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La quatrième édition du programme de santé communautaire démarre ce lundi 13 juin 2016 dans la ville de Mouyondzi, avant d’étendre quelques jours après dans la ville de Madingou, a annoncé le docteur Emmanuel Koutaba, coordonnateur technique du programme, au cours d’une conférence de presse à Brazzaville.
Créé le 2016-06-10 05:18:08
Les Nations unies et le gouvernement congolais participent cette semaine à une mission d'évaluation des besoins humanitaires dans le département du Pool.
Créé le 2016-06-10 04:57:12
Une douzaine de représentants des Etats membres de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac) ont pris part récemment dans les locaux du Parlement communautaire à Malabo, à un atelier de restitution d’une étude sur le genre dans la Communauté.
Créé le 2016-06-10 04:51:07
Ce phénomène est apparu en Côte d’Ivoire depuis quelques années. On se souvient de cette rumeur concernant l’histoire d’une jeune fille qui serait tombée enceinte d’un chien dans la ville de Dimbokro.
De cette affaire de Dimbokro, les enquêtes de la police avaient permis de savoir que la fille se livrait à des animaux. Et cela lui rapportait beaucoup d’argent.
Ce phénomène semble avoir refait surface non pas seulement en Côte d’Ivoire, mais dans beaucoup d'autres villes africaines où des prostituées dites ''de luxe'', celles qui ''font la vie des blancs'' se livreraient volontairement ou forcées aux chiens de leurs clients.
Des réseaux d'entremetteurs se seraient créés dans les quartiers. Ceux-ci contacteraient des jeunes filles ou garçons pour soi-disant les mettre en contact avec des hommes ou des femmes riches pour des relations amoureuses. Une manière de les séduire. Et les premiers moments, les choses se passent bien et ils en sortent les poches pleines.
Ces relations sexuelles d'un autre genre ont longé la Côte Atlantique pour essaimer au Gabon, au Congo, en RDC ou en Angola, des pays où l'on note une résurgence du phénomène, surtout chez les expatriés qui appâtent leurs clientes moyennant de grosses sommes d'argent.
Certaines filles sont carrément droguées pour que le chien dispose de sa suffisance incognito. Ce n'est qu'au réveil qu'elles découvrent la supercherie. L'argent fini par faire le reste...
Entre une omerta née de la répression dont est capable le client fortuné qui bien souvent a des ''connaissances bien placées" dans le pays, voire de la honte que susciterait une telle dénonciation ou simplement de l'appât du gain après une première expérience apparemment sans problème sanitaire, de nombreuses jeunes filles ont malgré-elles fait le choix.
Pour tenir le coup, certaines ce sont mises à l'alcool ou à la drogue. D'autres, excédées par cette vie de chiennes ont été réduites au silence alors qu'elles allaient tout déballer, quand dans d'autres cas encore, elles ne se sont pas elles-même suicidées pour en finir avec la souillure et l'ignominie.
Dans de nombreux pays concernés par ces pratiques pourtant répréhensibles, les autorités sont dubitatives, prétextant ne pas disposer de preuves pour agir.
Aurélie Iss
Créé le 2016-06-09 07:46:37
Le coordonnateur des deux principales coalitions de l'opposition congolaise a déclaré avoir refusé mardi de se rendre à la police qui l’a convoqué dans le cadre d'une enquête sur les attaques survenues début avril dans les quartiers sud de Brazzaville.
La convocation adressée à Charles Zacharie Bowao, "pour affaire le concernant", lui a été déposée dimanche à son domicile. Elle est signée par le colonel Thomas Bakala Mayinda, président de la commission d’enquête sur les attaques qui ont visé des bâtiments publics le 4 avril et ont fait 17 morts selon le gouvernement.
"Je ne répondrai pas à cette convocation qui m’a été déposée de façon irrégulière : quatre personnes en civil se sont présentées chez moi dans un véhicule non immatriculé’’, a déclaré Charles Zacharie Bowao à la presse. "Je considère qu’il s’agit d’inconnus.
Je ne réponds donc pas à la convocation", a ajouté l'opposant, préférant envoyer son avocat pour "authentifier la convocation et cette commission d’enquête".
Germaine Mapanga
Créé le 2016-06-09 06:35:59
Par la voix du ministre Pierre Mabiala, de la Justice, le gouvernement congolais a réfuté au micro de RFI les allégations selon lesquelles des soldats congolais se seraient livrés à des meurtres de civils en Centrafrique. Il considère les accusations d'HRW comme une manipulation et une déstabilisation du Congo.
« Je ne crois pas que les militaires congolais, qui sont d’un professionnalisme irréprochable, ont pu parvenir à réaliser de tels actes, c’est-à-dire donner la mort aux citoyens centrafricains - femmes, hommes et enfants ». « Je ne crois pas cela Madame. Ce sont des manipulations, c’est de l’intoxication et c’est de la déstabilisation... Et ça, nous ne l’acceptons pas, Madame ! Je ne le crois pas, et j’insiste pour vous le dire », a tranché Pierre Mabiala auprès de la journaliste de RFI qui l’interrogeait.
Selon les conclusions d'un rapport de l'ONG Human Rights Watch publié mardi 7 juin 2016, des soldats Congolais œuvrant pour le maintien de la paix en Centrafrique au nom de l'Union africaine, ont tué au moins 18 personnes, y compris des femmes et des enfants, entre décembre et juin 2013 à Boali et dans d'autres localités de RCA.
Une fosse commune a été mise au jour, contenant une douzaine de squelettes au moins, près du cantonnement des soldats congolais.
Pour Lewis Mudge, chercheur sur l'Afrique à Human Rights Watch, les preuves sont solides et arrivent de manière croissante. C’est très sérieux, assure-t-il.
Human Rights Watch demande « aux autorités congolaises de prendre au sérieux leur devoir, de lancer une enquête fiable, crédible, par rapport aux accusations qu’on a lancées. »
En attendant la version de Forces Armées Congolaises sur ce genre d'affaires dont quoi qu'il en soit, on ne trouve nulle trace sur les bordereaux de renseignements quotidiens, une commission d'enquête s'impose tout de même. Celle-ci pourra faire la lumière sur ces accusations qui discréditent outre mesure l'Armée congolaise.
Soldat congolais tombé en Centrafrique. Le devoir jusqu'au sacrifice suprême
Ce discrédit vient remettre en cause les efforts des soldats congolais, ces hommes et ces femmes qui en Centrafrique, se sont investis corps et âme, parfois jusqu'au sacrifice suprême, pour ramener la paix dans ce pays frère.
Aurélie Iss
Créé le 2016-06-09 06:09:13
Ancien joueur de Strasbourg (1991-1993) et international nigérian, Stephen Keshi est décédé dans la nuit de mardi à mercredi a annoncé la Fédération du Nigeria sur son compte Twitter.
Créé le 2016-06-08 10:45:03
Le Président congolais, Denis Sassou Nguesso a prescrit au Premier Ministre, chef du gouvernement, Clément Mouamba la mise en place d’un Comité Interministériel chargé de gérer le problème des érosions dans les villes de Brazzaville et Pointe-Noire.
Créé le 2016-06-08 08:32:55
Un cours de base en opérations de soutien à la paix (OSP) multidimensionnelles vient de s’achever à Pointe Noire en République du Congo, à l’initiative de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (Ceeac).
Créé le 2016-06-08 07:47:21
La problématique du chômage qui sévit les jeunes au Congo-Brazzaville malgré les efforts du gouvernement, n’épargne pas ceux de l’intérieur du pays. A Mayoko, dans le département du Niari, certains jeunes ont choisi de faire de la pêche pour se nourrir et surtout pour se faire de sous.
Créé le 2016-06-08 07:07:30
À Paris en France, la contestation enfle pour s’opposer à la candidature du président Ali Bongo Ondimba. Les femmes de la Coordination des associations et partis de l’opposition gabonaise en Europe (CAPPO) étaient certes une poignée mais faisaient entendre leurs voix samedi dernier, sur l’avenue du Ranelagh, à un jet de pierre de l’ambassade du Gabon en France.
Créé le 2016-06-08 06:31:25
La fille de Pierre Oba, ministre des Mines, au Congo, a été condamnée mardi après-midi, par le tribunal correctionnel de Versailles, à une peine de huit mois de prison ferme.
Deborah Oba, 19 ans, a été reconnue coupable d’avoir organisé un violent traquenard pour reprendre les 2 200 € qu’elle avait remboursés à deux femmes. Elle a écopé d’une peine de 8 mois d’emprisonnement.
