Congo : L'activisme écologique de Michel Innocent Peya incommoderait-il certains ?

La vérité n’est plus une denrée précieuse pour ceux qui utilisent le mensonge comme moyen pour déstabiliser les autres et tenir le haut du pavé. À peine Denis Sassou N’Guesso est-il rentré de Madrid en Espagne où il a pris une part active à la COP 25, qu'un média français en l'occurrence de Libération, s'est perdu dans une diatribe contre le président congolais. Dans la foulée, un pamphlet véhiculé sur les réseaux sociaux voue quasiment à la vindicte Michel Innocent Peya. Dire que l'écologie devient un domaine de tous les dangers.

« On ne jette des pierres que sur l’arbre qui porte des fruits », dit l’adage. Qui donc en veut à Michel Innocent Peya au point de l’attaquer à travers un pamphlet au vitriol dont les mots et les évocations des plus acerbes ne visent rien d’autre qu’à détruire un homme et arrêter son activisme écologique, comme si l’on voulait casser cette dynamique dans laquelle il s’est investi en véritable porte étendard de la vision écologique du président Denis Sassou N’Guesso.

Depuis quelques années déjà, Michel Innocent Peya parcourt le monde, participe à des colloques, sommets et conférences, avec pour maitre-mot, la vision écologique de Denis Sassou N’Guesso.

Drôle de coïncidence tout de même que le brulot contre Michel Innocent Peya, cousu de contre-vérités tout aussi déstabilisantes que décourageantes, pour un homme qui ne ménage ni son intellect, ni son temps, arrive en même temps que le melting-pot anti Sassou N’Guesso du journal Libération. Dire qu’il s’est agit de tirs croisés sur des personnalités dont l’engagement pour le climat est universellement référencé.

Une chose peut bien paraitre certaine, l’auteur des attaques contre Michel Innocent Peya a un but inavoué qu’il voudrait atteindre en déstabilisant le principal adjuvant de la pensée écologique de Denis Sassou N’Guesso.

Il est un fait constant, l’action pour le climat ne fédère pas véritablement tous les États de la planète, au point de susciter des conflits d’intérêt débouchant si l’on n’y prend garde sur des conflits presque ouverts, tant les enjeux économiques qui en résultent sont importants. Que ce soit pour les climato-septiques qui veulent bien sauvegarder leurs acquis à moindre effort, que pour les écolo-compatibles disposés à s’imposer de nouvelles contraintes moyennant compensations, les convoitises se feront forcément jour. Ainsi, au plan national, Michel Innocent Peya qui est disons-le, en pôle-position pour assumer un quelconque rôle dans ce sens eu égard au travail gigantesque qu’il abat de partout, ferait-il désormais peur à ceux qui hélas, ne payent pas de mine en matière d’engagement écolo ?

Du coup, sa stature gênerait et l’éjecter du cercle présidentiel en le couvrant d’opprobre, serait un sérieux concurrent d’écarté.

Mais pour ce faire, a-t-on besoin d’exhumer une personne, en l’occurrence, le Général Adoua, qui repose pour l’éternité et surtout de jeter le trouble auprès de ses parents qui peut-être tardent à faire le deuil de celui qui était le tribun de la famille ? C’est exécrable !

Avec ou sans ‘’nègres’’, commis à la rédaction de ses ouvrages, ainsi que le clame l’auteur du pamphlet, Michel Innocent Peya est en passe d’entrer dans l’histoire de la littérature congolaise, si ce n’est pas déjà le cas, en citoyen du monde. Il aborde dans ses écrits, des thématiques aussi diverses que variées, interpellant la conscience collective sur les phénomènes de son temps. Ne dit-on pas que le philosophe est fils de son temps ?

Cet engagement hors pair, lui a valu de sublimes distinctions en France où il a été fait ‘’serviteur de l’humanité’’ et en Espagne où il a été gratifié du prix ibéro-américain pour la qualité de l’éducation, ce pour l’ensemble de son œuvre littéraire etc... Pourtant, c’est à l’action du président de la République qu’il dédie toute cette reconnaissance des sociétés savantes et autres associations, de par le monde.

De nombreuses causes, bien souvent salutaires pour les peuples, portées par des dirigeants visionnaires, ont parfois connu une existence éphémère, faute de relais, ces hommes et femmes engagés, animés de l’idéal de les faire triompher.

En investissant son intellect et son action littéraire à la cause du climat, sur fond des idées écolo-visionnaires du président Denis Sassou N’Guesso, l’écrivain-chercheur Michel Innocent Peya traduit le sens d’un engagement fondé sur des valeurs qui se perpétueront par-delà les âges, un legs à la postérité. Est-ce alors un crime, au point de lui en vouloir en le trainant dans la fange de l’ignominie ?

Un mensonge peut faire le tour de la terre le temps que la vérité mette ses chaussures disait Mark Twain de son vrai nom Samuel Langhorne Clemens.

