Les travaux de construction du nouveau pont sur le Niari avancent bien

Le Niari s'apprête à accueillir un nouveau pont. Commencée il y a près d'un an par la mise en place de protections fluviales, cette nouvelle phase du chantier entre dans le concret cette année avec le début des travaux sur le fleuve à proprement parler.

Au milieu de l'eau, des enceintes de palplanches (éléments métalliques) sont en cours de réalisation à l'aide d'un marteau mécanique.

Facteur du désenclavement de l’arrière-pays et de la bonne connexion interdépartementale, la construction de ce nouveau pont moderne sur le Niari représente un atout non négligeable.

Il va faciliter les échanges économiques et commerciaux entre le département du Niari et les autres départements du pays.

Ainsi, par cette action, le gouvernement entend poursuivre inlassablement le projet de société de Denis Sassou N’Guesso, Président de la République à savoir : “La marche vers le développement.” 

En juin 2020, dans le district de Loudima, le Premier Ministre, Chef du Gouvernement Clément Mouamba a patronné la cérémonie officielle de lancement des travaux de construction de six (6) ponts dans quatre (4) départements de la République du Congo par la pose de la première pierre en présence de plusieurs membres du Gouvernement.

Fruits d’un partenariat Public/Privé avec AMPTHILL Industrie SA ces ponts sont situés dans les départements suivants : Niari, Bouenza, Lékoumou et Likouala.

Récemment, le Président de la République, Denis Sassou N’Guesso, répondant aux vœux des forces vives de la nation et des corps constitués nationaux ce mardi à Brazzaville, a réitéré sa volonté et sa détermination, en dépit de la crise financière, à construire davantage des infrastructures routières pour non seulement désenclaver le pays afin de le placer sur la voie de la modernisation et du progrès, mais aussi pour assurer l’unité physique du territoire national afin que l’horizon, pour chaque Congolaise et chaque Congolais, ne se limite pas au seul prisme de leur lieu de résidence.

Jack de MAÏSSA / Les Echos du Congo-Brazzaville