Il y en aura pour tous les goûts pour passer à l’année 2019 en beauté à Brazzaville, la capitale congolaise.
C’est toujours l’inévitable question qui nous titille à la fin de l’année : que faire le soir de la Saint-Sylvestre pour fêter au mieux le passage à l’année nouvelle ?
Si certains ont envie de rester à la maison, à siroter quelques bulles en regardant la télévision, en luttant pour être encore réveillés à minuit pour le décompte final, d’autres estiment que la nuit du nouvel an est la soirée de l’année et qu’il faut à tout prix marquer le coup pour lancer l’an neuf en beauté.
Entre les deux camps, il existe une panoplie d’autres personnes qui ne savent tout simplement pas quoi faire le soir du nouvel an, parce qu’à force, c’est quand même tous les ans la même rengaine.
Heureusement, à Brazzaville, il existe de nombreuses manières d’abandonner l’année 2018 pour rentrer en beauté en 2019 et il y en a pour tous les goûts.
Brazza la verte vous a dégoté une série de soirées dansantes qui pourront vous donner quelques idées si vous ne voulez pas rester chez vous le soir du réveillon du nouvel an.
Qu’il s’agisse d’aller à l’église déposer ses fardeaux aux pieds du maître des unviers, d’admirer le feu d’artifice ou de passer la soirée à se déhancher avec des amis, en famille, en amoureux ou encore de passer la fin de 2018 dans un night-club, un bar dancing pourquoi pas accompagnée de bulles, la capitale congolaise regorge de bonnes idées pour terminer 2018 en beauté.
Comme chaque année, les boîtes de nuit, les bars dancing, les restaurants les plus emblématiques de Brazzaville mettront les petits plats dans les grands à l’occasion du nouvel an et accueilleront des artistes locaux et internationaux.
Les 10 premières personnes auront même droit à un verre de bienvenue gratuit à partir de 22h, expliquent certains gérants des bars et boîtes de nuit de la capitale.
De quoi donner l’eau à la bouche.
Plusieurs concerts sont prévus aussi dans la ville capitale pour passer le cap de manière plus originale.
Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo Brazzaville
