AMOUR DARIA : ambassadrice du Festival BAAADU, c’est le Congo qui gagne à l’international !

Pour bien réimaginer les identités africaines et afro-américaines aux côtés de leaders d’opinion et de célébrités dans les arts, la culture et la communauté, les organisateurs du Festival BAAADU (Bridging the African Americans and African Diaspora in Unity) viennent de nommer la journaliste congolaise, Amour Daria, ambassadrice de ce grand « rendez-vous du donner et du recevoir » qui se tiendra à Los Angeles du 28 au 30 octobre 2022. Une couronne qui force respect et admiration pour cette créatrice incomparable de contenus digitaux.

Si les saveurs procurent des étoiles aux destinations, la musique leur donne du rythme, un style, voire une personnalité. Et Amour Daria, passionnée de musique, porte – volontairement ou non – à Paris en France, le chapeau d’ambassadrice pour son pays d’origine, le Congo-Brazzaville.

Aux manettes de plusieurs concepts culturels sur Youtube, ces émissions visionnées par plusieurs internautes à travers le monde, ont suscité un intérêt hors du commun pour la musique d’emblée pour la culture congolaise.

Femme aux multiples casquettes, Amour Daria présentera en avant première au public américain et aux férus des salles sombres, disons mieux du 7e art, l’un de ses films intitulé : « TREFLE ».

En parcourant le résumé de ce film qui parle de l’histoire de quatre vies croisées que le destin va réunir, on est saisi par une envie de comprendre, de savoir…

Le Festival qui vise à rapprocher les Afro-Américains et la Diaspora africaine dans l’unité à travers la musique, la mode, le cinéma et la gastronomie, est considéré comme l’avant-garde de nombreux événements culturels à venir.

Il sera l’occasion de partager la multitude de talents et de compétences qui sont ancrés dans notre riche culture.

Le festival ravivera la prise de conscience et l’acceptation de la diversité.

Le thème du festival BAAADU de cette année sera axé sur la capture de la créativité et l’amplification des voix des personnes à travers les continents.

Jean-Jacques Jarele SIKA / Les Echos du Congo-Brazzaville