Le président congolais, Denis Sassou Nguresso entend donner un coup d’accélérateur à la politique de santé publique dans son pays. Concrètement il veut construire 15 nouveaux hôpitaux modernes dans les différents départements du Congo pour un système de santé véritablement performant.
Le numéro un congolais veut pour ses compatriotes le meilleur de ce qui se fait et surtout un système qui conduit à une amélioration rapide de l’état de santé des populations vulnérables.
Le Congo fait encore face à de nombreux défis, en dépit des progrès réalisés, notamment dans le domaine de la réduction de la mortalité maternelle et infantile.
Pour Sassou Nguesso, les Congolais doivent disposer de soins et services de qualité, offerts de façon équitable, par un système de santé performant, fondé sur les soins de santé primaires. Un système de santé cohérent dans lequel, d’une part, les circonscriptions socio-sanitaires sont opérationnelles, dans l’ensemble du pays, et jouent un rôle déterminant dans l’offre de soins et services de base tant curatifs, préventifs que promotionnels, complétés, d’autre part, par des structures de haut niveau de spécialités conformes aux standards internationaux.
Pour lier la théorie à la pratique, Sassou Nguesso a procédé hier au lancement des travaux de construction de l’hôpital d’instruction des armées d’un coût de plus de 167 milliards de francs CFA.
L’hôpital d’une capacité de 443 lits sera livré dans 48 mois.
La santé, l’un des grands défis à relever par le « Chemin d'Avenir », projet de société du chef de l’Etat, vise l’amélioration des infrastructures de bases et notamment de santé car un peuple malade ne peut se développer.
Osons croire que cet hôpital d’instruction des armées apportera non seulement des soins de qualités et des services meilleurs que jadis mais aussi le coût des soins sera accessible à tous les congolais.
Le président Sassou Nguesso y tient naturellement pour le bonheur de son peuple.
Aurélie ISSIMBA
