Congo : Un brouillard sans précédent à un mois de la présidentielle de mars

L'année 2021 s'annonce cruciale sur le plan politique au Congo-Brazzaville. Jamais l'incertitude n'a été aussi grande à l'approche d'une présidentielle : les congolais sont inquiets. L’élection présidentielle s'annonce très difficile. Plusieurs partis politiques décident de ne pas participer. La faute, surtout, à un contexte de crise inédit et, donc, explosif.

Sur le papier, Denis Sassou N’Guesso paraît bien placé pour se succéder à lui-même. Le président de la République conserve un socle politique non négligeable.

Mais du côté de l’opposition, l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS), premier parti de l’opposition congolaise, a décidé de ne pas participer à l'élection présidentielle du 21 mars 2021 après le MUST de Claudine Munari, suivi du parti Unis pour le Congo (UPC) de Paulin Makaya.

IDC de Michel Mampouya, FROCAD de Clément Mierassa, J3M de Albert Makita Mbama, ont décidé également de ne pas se présenter à l'élection présidentielle du 21 mars prochain.

A qui le tour demain ?

Jean-Jacques DOUNDA / Les Echos du Congo-Brazzaville