Le tronçon qui relie Ollombo-Abala (50km) est dans un état de dégradation avancée. Cette situation rend difficile la libre circulation des biens et des personnes pendant la saison pluvieuse et déplorer par la population.
Pour effectuer un voyage sur l’axe Ollombo-Abala pendant la saison pluvieuse est un calvaire. La pluie constante, le ruissellement d’eau, et l’embourbement des véhicules sont à l’origine de ces dégradations.
L’urgence est là, comme l’indique la population, qui a signalé le problème depuis plus d’un an.
Il s’observe un impact négatif sur la vie des habitants d’Ollombo et d’Abala. Les échanges de biens et de personnes s’amenuisent de plus en plus.
Pour l’heure, les populations subissent le caprice de dame pluie. Difficile de s’imaginer l’axe routier Ollombo-Abala opérationnel à toute épreuve.
Vivement une prise de conscience des autorités locales et départementales qui connaissent les urgences et les enjeux qui y sont liés.
La route constitue toujours le principal mode de déplacement des Congolais : elle est utilisée lors de 90 % des déplacements de voyageurs et de marchandises.
Le réseau routier congolais joue un rôle essentiel dans l’économie du pays, il est précieux pour l’aménagement et l’attractivité des territoires.
Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville