La députée de la 1ère circonscription de Seine-et-Marne Aude Luquet a présenté ses vœux à l’Association des Congolais et Gabonais de France (ACGF)

La députée de la 1ère circonscription de Seine-et-Marne, Aude Luquet, vice-présidente du groupe Modem, membre de la commission développement durable et de l'aménagement du territoire, a présenté ses vœux de Nouvel An à l’Association des Congolais et Gabonais de France (ACGF) dont le siège est situé à Melun la ville préfecture du plus grand département de la région parisienne.

« L’avenir ne sera pas ce qui va arriver mais ce que nous allons faire. Que cette nouvelle année nous permette de nous retrouver tous avec bonheur et sérénité », a écrit Aude Luquet à l’ACGF.

L’ACGF figure dans l’annuaire des 750 associations de Melun qui compte aujourd’hui plus de 750 associations particulièrement actives. Elles exercent leurs talents dans les domaines très variés : culture, éducation, sport, social, santé… Le tissu associatif concourt ainsi à la vitalité et au dynamisme de Melun, le poumon vert aux portes de Paris.

Consciente de cette richesse pour nourrir son travail à l’Assemblée nationale et sur la circonscription de toutes les expériences et compétences, Aude Luquet a à cœur d’apporter son soutien aux associations melunaises dont l’ACGF et de faciliter leur fonctionnement.

La recherche des partenaires en vue d’aider à la construction des forages d’eau potable, des dispensaires pour des soins de premières urgences, la recherche des jumelages entre les villes, villages de l’hexagone et ceux du Gabon et des deux Congo qui se concrétiseront par des échanges multiformes, accompagner et aider à l’insertion et à la réussite des élèves et étudiants issus des villages enclavés, l’assistance aux décès, maladies, mariages des adhérents et des familles, tels sont les principaux objectifs de l’ACGF, créée en novembre 2016 à Dole, une commune française, située dans le département du Jura en région Bourgogne-Franche-Comté, dont la devise est : « Tout seul, on va vite, ensemble, on va plus loin ».

Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville