Droit de réponse : Paul Obambi conteste vivement l’arrêt des activités minières de Sapro à Mayoko

Dans un courriel adressé, ce samedi 25 janvier 2020, à la rédaction des Echos du Congo Brazzaville, le directeur général de la société Sapro Mayoko, Paul Obambi conteste vivement l’arrêt des activités minières de son entreprise dans la ville de Mayoko, située dans le département du Niari (sud). Voici l’intégralité de son droit de réponse :

« Madame/Monsieur,

Je soussigné Paul Obambi, agissant en qualité de Directeur Général de la société Sapro Mayoko, entends, par la présente, faire usage du droit de réponse suite à un article paru sur les sites Africanews et les Echos du Congo Brazzaville.

En effet, le 24 janvier 2020, ces sites publiaient un article intitulé "Congo : la mine de fer de Mayoko ferme" dans lequel la société que je représente fut directement mise en cause. Lesdits articles faisaient apparaître que notre entreprise aurait cessé ses activités dans la mine de Mayoko dans le Niari près de la frontière gabonaise.

Sapro Mayoko conteste vivement ces allégations, qui s’apparentent à une campagne de diffamation dont la société et son personnel sont victimes. En effet, la société SAPRO Mayoko poursuit ses activités au Congo Brazzaville avec le soutien des populations locales et de ses partenaires tant nationaux qu'internationaux qui ont tous pour objectif de faire du Congo un acteur majeur sur le marché du fer.

L'article dénoncé constitue un ensemble de fausses rumeurs qui dénote d'un manque de professionnalisme flagrant de leurs auteurs et constitue des délits sanctionnés par la loi.

En effet, à ce jour aucun journaliste ne s'est donné la peine de vérifier la véracité de ces informations. Si tel avait été le cas, ces auteurs auraient découvert que nous poursuivons notre développement en produisant un fer de qualité qui fait l'objet d'une importante demande sur le marché international.

Nous nous réservons le droit de poursuivre les auteurs de ces articles et toute entité ou personne qui en ferait la diffusion. Nous exigeons le retrait de ces articles diffamatoires et la diffusion de l'intégralité de notre réponse sur les sites incriminés.

En vous remerciant pour l’attention que vous porterez à notre demande, nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, nos salutations distinguées ».

Paul Obambi. Directeur général de Sapro Mayoko