Cette jeune femme était jugée en même temps qu’un complice, âgé de 20 ans et domicilié à Argenteuil, pour avoir organisé et participé à une violente agression contre deux jeunes femmes, commise samedi dernier, à Sartrouville.
Ce jour-là, les deux femmes se rendent chez Deborah Oba pour récupérer 2 200 € liés à un litige autour d’un accident de voiture. La fille du ministre avait en effet eu un accident en mai avec le véhicule que lui avait prêté sa victime, occasionnant des dégâts.
Après avoir récupéré leur argent, les deux femmes sont surprises, rue de Dijon, par trois gaillards. Aspergée de gaz lacrymogène, l’une reçoit, en plus, un coup sur la tête, avant d’être écartée par l’un des malfaiteurs.
La deuxième est projetée au sol. Elle se recroqueville sur son sac avant d’être rouée de coups. Des passants interviennent, obligeant les trois agresseurs à prendre la fuite à bord d’une Clio.
La voiture sera retrouvée par les policiers à Argenteuil avec trois hommes à bord, dont deux sont encore mineurs. L’un des adolescents avoue qu’il s’est entendu avec la fille du ministre pour voler le sac de la victime, contre la moitié de la somme qu’il contenait. Les deux autres complices avaient été recrutés sur la Dalle d’Argenteuil pour un petit billet.
Dans le box des prévenus, Deborah, une petite femme à lunettes qui suit des études de communication, tente de minimiser son rôle. « Je ne savais pas que ce serait aussi violent. Mon ami ne m’avait pas dit comment il allait procéder », lâche-t-elle, assurant qu’elle était « d’accord pour la rembourser ». Elle raconte avoir reçu des menaces avant de consentir à rembourser sa dette, et que cette situation « la minait ».
« Après l’agression, à l’hôpital, un membre du clan Oba est venu proposer 60 000 € à la victime pour qu’elle retire sa plainte, précise le procureur. C’est mal connaître le fonctionnement du système judiciaire français » moque t-il.
Son complice soutient qu’il n’a rien vu de la scène et que son rôle s’est limité à conduire la voiture. Sans convaincre les juges : il a lui aussi écopé d’une peine de huit mois de prison ferme.
Les deux mineurs ont été présentés lundi devant un juge pour enfants avant d’être remis en liberté.
Aurelie Iss
Créé le 2016-06-07 21:11:43
Député français et président du groupe d'amitié France-République du Congo, interrogé par nos confrères des Afriques, journal en ligne, Michel TERROT s’est livré sans détours à propos de la situation post-électorale au Congo- Brazzaville.
Créé le 2016-06-07 14:12:22
L’ancien international des Diables rouges et champion d’Afrique des clubs avec le Cara en 1974, le footballeur Jacques Mamounoubala est décédé le 28 mai à Brazzaville.
Il enflammait les stades par ses débordements effrénés, au point que les journalistes devaient se mettre à son rythme pour garder la cadence d'une rencontre qu'il dominait des milles feux. Jacques Mamounoubala avait la course dans les jambes.
Ailier gauche du Club athlétique renaissance aiglon (Cara) de 1974 à 1985, Jacques Mamounoubala faisait partie de la race de ces ailiers de débordement qui affectionnaient les courses le long de la ligne de touche, ponctuées par des centres en retrait ou des tirs.
Pendant près d’une décennie, Jacques Mamounoubala, "la Mama" pour les intimes, fut la terreur des défenses adverses. Trapu, solide sur ses deux jambes arquées, bas baissés jusqu’aux chevilles, il savait couvrir et protéger le ballon au point que les défenseurs adverses étaient obligés d’user d’antijeu pour l’arrêter.
Jacques Mamounoubala a fait ses débuts de footballeur avec l’équipe Avenir du rail dans les années 1970 avant de rejoindre Cara en 1974, l’année du sacre de l’équipe rouge et noire en coupe d’Afrique des clubs champions contre Mehalla d'Égypte. ''la mama'' en fut l’un des artisans lors de cette campagne victorieuse.
Le CARA, champions d’Afrique des clubs champions 1974 Accroupis: Moukila, Dibantsa, Mamounoubala, Mbemba, Poaty et Lakou. Debout: Amoyen (coach assistant), Mboungou,Ngassaki, Yangat, Manolaché (coach), Nganga, Dengaky, Bakekolo, Mafimba, Mbouta et Tandou.
