Pointe-Noire : Trois belles filles brésiliennes font la joie des hommes friqués

L’idée d’ouvrir une maison close au quartier aéroport de Pointe-Noire avec des filles brésiliennes a été la plus juste en rentabilité pour un jeune congolais ayant vécu au pays de la samba. Rentré au Congo, il a mûri son projet avant de le concrétiser après une étude profonde sur le terrain.

A 50.000 FCFA la passe, trois filles brésiliennes d’une beauté splendide mettent à l’aise leurs clients, dont la plupart sont de la bourgeoisie pétrolière de Pointe-Noire.

L’existence de cette maison close reste encore méconnue de beaucoup de congolais, à cause de la jalousie des clients principaux, non disposés à partager ces trois belles créatures brésiliennes avec tout le monde.

Le PDG proxénète affirme faire un chiffre d’affaires journalier de 600.000 FCFA, et cela quand c’est un mauvais jour.

Comme il fallait s’y attendre, certains ont voulu torpiller le business du jeune congolais en faisant des propositions alléchantes à ces filles. Mais malheureusement pour eux, elles sont venues au Congo avec des objectifs bien définis et ne seraient pas prêtes à devenir des maîtresses de qui que ce soit.

Deux autres brésiliennes, au vu de la demande pressante des clients, sont sur le point d’atterrir à Pointe-Noire via Luanda.

Le Congo va mal certes, mais il y a des gens qui ont de quoi dépenser pour le sexe en ces temps de rupture.

Jack MAÏSSA / Les Echos du Congo Brazzaville