CEEAC : Un conclave de la FAO à Libreville pour accompagner les femmes et les jeunes dans le secteur agricole

L’Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) organise, du 28 février au 2 mars 2022 à Libreville au Gabon, la 14e réunion de l’équipe multidisciplinaire du Bureau sous-régional de la FAO pour l’Afrique centrale sous le thème : « libérer le potentiel de la jeunesse et des femmes pour rendre les systèmes alimentaires plus efficients, inclusifs, résilients et durables en Afrique centrale ».

« La réunion de l’équipe multidisciplinaire est un cadre approprié d’échanges et de consultation entre le Bureau sous-régional et les bureaux pays d’une part et entre la FAO, les gouvernements, les communautés économiques régionales et les institutions spécialisées, les partenaires techniques et financiers, la société civile et le secteur privé d’autre part », a déclaré Helder Muteia, coordonnateur du Bureau sous-régional pour l’Afrique centrale, représentant de la FAO au Gabon au cours d’un point de presse jeudi à Libreville.

Selon le coordonnateur de la FAO au Gabon, cette rencontre rassemblera des fonctionnaires du siège de la FAO et du Bureau régional pour l’Afrique, le président de la Commission de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) et les ministres en charge de l’Agriculture, de l’Élevage, de la Pêche et des Forêts des pays de la sous-région.

« Ce sera l’occasion de revoir les nouveaux enjeux, d’explorer les opportunités de partenariats et de mobilisation des ressources. Le point central est de relever avec nos partenaires les défis de mobilisation et d’habilitation des jeunes et des femmes d’Afrique centrale dans l’agriculture afin de mieux adapter et accompagner les transformations des systèmes alimentaires », a-t-il indiqué.

Cette réunion rassemblera une centaine de participants en provenance des 10 pays de la sous-région (Angola, Burundi, Cameroun, Centrafrique, République du Congo, République démocratique du Congo, Gabon, Guinée équatoriale, Tchad, Sao Tomé-et-Principe).

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville