Se faire beau pour les soirées de réveillon, avoir les cheveux sains et en bonne santé, entrer dans la nouvelle année en étant à son avantage... pour ces raisons, vous êtes nombreux à être passés par la case coiffeur, durant les fêtes de fin d’année. Les professionnels se frottent les mains et s’appliquent à satisfaire un maximum de personnes.
Dans quelques heures, 2024 laissera place à 2025... L'occasion parfaite pour sublimer son look et opérer quelques changements.
Les salons de coiffure de Brazzaville ne chôment pas en cette période.
Entre mèches, couleurs, brushing et coupe, les rendez-vous sont pris d’assaut.
Que les Congolais optent pour un réveillon de la Saint Sylvestre en toute simplicité et en petit comité, ou en grande pompe en soirée, la plupart compte bien être sur son 31 ce soir.
Se faire belle ou beau et avoir une tenue de fête reste des incontournables. D’où le fait que cette période soit l’une des plus lucratives pour les coiffeurs, notamment.
C’est ainsi que les Salons de coiffure de Brazzaville étaient bondés, jusqu’à hier. À un cheveu du réveillon, certaines enseignes ne désemplissaient pas, ce mardi 31 décembre 2024.
Les gérants ont dû mettre les bouchées doubles et jouer les prolongations, pour contenter tous les clients.
Côté hommes, tondeuse à la main, les professionnels ont enchaîné les coupes et les dégradés, tant des cheveux que de la barbe et la moustache.
Côté femmes, les sèche-cheveux tournent à plein régime.
On lisse, on renouvelle les brushings, on peaufine les colorations.
Pour d’autres, on travaille les boucles naturelles. Là aussi, tous les sièges sont occupés. Mais Edamaelle n’est pas réfractaire au rythme effréné imposé :
Les femmes souhaitent surtout avoir une chevelure rayonnante pour commencer la nouvelle année.
De quoi faciliter la coiffure le jour J, explique Edamaelle : Pour celles et ceux qui sont coiffés de locks, les mains ont dû s’activer de longues heures, pour séparer, tourner et assembler les dreads.
L’époque des paillettes et des coiffures élaborées semble être révolue.
Quoi qu'il en soit, désormais, pour changer de look, il faudra attendre l’année prochaine !
Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville