Doris Mandouélé prépare la sortie de son cinquième livre « Pour tenir bon va chez Ninon »

Doris Mandouélé dont l’écriture demeure son art, son salut et ses amies se sont réunies ce samedi pour la page de couverture de son prochain livre « Pour tenir bon va chez Ninon ». Un livre qui va vous aider à se relever et à être dans une bonne atmosphère en dépit des vicissitudes de la vie auxquelles le monde est confronté.

Stéphanie, Nadège, Laurence, Gwen, Muriel et Afiwa étaient là. Belles et fidèles, toujours présentes pour accompagner et encourager.

Nadège a insisté sur ce point : « 7 » est un chiffre bonheur !

Après une séance photos réalisée dans la joie et la bonne humeur, l’auteure a souhaité partager le premier texte de son prochain livre.

Elle se réjouit de ce moment où son travail verra le jour.

Dans cette attente, pour votre plus grand plaisir laissez-vous emportez par son premier texte :

Une drôle d’idée a hanté Ninon !

Aujourd’hui, elle s’est réveillée avec une drôle d’idée.

Elle voudrait vous parler de ces femmes oubliées. Elle les a nommé « les (in)visibles de la société.

Elles ont toutes un point commun c’est qu’elles se battent, en avant, le poing.

Comme des athlètes de haut niveau, elles avancent, chaque jour pour aller toujours de plus en plus haut.

Comme c’est beau de voir des femmes qui se lèvent tôt.

Elles sont heureuses et non peureuses.

Joyeuses et non soucieuses.

Elles avancent, toujours avec une longueur d’avance.

Elles peuvent tomber, mais toujours savent se relever.

Elles préfèrent la lumière parce qu’elle éclaire.

Ainsi elles ne sont jamais en enfer.

Mais toujours dans une bonne atmosphère.

L’une d’entre elles s’appelle Ninon.

Ninon, c’est un joli prénom.

Mais ça, c’est aussi parce qu’elle sait dire « Non » .

Même si parfois au « oui » elle sourit.

Nous allons la découvrir.

Elle pourra vous faire rire.

Vous surprendre, vous détendre, ou vous laisser un « je n’ai rien à dire ».

Ninon c’est son prénom, elle sera accompagnée de son compagnon.

Et d’autres amies avec qui elle fait « union ».

Alors prenons le temps d’un regard sur sa vie, en toute modestie.

A toi ma jolie.

Jarele SIKA / DM/ Les Echos du Congo-Brazzaville