Après une pause dans la campagne induite par le vote des agents de la Force publique, Euloge Landry Kolelas a repris son périple, auprès des électeurs dont il sollicite les suffrages. Fidèle à ses principes de toucher du doigt les réalités de terrain, il est allé dans les coins et recoins de sa circonscription.
Cerner les réalités de terrain afin d’être à même de porter la parole des populations à l’Assemblée nationale, c’est l’une des priorités que s’est donné Euloge Landry Kolelas, en décidant d’aller dans tous les villages et hameaux que compte sa circonscription électorale.
En voiture ou à pied, à travers monts, valons ou vallées, traversant parfois des rivières à gué, pantalon retroussé, au point d'arriver à destination en sueur, Euloge Landry Kolelas ne s’affranchit de rien pour capter ces réalités que vivent les populations au quotidien et qui appellent à des correctifs.
Ce faisant, Euloge Landry Kolelas se démarque des autres candidats qui de façon sélective vont vers des localités faciles d’accès, et délèguent des émissaires vers d’autres jugées enclavées ou se gardent carrément d’aller vers d’autres villages jugés insignifiants à leurs yeux.
Cette différence d’approche et de considération a été saluée par les populations qui, reconnaissantes vis-à-vis d’Euloge Landry Kolelas, ont dit partout où il est passé : « Tâta ni tâta kwa ». Autrement dit, « Un père reste un père et il vient à vous quels que soient les difficultés d’accès, car il vous porte dans son cœur». Une reconnaissance qu’ils entendent traduire dans les urnes.
Ainsi, les localités de Ntsamouna, Binoué, Mantsiendi, Yangui, Mouyami-Kinkobolo et Kimbeti ont été visitées. Partout, l’accueil a été enthousiaste et l’ambiance festive. « Suis venu pour voir et vous écouter, car j’aspire à être votre interlocuteur à l’Assemblée nationale », a dit Euloge Landry Kolelas à l’endroit des populations des villages visités.
À travers les différents villages, les problèmes sont quasiment les mêmes et touchent essentiellement au social. La santé, l’école et la route, notamment les pistes agricoles pour l’écoulement de la production agricole, ainsi que la relance des activités génératrices de revenus.
À Kimbéti, le problème d’électrification de la localité a été posé, tout comme la construction d’un marché couvert, afin de mettre les vendeurs à l’abri des intempéries.
À Kimbeti comme partout ailleurs, à travers les localités visitées, la question des vacataires de l’enseignement a été longuement abordée par des populations qui ont assuré à Euloge Landry Kolelas, qu’il est un interlocuteur crédible, au regard des actions qu’il même dans diverses contrées du département, en sa qualité de Haut commissaire à la Réinsertion.
Répondant aux populations qui ont demandé à Euloge Landry Kolelas de garder le cap dans cet engagement qui a fait naître de l’espoir à beaucoup qui l’avaient perdu, Euloge Landry Kolelas a rappelé que c’est grâce à la volonté inébranlable et à l’implication personnelle du Président Denis Sassou N’Guesso, que de nombreuses initiatives ont été entreprises, pour la restauration de la paix et la sécurité dans le Département. La paix qui est l’une des racines de tout développement harmonieux, cette paix qui permet désormais au département du Pool de se projeter dans le futur.
Cet engagement lui est chevillé au corps et jamais, il ne s’en détournera, car c’est l’une des dernières recommandations du Patriarche Bernard Bakana Kolelas, et les populations vivent de par elles-mêmes, les fruits de la paix, « Kidzunu ».
« C’est vous qui êtes maitres du destin que vous me confiez, car de vos suffrages dépendra sa réalisation », a dit Euloge Landry Kolelas.
« Nos suffrages vous sont acquis et pas une seule voix ne manquera pour la victoire, afin de faire briller davantage le MCDDI, ce soleil qui luit et incarne l’espérance », ont acté partout les populations mobilisées et déterminées pour la victoire.
Dans tous les villages visités, les sages et notables se sont livrés à des libations, versant du vin de palme par ici balançant un peu de noix de kola par là, pour invoquer les mânes et sceller avec eux la volonté des vivants, ce pour une victoire intégrale.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
