Des couacs à la prochaine rentrée scolaire. C’est ce que craint visiblement le Mouvement général des enseignants du Congo (MGEC) et le Syndicat des enseignants ex-bénévoles (SEEB). Leurs revendications portent sur le recrutement des enseignants prestataires bénévoles et finalistes des écoles professionnelles de l’enseignement, la publication du statut particulier du personnel de l’éducation, le paiement d’au moins un trimestre de rappels de solde d’activités avant la rentrée des classes.
Autres motifs d’alerte, la prise en charge en solde, les dossiers des enseignants séquestrés sans motif à la direction de la solde, le rectificatif à l’arrêté interministériel du n° 8764 du 20 octobre 2006 pour prendre en compte et payer intégralement la prime d’enracinement...
Le MGEC et le SEEB ont demandé au gouvernement de prendre en compte leurs revendications pour ne pas compromettre la prochaine rentrée scolaire.
Ils exigent du gouvernement l’ouverture des négociations avant la prochaine rentrée scolaire.
Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo Brazzaville