Des chinois vivant à Mouyondzi dans le département de la Bouenza (sud), et chargés de construire, en douze mois , le Centre national de formation initiale et continue des enseignants (Cnfice) qui s’inscrit dans le cadre du Projet d’appui à l’amélioration du système éducatif, en partenariat avec le gouvernement et la Banque mondiale, sont allés abandonner deux chiens vivants au village Mayalama, situé à 4 kilomètres de Mouyondzi.
De nos jours, le coronavirus donne lieu à une stigmatisation des chinois, convoités en tant que touristes, mais souvent méprisés pour leurs mauvaises manières.
Dans la panique, les paysans, très remontés, ont pourchassé les chiens et les ont tués avec des machettes.
Chama / Les Echos du Congo Brazzaville
