La légende du colibri est une histoire inspirante d’origine amérindienne qui met en valeur l’importance de faire sa part pour aider, même lorsque les défis semblent insurmontables. Plutôt que de ne rien faire face aux problèmes environnementaux, sociaux ou économiques actuels parce que l’on se sent impuissant ou que l’on pense que la solution doit venir des autres, on peut agir avec ses compétences, à son échelle. Et même si pris isolément nos actes semblent dérisoires, c’est grâce à la somme des colibris que les choses changent. Et c’est dans cette optique, et conformément à sa politique sociétale et de mécénat, TotalEnergies EP Congo, leader de la distribution et le premier opérateur pétrolier en République du Congo, a fourni gracieusement des cartes carburant d’une valeur globale de 5 014 000 FCFA à la Municipalité de Pointe-Noire pour ramasser les poubelles.
En réponse à la crise environnementale causée par les tas d’immondices dans les rues de Pointe-Noire, la Mairie centrale a lancé un plan d’urgence d’assainissement pour y remédier.
Dans ce contexte, TotalEnergies EP Congo, qui mène dans le pays de nombreuses actions sociétales et en faveur de la biodiversité, a contribué à ce plan d’urgence de collecte des déchets en y apportant un soutien matériel.
Depuis plusieurs mois, la ville océane est dans une insalubrité terrible. Des tas d’ordures obstruent la chaussée et sont également visibles dans plusieurs quartiers de la ville en nuisant à l’attractivité de la ville.
En effet, la société chargée des opérations d’assainissement et de ramassage des ordures ménagères dans la ville est depuis lors en arrêt de service.
Des bacs à ordures qui débordent çà et là, des dizaines de sacs poubelles à même le sol déchirés par des chiens et dégagent des odeurs nauséabondes, tel est le décor qu’affiche Pointe-Noire actuellement.
Malheureusement, face à des montagnes de détritus et faute de moyens, la Mairie de Pointe-Noire peine pour se débarrasser des tas de déchets. Les efforts de collecte des déchets de la Mairie semblent insuffisants, les odeurs des ordures rendent la vie des habitants encore plus difficile, affectant leur bien-être et leur confort.
Les égouts à ciel ouvert et les stagnations d’eau contribuent également à cette situation déplorable.
Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville