Le député de l'URDC Anicet Ndoumangoyi fait don de 2500 litres de gasoil pour l'entretien de la route de Moungoundou-Nord

On le sait tous, le député n’est pas nécessairement un agent de développement. Mais quand un député s’érige en agent de développement, son exemple doit faire école et cela doit être su. Qui est ce député ? Anicet Ndoumangoyi, c’est de lui qu’il s’agit. Le député de l'Union pour la reconstruction et le développement du Congo (URDC/ Parti du centre de Luc Daniel Adamo Mateta), a fait don de 2500 litres de gasoil pour l'entretien de la route de Moungoundou-Nord  dans le Niari (sud) qui ressemble aujourd’hui à une piste d’éléphants sans oublier les contreplaqués et peinture pour des travaux de finition de plusieurs chantiers initiés dans sa circonscription électorale.

L’honorable Anicet Ndoumangoyi, le député des solutions et des engagements tenus, a fait ces dons lors de sa descente parlementaire de la quatrième session budgétaire dans sa circonscription électorale du 11 au 16 janvier 2024.

L’élu de Moungoundou-Nord a rendu compte à ses mandats du projet de loi portant loi de finances 2024, le projet de loi sur la protection du consommateur (ZLECAF), les questions d’actualités liées au drame survenu le 20 novembre dernier au stade Ornano, la prise en charge effective et régulière des bénévoles de l’enseignement et agents communautaires afin d’éviter les perturbations du calendrier scolaire par des grèves à répétition…

Celui qui prône le rassemblement des filles et fils de Moungoundou-Nord, était aussi sur le terrain pour inspecter les avancées de certains chantiers.

L'occasion de faire le point sur le déploiement des infrastructures de proximité depuis le début de sa mandature.

Le représentant des populations de Moungoundou-Nord à l’Assemblée nationale, compte à son actif plusieurs œuvres caritatives et sociales dans sa circonscription électorale : les travaux de finition du Centre de santé intégré (CSI) du village centre de Poungou, la construction des sanitaires de l'école primaire de Ngoubou-Ngoubou…

« Je me suis rendu dans plusieurs villages de ma circonscription électorale pour évaluer l’état d’avancement des chantiers en cours. Il est de mon devoir de m’assurer que ces chantiers progressent conformément à nos engagements. Le service après vente de nos promesses sera régulier pour le plus grand bien des populations de Moungoundou-Nord », a déclaré le jeune député.

Poursuivant son inspection, l’honorable Anicet Ndoumangoyi, s’est arrêté à chaque étape pour discuter avec ses mandats et les écouter sur l’importance de la route dans leur quotidien.

L’état de la route fait perdre beaucoup à l’économie de la ville de Moungoundou-Nord.

Elle est jonchée des bourbiers en saison de pluie et de cratère en saison sèche, rendant plus que pénible la circulation pour quelques rares automobilistes qui s’y aventurent.

Des nids de poules par ci, des crevasses par là et des ponts en bois au point de céder.

La liste des anomalies est longue.

Les populations directement impactées par lesdits chantiers ont salué l’initiative du député de Moungoundou-Nord qui doit, selon elles, veiller personnellement à ce que les travaux soient exécutés jusqu’à la fin.

Un message qui n’est pas tombé dans les oreilles d’un sourd. La réaction du député de l’URDC était immédiate.

Il a saisi cette occasion pour instruire les responsables des différents chantiers de tout mettre en œuvre pour atteindre les objectifs fixés dans des délais raisonnables.

Un parlementaire,  un champ

«Si tu veux être heureux une heure, bois un verre, si tu veux être heureux un jour, marie-toi, si tu veux être heureux toute ta vie, fais-toi jardinier ». Le député de Moungoundou-Nord, inspiré par cet adage chinois, a exhorté également ses mandants, à valoriser le travail de la terre.

«Nous avons une grande richesse, notre sol », a déclaré Anicet Ndoumangoyi, demandant aux habitants de sa circonscription électorale de faire de cette contrée une marque, un label de qualité dans le domaine agricole, et d’attirer et faciliter l’installation des unités de transformation.

Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo-Brazzaville