Le satisfecit de la CAF au terme de sa seconde visite d’inspection des chantiers de la CAN 2017

Au terme de la visite de la délégation de la Confédération africaine de Football (CAF) conduite par Almamy Kabélé Camara, 2ème Vice-président de la CAF, en vue des préparatifs de la CAN 2017 que le Gabon organise au début de l’année prochaine, les inspecteurs se sont dits rassurés quant aux capacités du Gabon à honorer ses engagements.

Au cours d’une conférence de presse sanctionnant son séjour en terre gabonaise, la délégation d’inspection de la CAF a dressé un état des lieux plus que satisfaisant après la visite des quatre sites retenus pour la compétition que sont Libreville, Franceville, Port Gentil et Oyem.

S’agissant des infrastructures sportives, les experts ont pu se rendre compte que le stade de l’Amitié est prêt, à l’exception de travaux de réfection concernant les tribunes de presse et la pelouse. Tout comme avancent également ceux du stade Omnisports Omar Bongo, dont la livraison des chantiers est prévue pour fin décembre 2016.

Pour le site d’Oyem et de Port Gentil, la construction des stades de compétition et d’entrainements se poursuit et la progression des travaux peut rassurer sur le respect des délais définis par le cahier des charges de la CAF. Pour le site de Franceville, les infrastructures sportives pourront être testées lors du prochain match des éliminatoires de la coupe du Monde 2018 entre le Gabon et le Maroc.

Quant aux infrastructures hôtelières, de télécommunications, et de transports, le 2ème Vice-président de la CAF a également précisé qu’au niveau hébergement, les hôtels ont été identifiés pour l’ensemble des 4 sites; et qu’en ce qui concerne les infrastructures sanitaires, il n’y avait rien à signaler.

Enfin, au niveau des infrastructures de transport, seules l’aéroport d’Oyem est en chantier ainsi que la voie d’accès au stade de Ntchengué de Port Gentil. Pour le point organisationnel et évènementiel, toutes les commissions du COCAN sont opérationnelles et sont à pied d’œuvre sur le terrain.

Aurélie ISSIMBA