d'apparition d’une pathologie qui nécessite l’administration de l’un de ces produits », a rappelé Aimé Mikoumou.

 

Cette opération va se poursuivre dans tous les dispensaires du district de Mayoko.

 

On rappelle qu’en octobre 2020, Armand Moody Mafoumbou avait remis gracieusement aux élèves du district de Mayoko, des kits scolaires. Une véritable action de solidarité en faveur des populations en cette périodede rentrée scolaire particulièrement marquée par la pandémie de Covid-19 et qui voit de nombreuses familles dans l’incapacité de supporter leurs charges.

Chaque kit était adapté au niveau scolaire de l’élève dans le but de faciliter les conditions d’accès à l’éducation et d’alléger le fardeau financier des parents.

Armand Moody Mafoumbou reste persuadé que les actions positives qu’il entreprend depuis plusieurs années en faveur des populations de Mayoko ont tout leur sens et qu’il reste beaucoup à faire dans les domaines de l’éducation et de la santé.

Jack de MAÏSSA / Les Echos du Congo-Brazzaville