Chez les Diables rouges, Jacques Mamounoubala a fait partie de la campagne de la CAN 1978 au Ghana et fut d’ailleurs le seul buteur congolais de la compétition. C’était contre l’Ouganda qui avait battu le Congo sur le score de 3 buts à 1.
Ces dernières années, Jacques Mamounoubala faisait face à de récurrents ennuis de santé. Il est mort à 63 ans.
Germaine Mapanga
Créé le 2016-06-07 11:22:43
La 42e réunion ministérielle du Comité consultatif permanent des Nations Unies chargé des questions de sécurité en Afrique centrale (UNSAC) se tient jusqu’au 10 juin 2016 à Bangui, la capitale de la République centrafricaine (RCA).
Les experts feront le tour d’horizon des dossiers sécuritaires de la sous-région : piraterie maritime dans le golfe de Guinée, prolifération des armes légères et de petit calibre, phénomène du braconnage et du trafic illicite des espèces sauvages, tensions électorales, trafic des drogues, criminalité transnationale organisée, groupes armés et terroristes, etc. La lutte contre Boko Haram et l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) font partie des points qui mobiliseront l’attention des participants.
La Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) présentera une revue permettant d’avoir une idée générale sur ces questions. Au-delà des derniers développements politiques, institutionnels et humanitaires dans la sous-région, l’exposé mettra en lumière les enjeux liés à la gouvernance, aux droits de l’homme, à la sécurité intérieure et transfrontalière.
A l’issue de leurs réflexions et discussions, les experts adopteront un rapport qui sera soumis à l’appréciation des chefs de délégations, lors de la session ministérielle. L’ouverture officielle de ladite session est prévue le 9 juin, en présence du représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour l’Afrique centrale, chef de l’UNOCA, Abdoulaye Bathily.
Un nouveau bureau du comité sera mis en place à cette occasion. Selon les usages, la présidence tournante, actuellement assurée par le ministre gabonais des Affaires étrangères, sera confiée à son homologue centrafricain pour six mois.
Edwige KISSINGER
Créé le 2016-06-07 08:22:14
Le coordonnateur du projet Central African Backbone (Cab), composante du Congo, Yvon Jean Didier Miehakanda, a fait le point sur l’état d’avancement du chantier de déploiement de la fibre optique entre le Congo et le Gabon.
Créé le 2016-06-07 07:59:55
Le réalisateur nigérian, Kunle Afolayan, 41 ans, fils du metteur en scène et réalisateur Ade Love, bien connu au Nigéria, a choisi la chanteuse d’origine béninoise Angélique Kidjo comme actrice principale de son film « The CEO » (Le PDG), un film courageusement ouvert sur le monde avec un message panafricain très fort, porté par la diversité des acteurs venus un peu partout du continent.
Créé le 2016-06-07 07:29:42
L’ex Premier ministre d'Ali Bongo se présente à l'élection présidentielle prévue en août prochain. Il s'agit de Raymond Ndong Sima, qui fit équipe avec Ali Bongo pendant deux ans, de février 2012 à janvier 2014.
Créé le 2016-06-07 06:20:53
Au début du mois de mai, une femme résidant à Goldsboro, dans le sud-est des Etats-Unis, a acheté 30 dollars un congélateur d'occasion à sa voisine qui déménageait.
Créé le 2016-06-07 05:57:59
Dans un tweet qu'il a rendu publique, Charles Zacharie Bowao, coordonnateur de la plate-forme FROCAD-IDC a annoncé être convoqué par la police pour le mardi 7 juin à Brazzaville.
Pour Charles Zacharie Bowao, cette convocation est la preuve que ''l'opposition dérange''.
''Je suis convoqué mardi 7 à 11 heures par la Commission Mixte d'enquête du Ministère de l'Intérieur de la Décentralisation et du Développement local et du Ministère de la Défense Nationale.''
La convocation est signée du colonel Bakala Mayinda
''Avec mes collègues de la plate-forme FROCAD-IDC, avec les candidats à la présidentielle, nous avons une position commune, un objectif commun. L'alternance.''
Charles Zacharie Bowao se dit en outre attaqué car il maintient l'opposition unie, ferme et combative.
Le coordonnateur de la plate-forme FROCAD-IDC de conclure : ''Encore une fois je n'ai pas peur des menaces et les intimidations ne me feront pas changer d'avis.''
Germaine Mapanga
Créé le 2016-06-06 08:28:34