Congo – Ville de Pointe-Noire : Anatole Collinet Makosso en mission d’évaluation des voiries urbaines à réhabiliter

Donner à la ville de Pointe-Noire un lustre à la dimension de son statut de capitale économique et surtout de ville pétrolière, telle est l’action entreprise par le Président Denis Sassou N’Guesso. À cet effet, le Président de la République a missionné le Premier Ministre chef du gouvernement Anatole Collinet Makosso à Pointe-Noire, pour constater l’entendue d’avaries des voiries urbaines et planifier leur réhabilitation.

Profitant de la saison sèche, période propice aux travaux de construction des infrastructures de génie civil, le gouvernement de la République va lancer des chantiers à même de transfigurer la ville de Pointe-Noire.

Au nombre des chantiers prioritaires, il y a les voiries urbaines dont l’état de dégradation est source autant de difficultés de circulation dans la ville, que d’assainissement, surtout en période de pluie.

Missionné à cet effet par le Président de la république, le Premier ministre est allé toucher du doigt cette réalité qui appelle à des solutions drastiques et pérennes.

Afin de mieux cerner la situation et évaluer l’étendue des dégâts, c’est dans la nuit du jeudi 11 au vendredi 12 mai que le Premier Ministre Anatole Collinet Makosso accompagné de quelques membres du gouvernement, de la Maire de Pointe-Noire ainsi que des cadres des services techniques de la mairie de Pointe-Noire et du ministère de l’urbanisme, ont fait la ronde des potentiels chantiers, ce jusqu’à 3 heures du matin.

Ils ont marqué des haltes pour constater, évaluer et projeter les faisabilités techniques et surtout en évaluer les urgences.

Quoique rentré bien tard, Anatole Collinet Makosso est reparti sur le terrain au matin. Une ronde qui lui a permis de se faire une idée précise des mesures à prendre pour ces travaux au démarrage imminent.

Hasard du calendrier, cette mission de terrain qui tombe un 12 mai, coïncide avec le deuxième anniversaire d’Anatole Collinet Makosso à la primature.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville