Une politique d’accueil, de qualité et de service pour choyer les passagers comme s’ils arrivaient dans un hôtel de standing. Voici le mot d’ordre qui guide le meilleur aéroport de la sous-région Afrique centrale.
Chacun met tout en œuvre pour que les passagers se sentent à l’aise. Voituriers, hôtesses d’accueil… sont présents pour répondre aux demandes des milliers des passagers et visiteurs.
Une attention particulière est également portée au geste architectural ainsi qu’au design et à la décoration.
Ce soin du détail a non seulement pour but de surprendre, mais aussi de s’inscrire dans une démarche durable vis-à-vis de l’environnement.
Un plan détaillé de l’aéroport permettant de se géolocaliser et de se guider parmi les services, permet même de retrouver facilement ses amis ou rapidement sa voiture dans le parking. Une petite révolution.
Démarrés en 2008, les travaux de construction de la nouvelle aérogare Maya-Maya ont été exécutés pour un montant de plus de 86 milliards de francs CFA.
Les travaux de construction de la piste et des installations terminales dudit aéroport ont entraîné une augmentation du trafic passager, qui est passé de 745.596 passagers en 2008 à 1.126.017 passagers en 2013, soit une hausse de trafic de 38%.
Soucieux de le placer aux standards internationaux et de faire de lui un hub à vocation sous-régionale et internationale, les autorités congolaises ont laissé la gestion de l’aéroport international Maya-Maya à la société AERCO.
Germaine Mapanga