Le Seul combat qui compte pour le Docteur Michel Innocent peya est de porter haut la vision Ecologique de Denis Sassou N’Guesso , vision traduite dans plusieurs ouvrages, tirés en plusieurs langues étrangères car le combat pour la protection de l’environnement est une cause planétaire, que le chef de l’Etat Congolais avait déjà anticipé par des actions et des alertes depuis la nuit des temps.

Comme digne fils du Congo, Michel Innocent Peya qui refuse volontiers de descendre dans les caniveaux qui n’honorent guère notre pays, n’est pas dans des combats fratricides de luttes pour des postes. Que ceux qui en veulent à Michel Innocent Peya pour son engagement à accompagner le Président de la république contre le dérèglement climatique se trompe. Auteurs de plusieurs ouvrages, Michel Innocent Peya a été présent sur tous les fronts quand il a été question de défendre le changement de la Constitution afin de permettre au Congo de se doter des Institutions stables et des dirigeants de valeurs dotés d’expériences et animés par le souci de réconcilier les Congolais entre eux. L’engagement De Michel Innocent Peya à défendre les idéaux et la vision de Denis Sassou N’Guesso n’est plus à démontrer.

Nous le savions que cet engagement devait bousculer des esprits malins. Du coup ces petits esprits habitués aux coups bas, ont sorti l’artillerie lourde pour vouloir déstabiliser l’enfant prodige du combat climatique pour le compte et au profit du Congo à l’international. Ces personnes espèrent encore longtemps gagner leur vie ou des promotions grâce aux mensonges, ces personnes, sans les citer sont sans scrupules et sont en flagrante opposition avec la quasi-totalité des autorités de notre Pays.

Ces personnes se disent plus parent au Président de la République que tout le monde pour justifier leur forfait et leur incompétence, là ou un parent devait montrer l’exemple par le travail et la capacité à drainer et à fédérer autour du chef de l’Etat.

Pourquoi des esprits malins voient le diable partout pour se maintenir à un poste à responsabilité ?

Le combat Ecologique de Michel Innocent Peya a commencé sous Henri Djombo qui n’a pas vu le diable, sous Rosalie Matondo qui n’a pas vu le diable…Le Président de la République auteur de cette vision écologique que Peya s’est approprié n’y voit pas de diable, les Congolais et les Européens qui adoubent Michel Innocent Peya à l’étranger n’y voient pas non plus d’inconvénients.

Pourquoi des esprits malins ressurgissent maintenant ?

C’est peut-être sans doute l’histoire d’un chien de chasse qui s’en va chasser des gibiers et qui au moment de passer à table, est mis à l’écart et très loin de l’assiette. Dégage, sinon tu vas salir la nappe !

Pourquoi le Docteur Peya serait - il froissé de ne pas figurer parmi les organisateurs de la conférence à Madrid ?

Personne ne peut croire en des telles affirmations gratuites car M. Peya a toujours organisé des grandes conférences dans notre pays et à l’étranger, il en organisera encore davantage pour soutenir et expliquer la vision politique du chef de l’Etat.

Notez que l’engagement de Michel Innocent Peya est privé et non gouvernemental, il n’est pas en lutte avec les autorités de son pays, encore moins avec ses sœurs et frères congolais.

Pour le reste, ceux qui croient affaiblir ou décourager le Docteur Michel Innocent Peya par leurs tracts dénudés du bon sens, toute honte bue, se livrant à un spectacle ubuesque et bientôt dantesque où la bassesse rivalise avec l’incompétence, se trompent.

Au Congo la haine ou la jalousie a atteint son apogée. Elle s'est même inscrite sur les annales de l'ignominie et devient même une règle d'or.

Interrogé au téléphone par les Echos du Congo Brazzaville sur ce tract, l’écrivain et chercheur congolais est plutôt surpris :

« Donner mon point de vue à propos ressemblerais plutôt à cette histoire d'un chat qui photographie un autre chat en lui disant : souris ! Maintenant pour ce pamphlet rédigé contre moi, le sens de ma responsabilité, de mon combat et de mon éducation, m'oblige à exercer la sobriété de mes propos. Les propos relatés n'engagent que leurs émetteurs et les obligeraient à devoir y répondre auprès de qui de droit car je ne me reconnais pas dans le folklore des élucubrations de caniveaux », nous a confié l'écrivain et chercheur congolais de renommée internationale.

Même si nul n’est prophète en son pays, défendre Denis Sassou N’Guesso et sa vision écologique n’est pas négociable chez ce digne fils du Congo.

 

"Lorsque tu fais quelque chose, sache que tu auras contre toi, ceux qui voudraient faire la même chose, ceux qui voulaient le contraire, et l'immense majorité de ceux qui ne voulaient rien faire." pour paraphraser Confucius.



 

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville